DescriptionNakajima A6M2-N Rufe Aeronavale, Indocina, scheda Aerei da Guerra.jpg
Italiano: Nakajima A6M2-N Rufe con insegne Aéronavale, Indocina, data e luogo della scatto imprecisati.
English: The last Rufe in service was recovered by French forces in Indochina after World War II. In 1945, the French of the 8S squadron based at Cát Lái, on a branch of the Saigon River, successfully used several seaplanes including 10 Aichi E13A1 “Jake” captured from the Japanese. A single Rufe was also tried, but it was a failure: restored to flying condition, the seaplane took off on September 19, 1946 for a fuel consumption test, piloted by Lieutenant Raymond Hostalier, 26 years old. After several passes over the Jules Verne which was slowly going up the river, the seaplane hit the water. The pilot was killed instantly. The condition of the aircraft, floats and sails torn off, does not make it possible to determine the causes of the accident.
Français : Le dernier Rufe en service fut récupéré par les forces françaises en Indochine après la Seconde Guerre mondiale. En 1945, les Français de l'escadrille 8S basée à Cát Lái, sur un bras de la rivière de Saïgon, utilisèrent avec succès plusieurs hydravions dont 10 Aichi E13A1 « Jake » capturés aux Japonais. Un unique Rufe fut également essayé, mais ce fut un échec : remis en état de vol, l'hydravion décolle le 19 septembre 1946 pour un test de consommation de carburant, piloté par l'enseigne de vaisseau Raymond Hostalier, 26 ans. Après plusieurs passages au-dessus du Jules Verne qui remonte lentement le fleuve, l'hydravion percute l'eau. Le pilote est tué sur le coup. L'état de l'appareil, flotteurs et voilure arrachées, ne permet pas de déterminer les causes de l'accident.
Date
Source
Aerei da guerra, Ginevra - Novara, Edito Service S.A. - Istituto Geografico De Agostini, 1993
Auteur
Auteur inconnuUnknown author
Conditions d’utilisation
Public domainPublic domainfalsefalse
Cette œuvre est dans le domaine public en France pour l'une des raisons suivantes :
Son auteur (ou le dernier de ses auteurs dans le cas d'une œuvre en collaboration) est décédé depuis plus de 70 ans (art. L123-1 du CPI) et n'a pas bénéficié d'une prorogation de ses droits d'auteur (art. L123-8, L123-9 et L123-10 du CPI)[1] ;
C'est une œuvre anonyme ou pseudonyme (l'identité de l'auteur n'ayant jamais été révélée) ou une œuvre collective[2] et plus de 70 ans se sont écoulés depuis sa publication (art. L123-3 du CPI) ;
C'est un enregistrement de l'exécution d'une œuvre musicale ou audiovisuelle tombée dans le domaine public, et d'autre part plus de cinquante ans se sont écoulés depuis l'interprétation ou la fixation (art. L211-4 du CPI).
Notez que les droits moraux subsistent même lorsque l'œuvre est tombée dans le domaine public. En particulier, ces droits couvrent le respect du nom de l'auteur, de sa qualité et de son œuvre (art. L121-1 du CPI). L'attribution (mention du nom de l'auteur) reste donc obligatoire.
↑Les prorogations de guerre sont à prendre en compte uniquement dans le cas des œuvres musicales et des auteurs « morts pour la France ». Dans les autres cas, elles sont absorbées par le passage de la durée de protection à 70 ans (voir ce communiqué de la Cour de Cassation).
↑Le statut d'œuvre collective est assez restrictif, assurez-vous que ce statut est véritablement établi.