Brémontier-Merval

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Brémontier-Merval
Brémontier-Merval
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes des 4 rivières
Maire
Mandat
Jean-Luc Cosquer
2020-2026
Code postal 76220
Code commune 76142
Démographie
Gentilé Brémontois
Population
municipale
445 hab. (2021 en diminution de 5,92 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 20″ nord, 1° 36′ 40″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 210 m
Superficie 17,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gournay-en-Bray
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web bremontier-merval.fr

Brémontier-Merval est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune du pays de Bray, Brémontier-Merval est située entre Gournay-en-Bray et Argueil.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 829 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Forges-les-Eaux à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brémontier-Merval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,6 %), terres arables (28,5 %), forêts (13,8 %), zones agricoles hétérogènes (8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Commune constituée par l'union des communes de Brémontier et de Merval par ordonnance royale du 24 décembre 1823. Ancienne paroisse rattachée : Bellozanne[14].

Brémontier est attesté sous les formes Braimoustier en 1017 - 1021[14]; Bradomonasterium en 1040 - 1055[14]; de Braimostier et de Bramostier au milieu XIIe siècle; Braimostier en 1230; Ecc. Sancti Martini de Braimostier en 1266 (Arch. S.-M. G 9425); Ecc. de Bremostier vers 1240; Braiemoustier en 1398 (Arch. S.-M. G 3267); A Bremontier en 1399 (Arch. Nat. P. 284-143, P. 303-425, 79, 363, 337); Bremontier en 1400 (Arch. Nat. P. 284-2-42, P. 303, 115); Saint Martin de Bremontier en 1716 (Arch. S.-M. G 740); Braymontier en 1715 (Frémont); Bremontier en 1757 (Cassini); Brémontier en 1953[15].

Il s'agit d’une formation toponymique médiévale en -montier, élément représentant l'ancien français moustier (> moutier), montier qui avait le sens d'église[16],[14], dont le sens premier était celui de couvent. En effet, moustier, montier est issu ultimement du latin monasterium (> monastère)[16]. En revanche, l'interprétation du premier élément Bré- assez fréquent en toponymie pose davantage de difficultés. Albert Dauzat, qui n'avait pas connaissance de la forme Bradomonasterium du XIe siècle, pose un Brai-montier, c'est-à-dire un monastère de Bray (pays de Bray). La commune se trouve effectivement dans le pays de Bray, mais la forme Bradomonasterium est incompatible avec cette explication. C'est pourquoi François de Beaurepaire se contente de noter que Brado- / Bré- est un élément incertain[14], qu'il croit cependant le reconnaître dans Bréauté, autre commune de la Seine-Maritime, mais aussi dans Brasseuse[14] (Oise, Brathsilva[14], Bratselve, Braisilva 1180 - 1181) et peut-être les Brébeuf, Brémesnil et Bréville de la Manche[14].

Merval est attesté sous les formes de Merreval au XIIe siècle (Arch. S.-M. 25 H), Merreval régulièrement du XIIe siècle au XVe siècle, Merval dès 1539, Merval en 1786 (Arch. S.-M. G 1719, 740, 5081)[17].

Le premier élément Mer- semble identique à celui identifié dans Merville-Franceville. En effet, Merville est attesté sous la forme Merrevilla en 1268[18]. Les formes les plus anciennes de Merville, bien antérieures à celles de Merval, montrent que Merre- résulte de l'évolution phonétique d'un élément Mater- auquel les spécialistes Albert Dauzat et René Lepelley attribuent une origine anthroponymique, à savoir le nom de personne germanique Mather[19],[20]. François de Beaurepaire suppose un *Matrini vallis basé sur le nom de personne gallo-romain Matrinus / Maternus que l'on retrouverait dans le nom du hameau voisin et ancien fief de Marigny (Dampierre-en-Bray, Unum feodum apud Marreniacum vers 1210), mais il admet lui-même que cette hypothèse n'est guère solide phonétiquement parlant[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune de Brémontier-Merval est formée de la fusion des anciennes communes de Brémontier et Merval en 1823 et de celle de Bellozanne en 1826.

Le nom de la commune atteste l'existence, sur ce site, d'une communauté religieuse à l'époque mérovingienne. À la fin du XIIe siècle, Hugues V, seigneur de Gournay, fonde l'abbaye de Bellozanne, qu'il confie aux prémontrés, ordre de chanoines réguliers institué en 1120 par saint Norbert. L'abbaye reçoit la visite de Philippe le Hardi, en 1280, de Philippe le Bel, en 1314, et de Charles IV, en 1327.

La guerre de Cent Ans la prive de beaucoup de ses biens. Aux XVIe et XVIIe siècles, l'abbaye végète ; paradoxalement, elle est alors concédée à de célèbres abbés commendataires, tel le poète Pierre de Ronsard.

Au XVIIIe siècle, le prieur Henri de Blavette redonne vigueur spirituelle à la communauté et fait restaurer les bâtiments claustraux. À cette époque, l'abbaye administre de nombreuses paroisses : Bellozanne, Brémontier, Merval, Elbeuf-en-Bray.

La dissolution de l'ordre des prémontrés, en 1790, entraîne la disparition de l'abbaye.

Bellozanne est un lieu-dit de Brémontier-Merval. La chapelle de Bellozanne est située en face de l'ancien presbytère et d'une petite maison appelée Béthania, qui dérive du mot français Béthanie ; c'était une maison où logeaient quelques carmélites.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1808 1815 Jacques Moinet    
1815 1826 Pierre Bulard    
1826 1826 Pierre Gaillard    
1826 1828 Jacques Breton    
1828 1831 le vicomte Certain de Bellozanne   Conseiller général
1831 1835 Pierre Bulard    
1835 1837 François Buron    
1837 1843 Flandre Hiard    
1843 1846 François Buron    
1846 1852 le comte Jules de Maiver    
1852 1863 Jacques François Moinet-Leleu    
1863 1871 Adolphe Guérard    
1871 1881 Alexandre du Barry de Merval   comte, chevalier de la Légion d’honneur[22]
1881 1928 Henri Étignard de La Faulotte (1850-1928)    
1928 1945 Louis Davout (1877-1958)   4e duc d’Auerstaedt
Gendre du précédent
1945 1953 Marc Kiers    
1953 1989 Paul Caron    
    Monique Guénée    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 M. Dominique Duclos    
mars 2008 mars 2014 André Fréret   élu sans s'être présenté
mars 2014[23] En cours
(au 10 août 2020)
Jean-Luc Cosquer[24]   Professeur au lycée Jean Moulin des Andelys
Réélu pour le mandat 2020-2026[25],[26]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 445 habitants[Note 3], en diminution de 5,92 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
308269332297733704698679614
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
631588562544574565591538574
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
511502524523473461482426441
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
379367311265278326468494475
2018 2021 - - - - - - -
457445-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Site classé

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Brémontier-Merval et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Forges » (commune de Forges-les-Eaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Forges » (commune de Forges-les-Eaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e f g et h Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 52 - 53
  15. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 141.
  16. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 113a
  17. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 635.
  18. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados, Paris, 1883, p. 186 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 439b
  20. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2)
  21. François de Beaurepaire, op. cit., p. 108
  22. « Notice LH du comte du Barry de Merval », base Léonore, ministère français de la Culture.
  23. Nicolas Demollien, « Jean-Luc Cosquer, nouveau maire brémontois : L’élection du maire brémontois et de ses adjoints se déroulait samedi 29 mars. Une toute nouvelle équipe, hormis le conseiller municipal Alain Leroy qui faisait partie du conseil précédent, a été élue », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Sébastien Aliome, « Brémontier-Merval. Le maire Jean-Luc Cosquer s’est adressé au président lors du lancement du Grand débat : Le mardi 15 janvier 2019, plusieurs maires du pays de Bray était à Bourgtheroulde à l'occasion du lancement du grand débat national. Le maire de Brémontier-Merval a pris la parole », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Sébastien Aliome, « Municipales 2020 : à Brémontier-Merval, Jean-Luc Cosquer est partant pour un deuxième mandat : Le maire de Brémontier-Merval, Jean-Luc Cosquer, a décidé de se porter candidat pour un deuxième mandat. C'est le travail mené avec son équipe qui l'a amené à vouloir continuer », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a et b « Le domaine de Merval à Brémontier-Merval », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  32. Notice no PA00100584.
  33. Serge Rouverand (préf. Philippe Manneville), Colombiers en Seine-Maritime, Darnétal, Petit à petit, , 130 p. (ISBN 2-914401-54-X), p. 83.
  34. [2].