Minihy-Tréguier

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Minihy-Tréguier
Minihy-Tréguier
Église Saint-Yves (classée MH).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Lannion
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lannion-Trégor Communauté
Maire
Mandat
Christian Le Roi
2020-2026
Code postal 22220
Code commune 22152
Démographie
Population
municipale
1 249 hab. (2021 en diminution de 2,65 % par rapport à 2015)
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 34″ nord, 3° 13′ 37″ ouest
Altitude 60 m
Min. 0 m
Max. 67 m
Superficie 12,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lannion
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tréguier
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.minihy-treguier.com/

Minihy-Tréguier [minii tʁegje] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Minihy-Tréguier
Camlez Plouguiel Tréguier,
Trédarzec
Coatréven Minihy-Tréguier
Langoat La Roche-Jaudy Troguéry

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 9,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 800 mm, avec 14,5 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Roche-Jaudy à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 887,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Minihy-Tréguier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tréguier, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 6 521 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

La commune, bordée par l'estuaire du Jaudy, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), zones urbanisées (11,6 %), eaux continentales[Note 3] (4,7 %), prairies (2,5 %), forêts (1,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie[modifier | modifier le code]

  • le chantier naval Boréal, depuis 2005, 37 p. en 2019[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Minihium beati Tudguali confessoris en 1293, 1371 et en 1374, Minihium seu asylum beati Tugduali en 1334, Le Minihy de Trecoria en 1430, Mynezehy de Treguier en 1437, Le Minihy Plouelantreguier en 1656, Minihy proche Tréguier en 1715, Minihy en Tréguier en 1738, Le Minihy Tréguier en 1788[21].
On trouve l'appellation Ploulantréguier dans un extrait d'aveu de 1655. C'est, semble-t-il, le nom de Minihy-Tréguier avant que le lieu devienne un minihy (« lieu d'asile ») du monastère de Tréguier, du temps de saint Yves[21].

Le nom en breton de la commune est Ar Vinic'hi.
Du breton minic'hi, qui désigne un lieu d'asile du latin monachus, moine, Minihy signifie littéralement « terre des moines voisine du monastère »[21]. Le mot breton « minihy » correspond au français « refuge religieux[22],[21], territoire monastique »[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Les origines de la commune de Minihy-Tréguier sont étroitement liées à celles de la commune voisine de Tréguier. À l'origine « Minic'hy Plou Lan Tréguer », c'est-à-dire le « Minihy de la paroisse du monastère des Trois Rivières ». Un minihy était une terre bénéficiant d'un droit particulier directement rattachée à la juridiction épiscopale. La terre de Minihy était possession de l'évêque de Tréguier qui déléguait son autorité à une famille seigneuriale du type « noblesse paysanne ».

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

L'actuelle église située dans son petit bourg est bâtie sur les fondations d'une chapelle édifiée entre 1280 et 1290 par saint Yves.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux Morts porte les noms de 71 soldats morts pour la Patrie[24] :

  • 59 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
  • 11 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
  • 1 est mort durant la Guerre d'Indochine.

Louis Pichouron, né le à Minihy-Tréguier, marin de commerce, communiste, vivant en 1940 à Plouguiel, fut avec Jean Devianne, un instituteur communiste originaire du département du Nord un des principaux responsables du Front national pour la libération de la France dans le Trégor intérieur, organisant en particulier le maquis Tito[25]

Boulanger né en 1926 à Minihy-Tréguier, Joseph Le Bihan[26] rejoint un groupe d'une vingtaine de jeunes Résistants, pour la plupart des étudiants rennais. Peu armés, ils furent repérés par les autorités d'Occupation. Le 12 juin 1944, Joseph Le Bihan fut arrêté avec onze autres maquisards et transféré à la prison de Guingamp où il subit d'horribles tortures. Il fut fusillé quatre jours plus tard. Il avait 18 ans.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1790 Julien Lucas Clergé Député en 1789[27]
recteur de Minihy-Tréguier
Les données manquantes sont à compléter.
1805 1818 Yves Loyer    
Les données manquantes sont à compléter.
1929 1944 Yves Le Cozannet père PDP Député (1930 → 1932)
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959 juin 1995 Yves Le Cozannet fils UDF Agriculteur
Sénateur des Côtes-du-Nord (1980 → 1989)
Conseiller général du canton de Tréguier (1976 → 1988)
juin 1995 mars 2014 Jean Le Calvez PS Retraité
mars 2014 24 mai 2020 Jean-Yves Fenvarc'h DVG Retraité
24 mai 2020 En cours Christian Le Roi[28]   Cuisinier
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 1 249 habitants[Note 4], en diminution de 2,65 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6031 3761 3981 4901 4491 5101 3771 6071 519
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5751 5611 6011 5281 5581 5221 5161 3321 272
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1951 1831 2561 031909871868852821
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8057176737901 0241 0631 0891 0961 275
2018 2021 - - - - - - -
1 2601 249-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Menhir de Kerfos
Le menhir a été découvert en 1970-1971 couché en bordure de la RN 786. Il mesure 2,80 m de longueur. Les pierres de calage étaient en quartz alors que le menhir lui-même serait en roche volcanique[33]. Il a été déplacé près de la ferme de Kerfos.
A l'origine de l'actuelle église, se trouve la construction d'une chapelle du vivant de saint Yves, vraisemblablement entre 1280 et 1290. A partir de la mort du saint, en 1303, un culte s'organise. Après sa canonisation en 1347, des pèlerins se rendent à son tombeau, probablement plus nombreux; l'agrandissement de ce qui devait n'être qu'une chapelle ou un oratoire s'avère nécessaire. Selon R. Couffon, "les archives de la cathédrale de Tréguier indiquent qu'en 1418 fut achevée la voûte de Saint-Yves de Kermartin."[34] Un nouvel édifice, plus vaste est donc construit au cours du XVe siècle. D'autres travaux importants furent réalisés au cours du XIXe siècle : la réalisation d'une sacristie (remarquer à l'intérieur de l'église, à gauche de l'entrée de la sacristie, un grand bénitier qui rappelle que cette porte devait servir d'entrée au même titre que les autres portes de l'église), la façade occidentale entre 1819 et 1824[35].
L'église Saint-Yves fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le [36]. Le manoir de Traou-Martin fut construit ensuite derrière l'église pour veiller cette dernière et devait également servir de sacristie.
A l'intérieur de l'église :
  • dans le chœur de l'église, en haut à gauche, une statue de Notre Dame de Coatcolvezou, statue provenant de l'église Notre Dame de Coatcolvezou sise au chevet de la basilique-cathédrale de Tréguier sur l'actuelle place des Halles à Tréguier. Cette église, détruite au début du XIXe siècle "était for ancienne, puisque, lors de sa reconstruction en 1702, elle est dite avoir neuf siècles d'existence et remonter ainsi à la fin du VIIe siècle ou au début du VIIIe siècle. Peut-être était-ce là la mater ecclesia mentionnée dans la Chronique du continuateur de Richard Lescot ? Elle servait de siège au Moyen-Âge à la Communauté de la Ville. Les Halles furent construites sur son emplacement en 1821."[37]
  • une statue de la Vierge (XVIème-XVIIe siècle ?), autrefois à l'extérieur sous le porche nord de l'église et exposée à l'intérieur de l'église depuis 1982, reconnue alors par des anciens de Minihy comme "Notre Dame de Kermartin."
  • Une statue de saint Yves entre le riche et le pauvre, contre le mur sud, à l'entrée du chœur.
  • Un tableau transcrivant le "Testament de Saint Yves", en latin, sur le mur nord.
  • une chaire à prêcher du XVIIIe siècle
  • le maître-autel en granit de Kersanton (XIXe siècle)
A l'extérieur de l'église , se trouve, dans le cimetière face au clocher ce qui localement est appelé "tombeau de saint Yves." Il pourrait s'agir d'un ancien autel en pierre. Selon R. Couffon,  : "En 1823, l'on démolit, au cours des travaux, une petite chapelle du cimetière renfermant le cénotaphe de saint Yves, qui menaçait ruine et qui masquait un peu l'église"[38]. Ce cénotaphe en granit, en forme d'autel, est donc présent dans le cimetière avant 1823. S'agit-il d'un autel ayant servi dans cette chapelle du cimetière aujourd'hui détruite ? d'un autel provenant de l'oratoire ou de l'église et qui, ayant été remplacé, aurait été conservé dans cette chapelle du cimetière ? Il est percé en son milieu d'une arcade cintrée et décoré sur ses faces d'arcatures aveugles flamboyantes. Selon la légende, les pèlerins doivent passer sous cet arc à genoux pour obtenir l'exaucement de leur vœux. Autrefois lors du pardon, le reliquaire de la cathédrale de Tréguier était posé dans un évidement sur la table de l'autel. Lors du passage sous le tombeau, chaque dévot touchait de la tête le précieux coffret et baisait la terre par humilité[39].
  • Le manoir de Crech-Martin XIIIe siècle.
Construit sous les ordres de Yves Hélory de Kermartin en 1293 face à l'église, pour accueillir les pauvres. Une procession se déroule le de chaque année date commémorative du décès de saint Yves, principalement autour de la propriété de Crech-Martin. Le manoir été modifié vers 1860 et devait à l'origine être reconstruit en haut de la propriété. La famille Le Borgne propriétaire de l'époque ne put aboutir les travaux, puisque dévastée par le choléra. Les héritiers ont donc restauré le manoir à son emplacement initial. Des années 1870 à 1990 il n'a pas changé. Ce n'est qu'en 1992 qu'il fit peau neuve, nouvelles ouvertures, nouvelles toitures, puis une partie de la propriété rénovée pour la création de gîtes ruraux en 2005.
Construit à partir de 1610 pour alimenter en eau la ville de Tréguier depuis les fontaines de Créven à Plouguiel. L'aqueduc enjambe la rivière le Guindy depuis la commune de Plouguiel vers la commune de Minihi-Tréguier. L'aqueduc sur le Guindy fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [40],[41].
Édifié près du Jaudy, Mézo-Bran s'accompagne d'une chapelle Saint-Joseph du XVIIe siècle, où jadis se déroulait un pardon. Près du manoir existe un chêne pluri-centenaire sous lequel saint Yves aurait dit la messe. Le « manoir de Mézaubran » fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le [42]. La propriété a appartenu pendant plusieurs décennies à la famille Le Goaziou, puis revendue à la fin des années 1980 à une famille suisse. Le manoir et les dépendances ont été entièrement rénovées. Le propriétaire suivant créa un élevage d'alpagas sur les 28 hectares du domaine. Mézo-Bran appartient désormais a une famille normande. Les souterrains n'ont jamais été retrouvés.
  • Le manoir de Kernabat. Christophe-Paulin de La Poix dit le Chevalier de Fréminville le décrit dans son ouvrage les Antiquités de la Bretagne, parue à la fin des années 1830, ainsi : « la maison principale construite dans le style gothique du XIVe siècle est accompagnée d'une tourelle hexagone renfermant l'escalier qui est une fort belle vis en pierre de taille »[43].
  • Les ruines de la chapelle saint Marc au Guindy, dite aussi chapelle des 5 Plaies. L'édifice, aujourd'hui détruit, construit au XIXe siècle se trouve près d'une fontaine et dépendait de la propriété de Troguindy.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Minihy-Tréguier et La Roche-Jaudy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pommerit-Jaudy » (commune de La Roche-Jaudy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pommerit-Jaudy » (commune de La Roche-Jaudy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Tréguier », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. https://www.ouest-france.fr/bretagne/lannion-22300/bretagne-le-manque-de-bras-freine-le-chantier-naval-boreal-minihy-treguier-6546813
  21. a b c et d infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Motreff ».
  22. Géraud Lavergne, « Les noms de lieux d'origine ecclésiastique », Revue d'histoire de l'Église de France, Tome 15, no 68, 1929, p. 326
  23. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 85, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
  24. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  25. Voir Louis Pichouron, "Mémoire d'un partisan breton Louis Pichouron Commandant Alain", Presses universitaires de Bretagne, 1970
  26. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011, page 73.
  27. Julien Lucas
  28. « Municipales à Minihy-Tréguier. Christian Le Roi élu maire sans surprise », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Pierre-Roland Giot, « Informations archéologiques, circonscription de Bretagne », Gallia préhistoire, vol. 14, no 2,‎ , p. 341 (lire en ligne).
  34. René Couffon, Répertoire des Eglises et chapelles du diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier., Saint-Brieuc, Les Presses Bretonnes, , 729 p., p. 263
  35. René Couffon, op.cit.
  36. Notice no PA00089332, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. René Couffon, Op. cit., p. 560
  38. René Couffon, Répertoire des Eglises et chapelles du diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier, Saint-Brieuc, Les Presses Bretonnes, , p. 263
  39. Georges Provost, Saint Yves et les Bretons. Culte, images, mémoire (1303-2003), Presses universitaires de Rennes, (lire en ligne), p. 154.
  40. Notice no PA00089331, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. Notice no PA00089700, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Notice no PA00089333, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 186 et 190.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Katell Le Roux & Luc Corlouër, Tréguier et Minihy-Tréguier Histoires, Monographie 2021, Éditions le Cormoran, beau livre 260 pages, 200 illustrations.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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