Chardonnay

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Chardonnay
Chardonnay
Vue générale du bourg.
Blason de Chardonnay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes Mâconnais - Tournugeois
Maire
Mandat
Paul Perre
2020-2026
Code postal 71700
Code commune 71100
Démographie
Gentilé Charneurons[1],[2], Tcharneurans[1]
Population
municipale
205 hab. (2021 en augmentation de 2,5 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 30′ 37″ nord, 4° 51′ 48″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 375 m
Superficie 6,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tournus
Législatives Première circonscription
Localisation
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Chardonnay
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Chardonnay

Chardonnay est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

C'est une commune située dans le Haut-Mâconnais, entre Lugny et Tournus.

Accès[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Ozenay Plottes Rose des vents
Grevilly N Uchizy
O    Chardonnay    E
S
Lugny

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 923 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romenay », sur la commune de Romenay à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 983,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chardonnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (37,9 %), forêts (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (20,4 %), terres arables (13,3 %), prairies (2,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Plan local d'urbanisme[modifier | modifier le code]

L'urbanisme sur le territoire de Chardonnay est régi par un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi), document d’urbanisme dont le territoire d’effet n'est plus la commune mais la communauté de communes, soit vingt-quatre communes membres réparties sur le Haut-Mâconnais et le Tournugeois.

Ce document stratégique traduit les principes d’aménagement du territoire et constitue un outil réglementaire fixant les règles de construction et d’occupation des sols applicables sur le territoire de l'intercommunalité du Mâconnais-Tournugeois, d'où son contenu : un rapport de présentation retraçant le diagnostic du territoire, un projet d’aménagement et de développement durable (PADD) exposant la stratégie intercommunale, des orientations d’aménagement et de programmation (OAP) définissant les conditions d’aménagements de certains quartiers/ilots (cas particuliers), un règlement fixant les règles d’utilisation et de droit des sols ainsi que des annexes (plan de zonage, liste des servitudes, etc.).

Le PLUi du Mâconnais-Tournugeois, fruit d'un processus lancé par la communauté de communes en 2016, a été définitivement adopté par le conseil communautaire le 21 décembre 2023[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Chardonnay est nommé Cardonaco en 998. Les linguistes Ernest Nègre et Xavier Delamarre ont démontré que le nom vient de Caradonacos, soit le « domaine de Carathaunus » en gaulois[17],[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Chardonnay et les villages du Haut-Mâconnais en 1759, d'après la carte de Cassini.

Entre 936 et 952 : Léotald, comte de Mâcon, donne Chardonnay à Maimbaud, évêque de Mâcon. Le village restera jusqu'à la Révolution la propriété du chapitre des chanoines de Saint-Vincent de Mâcon.

988 : un acte du cartulaire de Saint-Vincent de Mâcon mentionne une cession de vignes sur le territoire de Cardoniacum, nom latin de Chardonnay.

Fin juillet 1789 : épisode de la Grande Peur en Mâconnais. Le château, propriété des chanoines du chapitre Saint-Vincent de Mâcon, est dévasté par les Brigands[19].

1790 : à la création des cantons, la commune de Chardonnay est rattachée au canton de Tournus. Quelques années plus tard, tout comme Grevilly et Montbellet, Chardonnay sera rattachée au canton de Lugny.

Début 1927 : fondation de la coopérative vinicole de Chardonnay, avec Jean-Baptiste Roux, maire, pour président.

16 août 1934 : adhésion de Chardonnay (avec Uchizy et Plottes) au Syndicat intercommunal des eaux du Haut-Mâconnais fondé le 8 janvier 1934 et regroupant dix communes (Lugny, Burgy, Clessé, Viré, Cruzille, Vérizet, Bissy-la-Mâconnaise, Cruzille, Saint-Maurice-de-Satonnay et Montbellet).

1972 : création du Syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) du canton de Lugny (siège en mairie de Lugny), auquel adhèrent Chardonnay et treize autres communes du Haut-Mâconnais, avec pour objet : la couverture des dépenses d'investissement et de fonctionnement du collège de Lugny, la réalisation d'une maison de retraite, la création et le fonctionnement de tous services sociaux (tels que dispensaire, aide à domicile par exemple), la réalisation de travaux d'assainissement, le ramassage d'ordures ménagères et l'entretien de la voirie communale[20].

22 avril 1989 : la commune, associée à la cave coopérative, célèbre officiellement son millénaire (988-1988). À cette occasion, une statue en pierre représentant un fouleur, sculptée par l'artiste Bernard Husson, est dévoilée sur la place du village.

1993 : fondation de la communauté de communes du Haut-Mâconnais (avec Lugny pour siège), regroupant sept communes : Bissy-la-Mâconnaise, Burgy, Chardonnay, Cruzille, Grevilly, Lugny et Saint-Gengoux-de-Scissé. À cette première communauté de communes a succédé, le 1er janvier 2003, la communauté de communes du Mâconnais - Val de Saône (siège à Lugny), résultant de la fusion de trois intercommunalités (celles du Haut-Mâconnais, de la Haute-Mouge et du Mâconnais-Val de Saône) et totalisant une population de 7 336 habitants.

Mai 2000 : Chardonnay inaugure sa mairie rénovée.

Au printemps 2012, sur les hauteurs à l'est du hameau de Champvent, trois sépultures contiguës appartenant à une nécropole du haut Moyen Âge, toutes orientées au levant, ont été mises au jour fortuitement[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1977 François Émile Mondange   Né à Chardonnay le 16 août 1902, décédé à Lyon en janvier 1989. Président de la coopérative vinicole de Chardonnay.
juin 1995 mars 2001 Jean-Paul Rullière   Metteur en scène et auteur dramatique.
mars 2001 mars 2014 Gilbert Guillet   Viticulteur. Élu maire après avoir été premier adjoint au maire.
mars 2014 en cours Paul Perre    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité et canton[modifier | modifier le code]

Chardonnay, après avoir appartenu à la communauté de communes du Mâconnais-Val-de-Saône (siège à Lugny), relève depuis le 1er janvier 2017 de la communauté de communes du Mâconnais-Tournugeois (siège à Tournus), à la suite de la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (cette nouvelle communauté résulte de la fusion de deux communautés de communes : la communauté de communes du Tournugeois qui regroupait douze communes du Tournugeois et la communauté de communes du Mâconnais-Val-de-Saône qui regroupait douze communes du Haut-Mâconnais). Cette communauté de communes est gérée par un conseil communautaire composé de quarante et un membres représentant chacune des communes adhérentes (et élus pour une durée de six ans), conseil au sein duquel Chardonnay, à l'instar de toutes les autres communes de l'intercommunalité, dispose d'un représentant unique (exception faite de Lugny, Clessé, Viré et Montbellet représentés par deux délégués et de la ville de Tournus qui en totalise treize).

Chardonnay, commune qui relevait du canton de Lugny depuis 1790, appartient depuis 2015 au canton de Tournus, à la suite du nouveau découpage territorial de Saône-et-Loire entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015 (découpage défini par le décret du 18 février 2014[22], en application des lois du 17 mai 2013).

Sécurité[modifier | modifier le code]

L'unité de gendarmerie à laquelle la commune de Chardonnay est rattachée est la brigade de Lugny.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Pour l'enseignement secondaire, Chardonnay, avec dix-huit autres communes, relève de la carte scolaire du collège « Victor Hugo » de Lugny.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Chardonnay s'appellent les Charneurons.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 205 habitants[Note 4], en augmentation de 2,5 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
413438449436471449462459441
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
459484498530518518438326334
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
315340339307267240229233219
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
174183150163169162168169197
2017 2021 - - - - - - -
197205-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La vie économique de Chardonnay, village appartenant au vignoble du Mâconnais, repose en grande partie sur la viticulture ; une large partie du territoire de la commune est ainsi plantée en vigne.

Entreprises[modifier | modifier le code]

Chardonnay, à l'instar de nombre de localités du Mâconnais, dispose d'une cave coopérative, fondée en 1928 et occupant des bâtiments construits au cœur du bourg. Ces locaux furent toutefois délaissés au début des années 90 pour une cave flambant neuve bâtie à la sortie du village, inaugurée le 10 septembre 1993 et disposant d'une cuverie de 10 400 hectolitres. Les anciens bâtiments demeureront réservés à la vinification après réception de la vendange, les nouveaux étant consacrés, quant à eux, au stockage (1000 m²), à l'espace de manutention, à l'administration et au caveau de dégustation.

Vignoble[modifier | modifier le code]

Un village du Haut-Mâconnais portant le nom d'un illustre cépage : Chardonnay (ici l'entrée ouest, côté Lugny).

Ce village est vraisemblablement le berceau du cépage chardonnay (voir vigne).

Vie locale[modifier | modifier le code]

Équipements[modifier | modifier le code]

Culte[modifier | modifier le code]

Chardonnay appartient à l'une des sept paroisses composant le doyenné de Mâcon (doyenné relevant du diocèse d'Autun) : la paroisse Notre-Dame-des-Coteaux en Mâconnais, paroisse qui a son siège à Lugny et qui regroupe la plupart des villages du Haut-Mâconnais.

C'est en 1937 que la paroisse de Chardonnay, en même temps que Plottes, fut définitivement rattachée à celle de Lugny pour le culte (à la suite de la création de la communauté pastorale de Lugny, fondée à l'initiative de monseigneur Joseph Robert)[27].

Manifestations[modifier | modifier le code]

Chaque année se déroule, le 3e dimanche d'octobre, l'une des plus importantes randonnées organisées en Bourgogne : la Tournuscimes, randonnée (pédestre, équestre et VTT) dont le départ est donné à Chardonnay (40e édition en 2023).

Théâtre[modifier | modifier le code]

En 1978 a été fondée l’association « Les Compagnons de Mère Folle », implantée au hameau de Champvent (où, à l'intérieur d'un ancien tinailler, fut aménagée une salle en gradins, théâtre de 123 places). Six ans plus tôt, à Vincennes, avait été créée la compagnie « La Mère Folle », par le comédien Jean-Paul Rullière, metteur en scène et auteur dramatique, avec le comédien et danseur Philippe Humeau et la scénographe et costumière Annie Rebondy. En 2002, trente ans après sa fondation, cette compagnie avait plus de 1000 représentations à son actif, ainsi que 35 créations[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Germain et le monument aux morts de Chardonnay.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Sont à voir sur le territoire de la commune :

  • l'église Saint-Germain de Chardonnay (du XIIe siècle) ;
  • l'ancienne maison forte, dans le bourg, entièrement ceinte de fossés en eau, autrefois propriété du chapitre Saint-Vincent de Mâcon et vendu nationalement à la Révolution ;
  • le manoir (du XIIe siècle), ancienne dîme des moines bénédictins de l'abbaye Saint-Philibert de Tournus, au hameau de Champvent ;
  • le lavoir du bourg, dont l'origine remonterait au début du XVIIe siècle ;
  • la cave coopérative vinicole de Chardonnay, qui a fusionné en 1994 avec celle, voisine, de Lugny (la Cave de Lugny) ; elle est spécialisée dans l'élaboration des crémants de Bourgogne commercialisés par la Cave de Lugny ;
  • la Pierre de Matafin, pierre à légende, classée à tort comme dolmen au titre des Monuments historiques[29] ;
  • à l'entrée du village, côté Lugny, une croix routière (socle en pierre surmonté d'une croix métallique) relevée en juillet 2020 à l'initiative de l'association Chardonnay Patrimoine.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Chardonnay Blason
Écartelé : au 1er d'or à un chardon tigé et feuillé de sinople et fleuri de pourpre, au 2e d'azur semé de fleurs de lys d'or et à la bordure componée d'argent et de gueules, au 3e de gueules à une grappe de raisin d'or feuillée et pamprée au naturel, au 4e d'or à un crosseron de sable[31].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Emmanuel Nonain,Chardonnay, monographie historique (Xe – XVIIe siècle), Presses universitaires de Lyon, 2004.
  • Fabienne Durcy et Patrick Poncet, Murmures de silence à Chardonnay, Clea, 2007 (récit romancé sur l'église du village).
  • « La ronde des « Brigands » en Haut-Mâconnais », Vive 89, 1990. Ouvrage collectif de cent quarante-cinq pages édité par l'association ayant organisé en 1989 dans le canton de Lugny les festivités du bicentenaire de la Révolution française.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
  2. habitants.fr
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Chardonnay et Romenay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Romenay », sur la commune de Romenay - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Romenay », sur la commune de Romenay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. « Après sept ans de travail, le Plan d'urbanisme a été adopté », article signé Florent Muller paru dans Le Journal de Saône-et-Loire daté du 23 décembre 2023.
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 201
  18. Xavier Delamarre, Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne (-500 / +500), Paris, Éditions Errance, (ISBN 978-2-87772-483-8, lire en ligne), p. 106
  19. « La ronde des Brigands en Haut-Mâconnais », Vive 89, 1990. Ouvrage collectif de cent quarante-cinq pages édité par l'association ayant organisé en 1989 dans le canton de Lugny les festivités du bicentenaire de la Révolution française.
  20. Par arrêté préfectoral du 19 mai 1972.
  21. Sépultures que les analyses au carbone 14 ont permis de dater de la fin de la période mérovingienne (VIIe siècle). Source : Jean Duriaud et Justine Lyautey, « Les sépultures du haut moyen âge découvertes à Chardonnay (71) », Bulletin de la Société des amis des arts et des sciences de Tournus, tome CXV, Tournus, 2016, pp. 19-34.
  22. Décret no 2014-182 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de Saône-et-Loire.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Frédéric Lafarge, Monseigneur Joseph Robert (1898-1987), Une communauté missionnaire en Mâconnais : Lugny, Les Foyers communautaires et l'Amicale des anciens élèves de l'école « La Source », Lugny, 2019 (ISBN 978-2-9570533-0-8).
  28. « Les trente ans de Mère Folle », article paru dans Le Journal de Saône-et-Loire daté du 10 juin 2002.
  29. Notice no PA00113194, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. « Senat.fr – Un site au service des citoyens », sur senat.fr (consulté le ).
  31. « 71100 Chardonnay (Saône-et-Loire) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).