Compagnie des fonderies et forges de l'Horme
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La Compagnie des Fonderies et Forges de l'Horme est formée à Lyon le [1],[2] selon une ordonnance royale N°22 150. Les statuts sont déposés chez maitre Tavernier notaire à Lyon le .
Les forges sont situées sur la commune de Saint-Julien-en-Jarez (Loire) dans la vallée du Gier.
Historique[modifier | modifier le code]
L'entreprise est née d'une association entre Augustin Girardet et Jacques-Marie Ardaillon[3],[4].
La compagnie possède les mines de fer de Saint-Chamond et de Veyras.
En 1877, la Compagnie des Fonderies et Forges de l'Horme absorbe les Chantiers de La Buire pour devenir les Établissements de l'Horme et de la Buire.
En 1895, la compagnie est mise en liquidation et disparait remplacée par la Société Nouvelle des Établissements de l'Horme et de la Buire.
La production[modifier | modifier le code]
La production consiste en travaux de forges et fonderie exécutés pour l'industrie. La compagnie exploite les mines de fer Saint-Chamond (concession du )[5] et celles de Veyras en Ardèche près de Privas dont elle reçoit la concession en 1843[6].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Collection complète des lois, décrets d'intérêt général, traités internationaux, arrêtés, circulaires, instructions, etc,
- Bulletin des lois. Partie supplémentaire
- « Jacques, Marie Ardaillon - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- ENTRETEMPS VOLUME 1
- Annales des mines, ou Recueil de mémoires sur l'exploitation des mines, et sur les sciences qui s'y rapportent
- Abrial, L., « E. Reynier. — Mines, métallurgie et voies ferrées de la région privadoise. », Revue de Géographie Alpine, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 31, no 2, , p. 265–266 (lire en ligne, consulté le ).
