Côte-rôtie (AOC)

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Côte-rôtie
Image illustrative de l’article Côte-rôtie (AOC)
Parcelles de Côte-rôtie.

Désignation(s) Côte-rôtie
Appellation(s) principale(s) côte-rôtie
Type d'appellation(s) AOC
Reconnue depuis 1940
Pays Drapeau de la France France
Région parente vignoble de la vallée du Rhône
Sous-région(s) vallée du Rhône septentrionale
Localisation Rhône
Climat tempéré méditerranéen dégradé avec influence continentale
Sol terrasses très escarpées, micaschistes au nord, leucogneiss au sud et migmatite sombre à l'extrême sud de l'appellation.
Superficie totale 308 hectares
Superficie plantée 119 hectares
Nombre de domaines viticoles 60 déclarants de récolte
Cépages dominants syrah N
Vins produits rouges
Production 6 795 hl
Pieds à l'hectare minimum 6 000 pieds par ha
Rendement moyen à l'hectare 40 à 46 hl/ha[1]

Le côte-rôtie[2] est un vin rouge d'appellation d'origine contrôlée produit sur les communes d'Ampuis, de Saint-Cyr-sur-le-Rhône et de Tupin-et-Semons, sur la rive droite du Rhône, en face de la ville de Vienne, au sud de Lyon.

Il s'agit d'un des crus les plus prestigieux du vignoble de la vallée du Rhône, à l'extrémité septentrionale de la vallée, bénéficiant d'une orientation sud/sud-est. Les vignobles sont caractérisés par des sols en pente et des murs en pierre. Le nom « Côte-Rôtie » renvoie à l'exposition dont bénéficient ces sols en pente.

Le côte-rôtie est composée de syrah, et possiblement jusqu'à 20 % de viognier, qui sont fermentés tous deux simultanément.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Ce terroir viticole est centré sur Ampuis, un ancien comptoir grec puis romain (emporion). Martial, Pline l'Ancien, Columelle et Plutarque ont célébré son vin sous le nom de vinum picatum ou vin viennois[3].

Mais c'est du VIe siècle que datent les premières chartes concernant Ampuis son vignoble[3].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La réputation des vins d'Ampuis, tout au cours du Moyen Âge, est cantonnée à Lyon qui absorbe sa production. La Renaissance permit d'accroître la renommée de ces vins vers d'autres provinces ainsi que vers les tables princières d'Angleterre, de Russie [?], de Prusse[?][3].

Période moderne[modifier | modifier le code]

C'est à l'époque du seigneur de Maugiron que le château d'Ampuis a été le lieu d'une première gastronomique. En effet, c'est en 1553 que furent servis à des convives de curieux et énormes volatiles : les premiers dindons jamais servis en France. Les vins dégustés provenaient de deux terroirs, la côte blonde et la côte brune. Selon la légende le seigneur Maugiron qui possédait la Côte Rôtie, avait partagé son domaine pour doter ses deux filles lors de leur mariage. L'une était blonde comme les blés et l'autre était brune comme le jais.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Au début du XIXe siècle, les vignes s'étendaient sur 300 hectares et produisaient un vin de grande réputation. Le vignoble atteignit son apogée en 1890. Toutes les terrasses orientées vers le midi étaient cultivées. Ce qui contraignait les vignerons à emprunter des sentiers fort étroits et pénibles[3].

La crise du phylloxera, puis les deux guerres mondiales aboutirent presque à la disparition du vignoble, puisque dans les années 1950, seulement 40 hectares étaient exploités. Les hommes d'alors préféraient aller travailler dans l'industrie renaissante ou travailler la culture maraîchère ou fruitière, alors beaucoup plus rentable[3]. Selon le producteur Jean-Michel Gerin : « Dans les années 1960, un kilogramme d'abricot se vendait plus cher qu'un litre de vin ».

Marché aux vins d'Ampuis

Dans les années 1970, une nouvelle génération de vignerons mise à nouveau sur le travail de la vigne et sur la qualité. Durant les années 1980 et 1990, les parcelles sont restructurées et de nouvelles parcelles sont replantées en ceps. Cette renaissance a pu se faire aussi en partie grâce à un coût de la terre qui était alors très bas : au début des années 1980, le prix de la vigne se situait dans le secteur à l'équivalent d'un euro le m². Le plus difficile finalement était de retrouver les propriétaires de terres extrêmement morcelées. Ces nouveaux vignerons ont dû aussi investir dans des bâtiments, dans des équipements et dans les réseaux de distributions et un syndicat de Côte-Rôtie a été créé pour fédérer leurs efforts. Le marché aux vins d'Ampuis qui chaque année reçoit plus de 12 000 visiteurs en janvier a été fondé en 1928.

Depuis 2012, ce vignoble fait partie du label Vignobles et Découvertes, visant à promouvoir les destinations œnotouristiques en France.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Plus que Côte-Rôtie, qui ne pose aucun problème étymologique, c'est Ampuis, le centre de ce vignoble, qui apporte des indications sur ses origines. Comme pour Ampus, la forme la plus ancienne est Impuris, attestée en 990/997. Ce toponyme suggère le nom latin emporium, dérivé du grec emporion, qui nommait des comptoirs de négoce installés en terre ennemie[4].

Situation géographique[modifier | modifier le code]

Coteaux de l'appellation Côte-rôtie

Situé à 30 km au sud de Lyon, le vignoble s'étend sur trois communes du Rhône et sur 3 kilomètres de long.

Orographie[modifier | modifier le code]

Les vignes sont orientées sud-est et installées à flanc de coteaux sur des terrasses caillouteuses, les « chayets », « chaillés » ou « chaillets », soutenues par des « cheys », murets de pierres à la patine brune. Le terroir est divisé en plusieurs secteurs, dont deux célèbres séparés par un ruisseau : la Côte Brune au nord d’Ampuis, et la Côte Blonde, au sud, dont la légende veut que les noms proviennent des deux filles héritières du noble Maugiron dont l’une était brune et l’autre blonde.

Géologie[modifier | modifier le code]

Terroir des Côte-rôtie

Le terroir est composé d’un socle de micaschiste recouvert ponctuellement par des éboulis. Le sol qui le recouvre est dur, acide, composé essentiellement de pierres avec un léger couvert sableux et granuleux.

Climatologie[modifier | modifier le code]

Ce terroir viticole est exposé plein sud avec des étés chauds et ensoleillés, des automnes doux et une pluviométrie bien étalée mais avec des hivers rigoureux, où la sensation de froid est renforcée par la bise. Son climat est de type semi-continental avec des influences méditerranéennes, la température moyenne annuelle a été, entre 1920 et 2008, de 11,7 °C avec un minimum de 2,8 °C en janvier et un maximum de 21 °C en juillet[5]. La température minimale y a été de -24,6 °C le et la plus élevée de 40,4 °C le [6].

L'ensoleillement y est de 1 976 heures par an en moyenne, soit environ 164 jours par an[7]. Les hivers sont relativement secs, et dépourvus de neige en plaine (toutefois de fortes précipitations ne sont pas exclues). Les frimas sont courants et les températures varient généralement d'une dizaine de degrés au plus pendant la journée. Les étés sont généralement chauds et secs : l'amplitude des températures en journée atteint parfois une vingtaine de degrés, et les températures maximales dépassent parfois les 35°. Le mois d'août est parfois frais et pluvieux (2006 et 2007) avec quelques orages et une légère brise qui disperse les polluants de l'air. Les mois d'août 2003 et 2009 étant au contraire très chauds et secs avec respectivement 33° et 30° de température maximale en moyenne. Le mistral souffle souvent, dû à la compression de l'air dans le sillon rhodanien.

Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,4 0,5 3,1 5,7 9,6 13 15,2 14,7 11,8 8 3,5 0,6 7,1
Température moyenne (°C) 2,8 4,3 7,8 10,8 14,9 18,5 21 20,4 17,2 12,4 6,9 3,4 11,7
Température maximale moyenne (°C) 5,9 8 12,5 15,8 20,2 24 26,8 26,1 22,4 16,8 10,3 6,2 16,3
Record de froid (°C) −23 −22,5 −10,5 −4,4 −3,8 2,3 6,1 4,6 0,2 −4,5 −9,4 −24,6 −24,6
Record de chaleur (°C) 17,7 21,9 25,7 30,1 34,2 38,2 39,8 40,4 35,8 28,4 23 20,2 40,4
Précipitations (mm) 51,9 47,1 56,4 64,8 81,3 78,4 63,4 83,1 86,4 84,4 80,3 56,6 834,9
Source : Le climat dans la région lyonnaise (en °C et mm, moyennes mensuelles 1920/2008 et records depuis 1920)[1]


Vignoble[modifier | modifier le code]

Présentation[modifier | modifier le code]

L'AOC Côte-Rôtie s'étend sur trois communes qui compte 73 lieux-dits classés[8] : Saint-Cyr-sur-le-Rhône avec ses 12 lieux-dits classés, Ampuis avec ses 48 lieux-dits et Tupin-et-Semons.

Lieux-dits[modifier | modifier le code]

Plus que dans d'autres terroirs des côtes-du-rhône, les lieux-dits ont ici une importance plus que séculaire. En voici une liste non exhaustive, certains sont cadastrés, d'autres non[9].

  • Les Grandes Places.
  • Lancement
  • Côte Rozier.
  • Côte Blonde.
  • Côte Brune.
  • Chavaroche.
  • La Landonne.
  • Fongeant.
  • Le Plomb.
  • La Viallière.

Encépagement[modifier | modifier le code]

Le vignoble est complanté de syrah N (minimum 80 %) et de viognier B.

Comparaison de l'encépagement de l'AOC Côte-Rôtie avec les autres appellations locales des côtes-du-rhône septentrionales

Dans les décrets d'appellation, une division est faite entre le cépages principaux (indiqué par "M"), les variétés supplémentaires (indiqué par "S") et celles autorisées (indiqué par "(A)").

Cépage AOC locales septentrionales
Condrieu[10],
Château-Grillet[11]
Cornas[12] Côte-Rôtie[13] Hermitage[14], Crozes-Hermitage[15] Saint-Joseph[16] Saint-Péray[17]
Rouge Blanc Rouge Blanc
Marsanne (A)
max 15 %
M
0-100 %
(A)
max 10 %
M
0-100 %
M
0-100 %
Roussanne (A)
max 15 %
M
0-100 %
(A)
max 10 %
M
0-100 %
M
0-100 %
Syrah M
100 %
M
min 80 %
M
min 85 %
M
min 90 %
Viognier M
100 %
(A)
max 20 %

Méthodes culturales[modifier | modifier le code]

Ses 230 hectares produisent 8 000 hectolitres de vin rouge pour un rendement de 40 hl / ha. Les côtes sont si escarpées que certaines terrasses n’ont pas plus de six pieds de vigne.

Vinification et élevage[modifier | modifier le code]

Co-fermentation de syrah et de viognier.

Pour l'élaboration de ce vin, la syrah est majoritaire mais on peut lui adjoindre entre 0 et 20 % de viognier, on parle alors de co-fermentation si les deux cépages sont fermentés ensemble.

Les producteurs le font généralement vieillir d'un an à trois ans avant de le commercialiser, le cahier des charges ne stipulant rien à ce propos.

Terroir et vins[modifier | modifier le code]

La Mouline, cuvée parcellaire de la maison E. Guigal

Son vignoble s’étend sur un terroir d’exception qui est composé, au nord, des terrasses de micaschistes de la Côte Brune et, à l’extrême sud, de gneiss ou granite pour la Côte Blonde. La « brune » a la réputation de produire un vin plus tendre et la « blonde », un vin plus vivace.

Le côte rôtie se présente dans sa jeunesse dans une robe d’un grenat profond, frangé de reflets violacés.

L’agitation révèle un nez qui dégage des arômes de fruits rouges et noirs avec des dominantes de cassis, de groseille, de framboise jointes à des pointes d’épices et de violette. Il évolue ensuite vers des parfums de vanille, le cuir, les fruits à noyau, le musc et la truffe. Doté d’une bouche ronde, soyeuse et tendre à l’attaque, ce vin très harmonieux est d’une grande élégance. Il se caractérise par une considérable amplitude aromatique avec des tanins d’une structure très fine et remarquablement fondus. Plusieurs producteurs vinifient en vendange entière, qui demandent plus de temps avant d'être dégustés.

Le côte rôtie est un vin de longue garde qui s’épanouit vers 15 ans et peut atteindre son apogée bien après.

Structure des exploitations[modifier | modifier le code]

Bien que certains domaines existent depuis plusieurs générations, les exploitations aujourd'hui uniquement viticoles étaient dans les années 1970 portées sur le maraîchage, la vigne étant une activité secondaire.

Producteurs de l'appellation[modifier | modifier le code]

  • Domaine Barge
  • Domaine Billon
  • Domaine Chambeyron
  • Domaine Bonnefond
  • Domaine de Bonserine
  • Domaine Burgaud
  • Domaine M. Chapoutier
  • Domaine Clusel-Roch
  • Domaine du Corps de Loup
  • Domaine Cuilleron
  • Domaine Daubree
  • Domaine Delas
  • Domaine Drevon
  • Domaine Duclaux
  • Domaine Pierre Gaillard
  • Domaine Gallet
  • Domaine Gangloff
  • Domaine Garon
  • Domaine Xavier Gérard
  • Domaine E. Guigal, Château d'Ampuis[18].
  • Domaine Jamet
  • Domaine Jasmin
  • Domaine Jean-Michel Gérin
  • Domaine Jean-Michel Stéphan
  • Domaine Lafoy-Gasse
  • Domaine Louis Cheze
  • Domaine du Monteillet
  • Domaine Niero
  • Domaine Ogier
  • Domaine Pichat
  • Domaine Rostaing
  • Domaine Vernay
  • Domaine François Villard
  • Vignoble Jean-Luc Jamet
  • Vignobles Levet

Type de vins et gastronomie[modifier | modifier le code]

Millésimes[modifier | modifier le code]

Ils correspondent à ceux du vignoble de la vallée du Rhône. Ils sont notés : année exceptionnelle Article de qualité, grande année Bon article, bonne année ***, année moyenne **, année médiocre *.

Millésimes 2000 2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000
Caractéristiques Article de qualité *** *** Bon article Article de qualité Bon article Bon article *** Bon article Bon article
Millésimes 1990 1999 1998 1997 1996 1995 1994 1993 1992 1991 1990
Caractéristiques *** *** ** *** Bon article ** ** ** *** Article de qualité
Millésimes 1980 1989 1988 1987 1986 1985 1984 1983 1982 1981 1980
Caractéristiques Article de qualité Article de qualité Bon article *** Article de qualité ** Bon article *** Bon article Article de qualité
Millésimes 1970 1979 1978 1977 1976 1975 1974 1973 1972 1971 1970
Caractéristiques Bon article Article de qualité Bon article ** *** Bon article *** ** ** Article de qualité
Millésimes 1960 1969 1968 1967 1966 1965 1964 1963 1962 1961 1960
Caractéristiques ** * Article de qualité Article de qualité *** *** ** ** *** Article de qualité
Millésimes 1950 1959 1958 1957 1956 1955 1954 1953 1952 1951 1950
Caractéristiques Bon article Bon article Article de qualité Bon article Bon article *** Bon article Article de qualité ** Article de qualité
Millésimes 1940 1949 1948 1947 1946 1945 1944 1943 1942 1941 1940
Caractéristiques Article de qualité Article de qualité Article de qualité Bon article Article de qualité ** Article de qualité Bon article ** **
Millésimes 1930 1939 1938 1937 1936 1935 1934 1933 1932 1931 1930
Caractéristiques * Bon article Bon article *** ** Article de qualité Article de qualité ** ** **
Millésimes 1920 1929 1928 1927 1926 1925 1924 1923 1922 1921 1920
Caractéristiques Article de qualité Article de qualité ** Bon article ** Bon article Bon article ** Bon article Bon article
Sources : Yves Renouil (sous la direction), Dictionnaire du vin, Éd. Féret et fils, Bordeaux, 1962 ; Alexis Lichine, Encyclopédie des vins et alcools de tous les pays, Éd. Robert Laffont-Bouquins, Paris, 1984, Les millésimes de la vallée du Rhône & Les grands millésimes de la vallée du Rhône

Soit sur 90 ans, 24 années exceptionnelles, 26 grandes années, 16 bonnes années, 22 années moyennes et 2 années médiocres.

Œnotourisme[modifier | modifier le code]

L'oenotourisme est encore peu développé dans la région, elle bénéficie cependant des visiteurs du tourisme lyonnais.

Le « Marché aux vins d'Ampuis » est un salon annuel promouvant principalement les vins de côte-rôtie, 40 exposants présentent leurs vins au public et aux professionnels durant 4 jours. Il se déroule sur la commune d'Ampuis et a attiré 15 000 visiteurs en 2018[19].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Charnay, Vignobles et vins des Côtes-du-Rhône, Éd. Aubanel, Avignon, 1985.
  • Robert W. Mayberry, Wines of the Rhône Valley, a guide to origins, Rowman & Littlefield Publishers, Totawa, New Jersey, U.S.A. , 1987.
  • Guy Jacquemont et Patrick Galant, Le Grand Livre des Côtes-du-Rhône, Éd. du Chêne, Paris, 1988.
  • Charles Pomerol, sous la direction de, Terroirs et vins de France. Itinéraires œnologiques et géologiques, Éd. du BRGM, Orléans, 1990.
  • Jean-Pierre Saltarelli, Vallée du Rhône : de l’appellation à la notion de cru, Vins magazine, n° 41, décembre 2001, janvier-février 2002.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « CÔTE RÔTIE » »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), homologué par le décret n° 2011-1363 du 24 octobre 2011, publié au JORF du 27 octobre 2011, p. 274-284.
  2. Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine.
  3. a b c d et e Histoire de la Côte Rôtie
  4. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1679.
  5. « Température à Lyon-Bron de 1921 à 2002 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lameteo.org.
  6. Pierre Bessemoulin, Nicole Bourdette, Philippe Courtier et Jacques Manach, « La canicule d'août 2003 en France et en Europe », La Météorologie, no 46,‎ , p. 25-33 (lire en ligne [PDF])
  7. « Lyon - Rhône », sur linternaute.com.
  8. Carte des 73 lieux-dits de la Côte-Rôtie
  9. Pierre Galet, Cépages et vignobles de France, Montpellier, 1958Site officiel du syndicat des producteurs de Côte-Rôtie
  10. Décret relatif à l'AOC Condrieu, version du 28 octobre 2009 sur Légifrance
  11. Décret relatif à l'AOC Château-Grillet, version du 28 octobre 2009 sur Légifrance
  12. Décret relatif à l'AOC Cornas, version du 28 octobre 2009 sur Légifrance
  13. Décret relatif à l'AOC Côte-Rôtie, version du 28 octobre 2009 sur Légifrance
  14. Décret relatif à l'AOC Hermitage, version du 28 octobre 2009 sur Légifrance
  15. Décret relatif à l'AOC Crozes-Hermitage, version du 29 octobre 2009 sur Légifrance
  16. Décret relatif à l'AOC Saint-joseph, version du 28 octobre 2009 sur Légifrance
  17. Décret relatif à l'AOC Saint-péray, version du 28 octobre 2009 sur Légifrance
  18. Marcel Guigal, fondateur des Établissements Guigal, propriétaires des crus La Turque, La Mouline et La Landonne, considérés comme faisant partie des plus grands vins du monde.
  19. « Euphorie à Ampuis à l’occasion du marché aux vins », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]