Projet:Communes de France/Conseils pour la rédaction

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Un article relatif à une commune française est constitué :

  • d'un résumé introductif comprenant deux parties résumant l'article.
    Il s'agit d'un résumé, donc les références de sources doivent se trouver dans les sections correspondantes au sein de l'article, et ces deux parties doivent se compléter et ne pas contenir des informations en double ;
    • 1 - l'Infobox qui reprend le modèle {{Infobox Commune de France}}
      Attention de respecter les recommandations relatives à l'indentation dans l'Infobox
    • 2 - le résumé de l'article
      Quelques lignes dont la première phrase peut être : '''Nom de la commune''' est une [[Commune (France)|commune française]] située dans le [[Département français|département]] [[nom du département]] en [[Région française|région]] [[nom de la région]]..
      Le texte qui suit cette phrase présente les éléments les plus notoires de la commune (gastronomie, monuments, événements…) et ne recopie pas des éléments figurant déjà dans la première partie (densité, gentilé…) sauf si ces éléments sont déterminants pour la notoriété de la commune.
      Le nom de la commune est indiqué en français, il peut être indiqué dans la langue régionale, voire dans d'autres langues, dans la section « Toponymie » (Nota : cette dernière phrase a été ajoutée à la suite d'une discussion d'août 2013, lire en cliquant ici).
    • De façon à améliorer la mise en page et afin de ne pas détailler inutilement la table des matières, on place à la fin du résumé introductif et en début de ligne le texte suivant : {{Sommaire|niveau=2}}
  • puis des dix sections qui suivent :
    • 1) Géographie
    • 2) Urbanisme (qui si elle est courte peut être intégrée à la section 1)
    • 3) Toponymie
    • 4) Histoire
    • 5) Politique et administration (tout ce qui concerne la politique — au sens no 2 du mot politique — de la commune et les moyens mis en place sur le plan administratif :
      • les choix des électeurs pour décider de leurs représentants (résultats des élections) ;
      • les actions prises par ces représentants : politique environnementale, jumelages, choix des investissements en fonction de la capacité d'autofinancement…
      • l'organisation mise en place par ces représentants : administration municipale, conseil des jeunes, conseil des aînés dans certaines communes…).
    • 6) Population et société : démographie + tout ce qui concerne le citoyen dans sa vie de tous les jours : enseignement / manifestations et festivités / santé / sports / médias / lieux de cultes)
    • 7) Économie
    • 8) Culture locale et patrimoine : ce qui est propre à la commune et ce indépendamment de la politique et des personnes : le patrimoine architectural, le patrimoine naturel, les musées, les spécialités gastronomiques, les personnalités liées à la commune, l'ensemble héraldique/devise/logotype, etc.
    • 9) Une section « Voir aussi », ou « Pour approfondir », ou « Annexes », ou autre, regroupant trois sous-sections : « Bibliographie » (qui contient des références vers des ouvrages relatifs à la commune) - « Articles connexes » (qui contient des liens vers des articles de la fr.wikipédia) - « Liens externes » (qui contient des liens vers des pages web extérieures à la fr.wikipédia)
    • 10) Notes et références

Nota :

  • lorsqu'une section (respectivement sous-section) n'est pas encore rédigée, il est conseillé d'y placer {{…}}, ce qui a pour effet d'inciter le lecteur à contribuer à rédiger lorsqu'il dispose d'information ;
  • par convention, les titres de sous-sections sont parfois au pluriel car génériques : par exemple « Transports » (même si un seul moyen de transport est évoqué), « Projets d'aménagement » (même s'il n'y a qu'un projet), « Sports » (à l'instar du ministère des Sports par opposition au ministère de la Santé, même si on évoque un seul sport), « Lieux et monuments » (même si aucun lieu ni monument n'est évoqué) de même que « Personnalités liées à la commune », « Articles connexes », etc.
  • rappel : la documentation des boîtes déroulantes précise que leur emploi n'est pas autorisé dans les articles de l'encyclopédie, à l'exception du modèle utilisé dans les palettes de bas de page. Il existe par ailleurs un autre moyen très simple pour limiter la longueur de la section « Notes et références » en utilisant la préférence ad-hoc (voir ici).

Géographie

Localisation

Cette sous-section a pour but de permettre au lecteur de situer la localité : cela peut se faire en précisant sa position par rapport aux grandes villes voisines, en faisant la liste des communes limitrophes, et — le cas échéant — en indiquant sa position par rapport à ce qui est significatif pour la localité : un massif montagneux, un bord de mer, un cours d'eau, etc..

Dans un premier temps, pour rédiger ce chapitre, on trouve des informations sur le site Géoportail, en prenant le calque des cartes de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) (attention aux sources primaires, donc ne pas en abuser).

Le site de la collection de David Rumsey présente l'ensemble des 182 cartes dressées par les membres de la famille Cassini de 1750 à 1815.

Pour information, une actualisation des zonages a été réalisée par l'Insee en 2020 (tous les 10 ans). Les nouveaux zonages sont les suivants : unités urbaines 2020 ou aires d'attraction des villes 2020, qui ont remplacé les aires urbaines 2010. Par ailleurs cette page donne accès aux données de chaque commune/canton/arrondissement/aire/unité/intercommunalité, etc., pour en connaître la population. Les fichiers Excel zippés de bas de page des deux premières pages donnent la liste des unités urbaines et aires urbaines (dans le désordre) car celles qui sont interdépartementales sont classées à part. L'ancienne base des unités urbaines 1999 est toujours consultable sur cette page.

Règle d'orthographe des points cardinaux : minuscule s'il s'agit d'une direction, majuscule s'il s'agit d'une partie du pays. On écrit par exemple : « Metz est une commune située au nord de Nancy dans l'Est de la France ».

Pour présenter les communes limitrophes, on peut utiliser le modèle {{Communes limitrophes}}. Une méthode pour les trouver peut être Géoportail IGN communes (limites des communes actuelles et noms), et en cas de doute (quadripoints), zoomer. Pour couvrir toute une zone (ex: département) sans en oublier, toujours progresser dans le même sens par commune voisine (par exemple, si on progresse vers l'ouest, la plus au sud-ouest qu'on n'ait pas déjà faite, copier-coller du modèle précédent), puis demi-tour au bout, comme un peintre qui peint un mur. Vérifier les liens (homonymie, orthographe) lors de la prévisualisation (survol souris uniquement pour conserver l'hyperlien en bleu pour s'y retrouver). Référencer avec la carte IGN (ex: Ansignan).

Géologie et relief

Une phrase introductive peut être :

La superficie de la commune est de {{unité|XXXX|hectares}} ; son altitude varie de {{unité/2|XXX|à=XXX|mètres}}<ref>[[Institut national de l'information géographique et forestière]], ''Répertoire géographique des communes''.</ref>.

On trouve les 19 données (DEP - COM - ARRD - CANT - ADMI - POPU - SURFACE - NOM - XLAMB2 - YLAMB2 - XLAMBZ - YLAMBZ - XLAMB93 - YLAMB93 - LONGI_GRD - LONGI_DMS - LATI_DMS - ZMIN - ZMAX) dans le « répertoire géographique des communes » de l'Institut national de l'information géographique et forestière téléchargeable à cette adresse.

Nota ajouté en 2020 : le RGC est expliqué par l'IGN en cliquant ici. Ce RGC n'est plus disponible en ligne sur le site de l'IGN mais reste accessible à plusieurs endroits, par exemple visualisable directement et téléchargeable si nécessaire, en cliquant ici.

Pour rédiger cette sous-section, on trouve des informations utiles dans le site Géoportail. Pour référencer, on peut utiliser le modèle {{Géoportail}}.

Des atlas très riches en informations ont été rédigés par chaque département/région et sont mis en ligne sur les sites propres à chacune de ces entités administratives. On y trouve systématiquement une description des principales unités paysagères/pays avec une description géologique, des reliefs, des types de paysages et de l'activité économique agricole. La description est assez fine pour rédiger le paragraphe concernant chaque commune. Un exemple pour l'Oise [1] (Attention document de 20 Mo). On peut retrouver généralement ces documents en effectuant une recherche via un moteur de recherche avec les arguments DREAL "Atlas des paysages" + nom du département ou de la région.

La superficie des communes de France, issue — tout comme celle donnée par l'IGN — des données des services du Cadastre, est également disponible dans la base Résumé statistique pour chaque commune de l'Insee.

On trouve également des données très précises sur le sous-sol dans la base de données du Bureau de recherches géologiques et minières.

Dans tous les cas, on référencera avec soin la source utilisée, les différents organismes ne calculant pas tous les superficies de la même façon (notamment pour les lacs et glaciers).

Hydrographie

Cette sous-section a pour but de permettre au lecteur de disposer d'informations sur les cours d'eau situés sur le territoire de la commune.

Petits cours d'eau

Le site du SANDRE ( Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau) fournit toutes les informations utiles, notamment les caractéristiques chiffrées des cours d'eau ici. Pour la syntaxe wiki, on utilise le modèle {{Sandre}}.

Grands fleuves et rivières

Pour toutes les communes traversées par une rivière ou un fleuve et faisant l'objet d'un PPRI, il est essentiel de décrire : les grandes crues historiques, les mécanismes d'inondation, les débits atteints, l'échelle de crue correspondante, les cotes d'alerte. Ces informations sont en général dans le DDRM (saisir dans un moteur de recherche : DDRM + nom du département) ou dans le rapport de présentation du PPRI (pour le récupérer, saisir dans un moteur de recherche : PPRI + nom du département).

La directive 2007/60/CE du Parlement européen et du Conseil du relative à l’évaluation et à la gestion des risques d’inondation, dite Directive inondation vise à l’élaboration avant 2015 de plans de gestion des risques d’inondation visant à une réduction des conséquences négatives des inondations sur les enjeux humains, économiques, environnementaux et culturels. Cette directive définit la notion de « territoire à risque important » (TRI).

Rechercher si la commune sur laquelle on travaille fait partie d'un TRI ou non. Décrire succinctement l'avancement de la procédure de TRI et le positionnement de la commune dans ce TRI (si elle est concernée ou non par la stratégie d'action). Pour cela récupérer de l'info en saisissant dans un moteur de recherche : directive inondation TRI + nom département.

Les documents sont en général présentés par bassin hydrographique ; la France métropolitaine est découpée en six bassins hydrographiques correspondant aux grands fleuves français : Adour-Garonne, Artois-Picardie, Loire-Bretagne, Rhin-Meuse, Rhône-Méditerranée-Corse et Seine-Normandie. Les quatre bassins des DROM complètent ce dispositif : Martinique, Réunion, Guyane et Guadeloupe. Voir par exemple la carte des TRI du bassin Rhône Méditerranée et leurs descriptifs.

Climat

Pour la rédaction de cette sous-section, on utilise le modèle {{Relevé météo}} et éventuellement le modèle {{Météo France}}. Des données sur une assez longue période sont données sur le site de l'association Infoclimat, en choisissant la station météo la plus proche de la commune concernée, ou deux stations si on veut affiner.

Voies de communication et transports

Voies de communication

Comme pour localisation, on trouve déjà quelques informations sur le site Géoportail, en prenant le calque des cartes IGN (attention aux sources primaires, donc ne pas en abuser).

Transports

Attention : ne pas utiliser dans les articles les petites icônes développées au sein du projet:Transports (sorties d'autoroute, numéro de ligne de transport, etc), c'est le résultat d'une prise de décision (PDD) en juillet 2008 et de la recommandation rappelée ici en page d'accueil du projet:Transports.

Urbanisme

Morphologie urbaine

Cette sous-section a pour but de permettre au lecteur de comprendre la façon dont le territoire de la commune est aménagé (bourg, hameaux, lieux-dits, quartiers, etc). S'il y a lieu, on peut faire ici un historique de cet aménagement.

Quelques pistes de recherche proposées par Mel22 le 10 décembre 2010 sur Discussion Projet:Architecture et urbanisme :

  • La source la plus immédiate, c'est le plan local d'urbanisme (PLU) de la commune, et plus précisément sa partie appelée rapport de présentation, en général réalisée par un cabinet d'urbanisme conseil. Il est en général chargé d'effectuer le diagnostic urbain de la ville puis établir des préconisations pour le PLU (comme ici par exemple). C'est donc le document le plus complet sur le sujet. Il est parfois mis en ligne sur le site de la mairie. Sinon, dans tous les cas, il est consultable en mairie et au siège de la Direction départementale des territoires (DDT).
  • Autre source, ce sont les études liées à un diagnostic patrimonial d'un territoire dans un contexte de projet d'aire de mise en valeur de l'architecture et du patrimoine (AVAP, ex-ZPPAUP) par exemple ou de parc naturel régional. En voici des exemples : en bas de cette page. Là encore, cela se fait souvent ; mais cela reste assez peu diffusé.
  • Dans le même genre, ce sont les villes qui ont la chance d'être Villes et pays d'art et d'histoire : les services d'animation du patrimoine produisent souvent des brochure de présentation de l'évolution de la ville souvent intitulée « Au fil de la ville » parfois succincts, parfois très complets. Encore mieux quand un ouvrage est publié.
  • Une autre source peut être les études universitaires, notamment en géographie sous la forme de mémoire de maîtrise ou master voire thèse. Il faut chercher dans les bibliothèques municipales ou les archives municipales si l'étudiant a eu la bonne idée de déposer son mémoire, mais cela se voit très peu. Il faut plutôt chercher dans les BU (j'en ai trouvé un à la BU de Nantes sur La Baule).

Pour accéder aux informations relatives aux communes de la région Île-de-France, il faut se rendre sur le portail de données ouvertes du site de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région d'Île-de-France.

On pourra utiliser le tableau suivant :

Type d'occupation des sols en 2008
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 78,80 % 749,87
Espace urbain non construit 18,50 % 176,20
Espace rural 2,70 % 26,13
Source : IAURIF[1]

Dans le cas où le territoire de la commune couvre le bourg (chef-lieu) et plusieurs hameaux et/ou lieux-dits, cette sous-section peut en faire la liste : on fera attention à écrire ces noms en romain et non pas en italique ; attention également à l’article défini initial : minuscule pour les hameaux et majuscule pour les chefs-lieux de commune (voir ici).

Logement

Les informations fournies par l'Insee peuvent être rédigées de la façon suivante :

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 10 500, alors qu'il était de 10 029 en 1999[Insee 1].

Parmi ces logements, 95,8 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 2,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 53,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 45,2 % des appartements[Insee 2].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 37,4 %, en hausse sensible par rapport à 1999 (29,9 %). La part de logements HLM loués vides était de 33,8 % contre 38,9 %, leur nombre étant constant 6 861 contre 6 856[Insee 3].

Un complément sur les styles architecturaux (traditionnels, modernes), leurs caractéristiques et leur importance est appréciable.

Projets d'aménagement

On peut souvent trouver des informations dans les schémas de cohérence territoriale (SCOT) ou les sites des intercommunalités ou des communes (projets de ZAC…), et parfois des études d'impact ou des avis de l’État (DREAL…).

Risques naturels et technologiques

Le risque est la confrontation d’un aléa (phénomène naturel dangereux) et d’une zone géographique où existent des enjeux qui peuvent être humains, économiques ou environnementaux. Les enjeux étant liés à la présence humaine, il est logique que cette sous-section soit dans la section « urbanisme ». Par ailleurs, tout risque naturel ou technologique majeur donne lieu à l'établissement d'un document d'urbanisme spécifique : plan particulier des risques naturels (PPRN) (PPRI pour le risque d'inondation), ou plan particulier des risques technologiques (PPRT) ou un plan de prévention des risques miniers (PPRM), qui s'impose en tant que servitude aux documents d'urbanisme locaux (PLU, cartes communales, etc.). Ainsi dès lors qu'une commune est couverte par un PPRN (voir la carte des PPRN approuvés en 2009), un PPRT ou un PPRM, ou a fortiori plusieurs cumulés, qu'il(s) soi(en)t approuvé(s) ou simplement prescrit(s), cette section est très fortement recommandée.

Pour connaître la liste des risques majeurs impactant une commune :

  • Aller sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire dédié aux risques en cliquant sur http://www.georisques.gouv.fr/connaitre_les_risques_pres_de_chez_soi/ma_commune_face_aux_risques/rapport?codeInsee=45008, 45008 étant le code Insee de la commune que l'on souhaite.
  • Récupérer le dossier départemental des risques majeurs (DDRM) où on a tous les risques pour chaque commune du département et un descriptif de chaque risque (saisir dans un moteur de recherche : DDRM + nom du département).
  • Récupérer le Dossier d'information communal sur les risques majeurs (Dicrim), mais ils ne sont pas tous en ligne et souvent sont très pauvres en informations (saisir dans un moteur de recherche : DICRIM + nom de la commune).

Risque inondation : Dans cette section présenter essentiellement : les enjeux exposés au risque inondation, les mesures de réduction de la vulnérabilité éventuellement réalisées et le ou les PPRI couvrant la commune (en général il n'y a qu'un PPRI, mais exceptionnellement comme à Angers, il peut y en avoir deux).

Par enjeux, il convient d'entendre : enjeux bâtis (quartiers, voies de circulation, bâtiments publics, etc.) et enjeux humains (population concernée). Le mécanisme des crues sera quant à lui détaillé dans la section « Hydrographie ».

La plupart de ces informations sont dans le rapport de présentation du PPRI. Pour le récupérer saisir dans un moteur de recherche : PPRI + nom du département.

Risque industriel : Ce risque concerne les communes qui accueillent un établissement classé Seveso seuil haut. Les informations du Dicrim et du DDRM peuvent suffire pour décrire le risque. Présenter le(s) PPRT : dates de prescription/approbation/révision.

Risque mouvements de terrains : on distingue deux types d'aléas :

  • aléa retrait-gonflement argiles : la définition est ici. La cartographie concernant la commune est obtenue avec l'url : http://www.georisques.gouv.fr/dossiers/argiles/carte#/com/45008, 45008 étant le code Insee de la commune.
  • aléa cavités souterraines : la définition est ici. La cartographie concernant la commune est obtenue avec l'url : http://www.georisques.gouv.fr/dossiers/cavites-souterraines/donnees#/dpt/45/com/45008/page/1, 45008 étant le code Insee de la commune.

Risque sismique, nucléaire, TMD : les informations sont sur le DDRM.

Toponymie

Cette section contient les explications relatives aux origines du nom de la commune.

Cette section précise, selon les cas :

  • les formes anciennes,
  • l'étymologie, plus ou moins hypothétique,
  • le nom officiel,
    • sa (ses) prononciation(s).
  • le nom en d'autres langues, notamment en langue minorisée,
    • sa (ses) prononciation(s).
    • Ce n'est pas pertinent de donner le nom dans toutes les langues. Par exemple, pour Strasbourg on mentionnera le nom officiel et français (Strasbourg), le nom alsacien (Strossburi), et le nom allemand (Straßburg ou Strassburg), mais on ne mentionnera pas le nom portugais (Estrasburgo).
  • les tendances d'utilisation,
    • Par exemple, pour la commune de Millas il y a deux formes du toponyme : Millas et Millars. La première est officielle, le catalan utilise la deuxième, et le français hésite entre les deux mais avec la première dominante.
  • la forme usuelle et/ou les surnoms,

Histoire

Cette section est une mise en perspective des événements qui ont marqué la commune, et non pas une simple chronologie de ces événements.

Les médiathèques et bibliothèques ont souvent une bibliographie régionale ou locale.

Les sections suivantes reprennent la périodisation historique classique ; elles sont à adapter en fonction du contenu.

Préhistoire

Antiquité

Moyen Âge

Cette période s'étend du Ve siècle au XVe siècle inclus.

Temps modernes

Cette section peut éventuellement être regroupée avec la précédente sous le titre Ancien Régime.

Si une section Renaissance est créée, elle prend place ici, mais le titre XVIe siècle est en général préférable, le terme Renaissance concerne l’histoire culturelle et artistique.

Révolution française et Empire

Faire référence à la loi du 14 décembre 1789, qui fixe le cadre territorial actuel des communes (même s'il reprend souvent celui d'une ou plusieurs entités préexistantes depuis sept à neuf siècles, de nature religieuse [paroisse] ou laïque [communauté ou seigneurie]) et des fonctions proches des fonctions actuelles, de manière uniforme pour toute la France (ce dernier aspect en plusieurs étapes pour la période).

Époque contemporaine

En histoire politique française, le XIXe siècle va de 1815 (après les Cent-Jours, fin de la période révolutionnaire) à 1914, et le XXe siècle commence en 1914, donc utiliser ce cadre pour les éléments qui relèvent du cadre politique et évènementiel.

Pour l'histoire économique, il est possible de sortir de cette périodisation, voire dans certains cas de créer une section spéciale (l'usine XX [ou le développement économique]).

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Cette sous-section permet au lecteur de se faire une idée des tendances politiques au fil du temps dans cette commune, en se basant sur les résultats électoraux les plus pertinents.

Il ne s'agit donc pas de faire une liste exhaustive de résultats électoraux mais de sélectionner ceux qui sont directement liées à la commune (en général, les élections municipales et éventuellement les élections présidentielles). L'utilisation de tableaux parce qu'ils sont le plus souvent inclus dans une boîte déroulante doit être écartée.

Le ministère de l'intérieur publie les résultats des différentes élections et référendums pour toutes les communes : cliquer ici. Outre les résultats des élections municipales, informations spécifiques de la commune, on peut ajouter — à titre d'information — les résultats des élections présidentielles. Les résultats des autres élections peuvent également être ajoutés mais seulement s'ils apportent une information utile au lecteur.

À l'issue des débats de juin-juillet 2020 en PDD du projet, la conclusion est la suivante :

  • pour toutes les élections sauf les municipales, on utilise le modèle {{Résultats élections communes françaises}} (auquel il va convenir de supprimer la partie relative aux élections municipales) ;
  • pour les élections municipales et territoriales de communes de plus de 1 000 habitants, on utilise le modèle utilisé dans Élections municipales de 2020 en Dordogne : exemples pour Champcevinel (un seul tour) et pour Bergerac (deux tours) ; la couleur politique de la liste est — par défaut — celle qui est indiquée sur le site du ministère de l'Intérieur ;
  • quant à l'élection du maire, on ne mentionne sa couleur politique dans le champ Étiquette du modèle {{Élu}} qu'à la condition qu'elle soit référencée par une source secondaire.


Cas des élections municipales de 2014

Pour les élections municipales de 2014, il faut noter plusieurs points :

  • base de données du ministère de l'Intérieur : le ministère de l'Intérieur a publié, sur son site avant les élections, l'ensemble des listes pour les 36 681 communes soit plus de 950 000 candidats ; dès dimanche soir 23 mars 2014, il publiait la plupart des résultats et lundi matin à 5 heures, il publiait même le nombre et les noms des conseillers élus pour chacune des listes dans les 30 226 communes où le conseil municipal a été élu dès le 1er tour ; il faisait de même le dimanche suivant 30 mars pour les résultats du second tour (voir [2]) ;
  • à partir des données transmises en avril 2014 par le ministère de l'Intérieur, Starus a créé un article par département pour indiquer les résultats : voir par exemple Élections municipales de 2014 dans les Hauts-de-Seine, puis il a mis à jour le champ maire dans les Infobox des 36 681 communes ;
  • au niveau de la précision sur les dates de fin et de début de mandats, les conseillers municipaux ont été élus les 23 et 30 mars 2014 mais les maires ont été élus par ces mêmes conseillers municipaux, soit dans la semaine après le premier tour, donc en mars 2014, soit dans la semaine après le second tour, donc en avril 2014.

Administration municipale

Cette sous-section donne des informations relatives au fonctionnement de la municipalité (conseil municipal, conseil des jeunes, conseil des aînés, etc.)

On ne cite pas les noms des membres du conseil municipal, à l'exception de celui qui a été élu maire.

Le nombre de membres du conseil municipal est fonction du nombre d'habitants de la commune[2].

Liste des maires

Modèles à utiliser

Pour la forme, on utilise des modèles spécifiques :

{{ÉluDébut |Titre= Liste des maires successifs|Charte=commune}}
{{ÉluDonnées}}
{{Élu|Début= 4 juillet 1969|Fin= 25 juin 1995|Identité=Paul Hochon |Parti= |Qualité= }}
{{Élu|Début= 25 juin 1995|Fin= 18 mars 2001|Identité=Jean Bon |Parti= |Qualité= }}
{{Élu|Début= 18 mars 2001|Fin= 9 mars 2008|Identité=Paul Martin |Parti= |Qualité= }}
{{Élu actuel|Début= 9 mars 2008|Date à jour=30 avril 2014|Identité=Pierre Petit |Parti= |Qualité= }}
{{ÉluFin}}

Ce qui donne :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
4 juillet 1969 25 juin 1995 Paul Hochon    
25 juin 1995 18 mars 2001 Jean Bon    
18 mars 2001 9 mars 2008 Paul Martin    
9 mars 2008 En cours
(au 30 avril 2014)
Pierre Petit    
  • dans l'Infobox, le champ « mandat maire = année1-année2 » est obligatoirement rempli de la façon suivante :
    1. soit le maire a été élu lors de la première réunion du conseil municipal qui a suivi les élections de mars 2014. On indique alors 2014, avec lien vers l’article national : [[Élections municipales françaises de 2014|2014]] ou celui du département ; le champ « année2 » a la valeur 2020 (sans lien wiki), date prévue des prochaines élections, date normale de fin de mandat ;
    2. soit le maire est élu dans l’intervalle (après décès, démission, révocation) : « année1 » est l’année (sans lien wiki) d’élection du maire par le conseil municipal ; le champ « année2 » a la même valeur que dans le cas 1 et ne change pas.
  • dans la liste des maires, le champ « Période » ne correspond pas nécessairement à une période de mandat. On indique le nom du maire actuel en utilisant la syntaxe suivante :
 {{Élu actuel|Début= DATE |Date à jour= |Identité= Jean Bon  |Parti= XXX |Qualité= YYY }}

où DATE est la date de la première élection de ce maire depuis qu'il est en poste.

Exemple :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2014 Jean Bon XXX YYY
mars 2014 En cours
(au 2 avril 2014)
Jean Aymard XXX YYY

signifie que Jean Aymard a succédé en mars 2014 à Jean Bon qui était en poste depuis mars 2001.

Exemple :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juillet 1974 mars 1983 Paul Hochon PS  
mars 1983 mars 1989 Jean Bon DVD  
mars 1989 mars 1995 Paul Hochon Divers Gauche  
mars 1995 En cours
(au 2 avril 2014)
Jean Aymard PS  

signifie que Paul Hochon a été maire de juillet 1974 à mars 1983 puis de mars 1989 à mars 1995, et que le 2 avril 2014 le maire était Jean Aymard, élu en mars 1995.

Le champ « Qualité » permet d'indiquer la profession/fonction du maire au moment de son élection et durant son/(ses) mandat(s).

Conseils

On fera attention :

  • à ce que cette liste est une « Liste des maires successifs » comme le titre l'indique, il faut ainsi placer les maires dans l'ordre de succession (donc en commençant par le plus ancien) ;
  • à ce que cette liste est une liste de maires, et non pas de mandatures : lorsqu'un maire a fait plusieurs mandatures successives, on indique la date du début de la première et la date de fin de la dernière ;
  • à placer le commentaire {{ÉluDonnées}} en tête de liste si les informations manquantes sont les plus anciennes (ce commentaire peut inciter le lecteur à compléter la liste)
  • si on indique avec précision une date (en précisant le jour et le mois), à ne pas indiquer la date de l'élection municipale mais la date à laquelle le conseil municipal s'est réuni pour élire le maire ;
  • à ne pas mettre les noms en majuscules, mais comme c'est la règle sur la fr.wikipédia, on met la première lettre seulement en majuscules pour le prénom puis le nom (comme son nom l'indique le « pré »nom se place toujours avant le nom) ;
  • à ne pas mettre de majuscules aux noms des mois : on écrit « Début=mars 2008 » et non pas « Début=Mars 2008 » ;
  • à faire précéder, dans la liste comme dans l'infobox, le nom du ou de la maire dont le prénom peut être compris comme masculin ou comme féminin (comme Claude, Camille et Dominique), de {{M.}} ou {{Mme}}, ce qui se traduit par M. ou Mme ;
  • à ce que la longueur de cette liste des maires soit cohérente avec la taille de l'article : on créera un article dédié si nécessaire (cf. par exemple la liste des maires de Bias). Ceci est conforme à la recommandation WP:SC : « Une telle méthode est acceptable et encouragée comme moyen de rendre les articles plus lisibles et faciles à gérer par les contributeurs. ».
    Dans ce cas, on ne garde habituellement dans l'article de la commune que les maires élus depuis la Libération de la France.
  • L'usage du paramètre Date à jour dans {{Élu actuel}} permet d'indiquer au lecteur la date où a été vérifiée pour la dernière fois l'information. Des décès, élections ou démissions postérieurs à cette date peuvent donc ne pas avoir été mentionnés dans l'encyclopédie. Cette information est particulièrement précieuse pour déterminer si un maire a été réélu lors des dernières élections municipales.

Cas des élections municipales de 2014

Lorsque les membres du conseil municipal ont été élus dès le premier tour, une réunion de ce nouveau conseil municipal s'est tenue le vendredi 28 mars ou le samedi 29 mars pour élire le maire. Lorsqu'un second tour a été nécessaire, la première réunion du conseil municipal s'est tenue le vendredi 4 avril ou le samedi 5 avril. Les procès-verbaux de ces réunions sont ensuite transmis par les mairies aux préfectures puis au ministère de l'Intérieur qui établit la liste des maires des 36 681 communes. Starus (d · c · b) s'est procuré cette liste et a ainsi pu mettre à jour dans le courant du mois d'avril 2014, l'ensemble des Infobox des 36 681 articles de nos communes de France. Il convient donc ensuite au cas par cas, de mettre à jour la liste des maires à partir de l'information de l'Infobox. Dans le cas où le maire a été réélu, on n'oubliera pas d'utiliser le champ Date à jour=30 avril 2014 pour indiquer cette réélection.

Sources d'informations

On peut se référer au site de l'association FranceGenWeb.

L'association des maires de France tient à jour l'annuaire des maires de France. Il suffit donc de s'y référer pour avoir une information à jour.

Rattachements administratifs et électoraux

C'est dans cette section que l'on indique les rattachements administratifs (arrondissement, canton avant la réforme territoriale de 2014, circonscriptions judiciaires avant et après la réforme de la carte judiciaire de 2007, etc) et les rattachements électoraux (circonscriptions législatives avant et après le redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010, canton depuis la réforme de 2014).

Un bon exemple de cette sous-section a été proposé en pour la rédaction de l'article consacré à la commune d'Artenay.

Pour les informations relatives à la carte judiciaire :

Brie-Comte-Robert relève du [[tribunal d'instance]] de Melun, du [[tribunal de grande instance (France)|tribunal de grande instance]] de Melun, de la [[cour d'appel de Paris]], du [[Tribunal pour enfants en France|tribunal pour enfants]] de Melun, du [[conseil de prud'hommes (France)|conseil de prud'hommes]] de Melun, du [[tribunal de commerce (France)|tribunal de commerce]] de Melun, du [[Tribunal administratif (France)|tribunal administratif]] de Melun et de la [[cour administrative d'appel de Paris]]<ref>
{{Lien web
 |url=http://www.annuaires.justice.gouv.fr/annuaires-12162/liste-des-juridictions-competentes-pour-une-commune-22081.html
 |titre=Liste des juridictions compétentes pour une commune
 |site= le site du ministère de la Justice et des libertés
 |consulté le= 22 février 2013
}}.</ref>.

Politique environnementale

Gestion de l'eau (assainissement individuel ou collectif? Capacité et type de la station d'épuration? Récupération des eaux pluviales? Quelle gestion de l'arrosage des espaces verts? Gestion différenciée…), de l'énergie (Quelle centrale nucléaire la plus proche? Quelles énergies renouvelables? Réseaux de chaleur? Bâtiments basse consommation ou passifs?), des déchets (recyclage, incinération, compostage, stockage, valorisation énergétique…), des espaces verts, agenda 21 communal… Voir par exemple cette section dans Bordeaux.

Finances locales

Cette sous-section est relative aux finances de la commune et non pas à celles des habitants (elles sont décrites plus bas). Elle met en perspective sur une mandature (voire deux) les principales évolutions des indicateurs financiers communaux.

La publication de données liées aux finances locales nécessite une mise en perspective de ces données, car elles peuvent être très fluctuantes d'une année à l'autre : une donnée isolée ne veut pas dire grand chose. Quant aux données liées à l'endettement, c'est encore plus vrai si on ne met pas en face la capacité de remboursement. N'importe quel lecteur comprend qu'une commune qui s'endette de 50 euros par habitant mais n'a une capacité de remboursement que de 30 euros est moins bien gérée qu'une commune qui a un endettement de 100 euros par habitant mais une capacité de remboursement de 130 euros. Donc citer une commune parce qu'elle est l'une des plus endettées de France ne signifie pas grand chose. Et à l'inverse, les administrés des communes les moins endettées devraient se poser des questions sur le fait que bien souvent le conseil municipal a reculé devant des investissements. Il convient donc d'être très prudent dans l'interprétation que peut faire le lecteur de ces données isolées.

Une donnée de synthèse est l'évolution sur quelques années de la capacité d'autofinancement par habitant (recettes - dépenses - coût de la dette), ce qui permet de voir immédiatement la marge de manœuvre disponible pour réaliser de nouveaux investissements. Ces données doivent en outre être mises en relation avec l’endettement des communes de la même strate de population[3]) et la répartition des charges par catégorie et par strate[4].

Le ministère des Finances publie les comptes (depuis l'année 2000) très détaillés des 36 658 communes[Note 1] de France via un site spécialisé facile à lire (Les comptes des collectivités). Les données brutes au format CSV sont récupérables sur le site officiel data.gouv.fr. Le Ministère de l'Économie et des Finances publie chaque année un fichier regroupant les valeurs pour toutes les communes de France.

Rappel de la recommandation sources primaires v/s secondaires : « une source primaire peut être utilisée pour des assertions factuelles ou descriptives, sans interprétation […], dont la signification peut être comprise sans ambiguïté par une personne raisonnablement cultivée, sans connaissance spécialisée. Toutefois, les passages cités ne devraient pas être le fruit d'une sélection ou d'une compilation arbitraire, et ne pas pouvoir faire l'objet d'interprétations diverses. » ; ce qui signifie que la sous-section « Finances locales » peut contenir une suite de données comptables mises en perspective sur plusieurs années, mais cela en étant attentif à ne pas y apporter d'interprétation. En cas de commentaires, ceux-ci doivent être référencés par des articles portant, soit sur les finances de la commune, soit sur les finances des communes de la même catégorie ou du même département, afin d’éviter le travail inédit.

La rédaction de cette sous-section peut être facilitée par la réutilisation de tableaux et courbes réalisés dans le cadre du projet Finances Locales v3. Le site web consacré au finances locales, mis à jour le à partir du site data.gouv.fr, met à disposition des contributeurs de Wikipédia du Wikicode. Certains éléments pourront être insérés dans les articles des communes. Conformément aux recommandations au dessus, il faudra prendre soin de bien sourcer les ajouts.

Jumelages

Pour compléter ce chapitre, on se référera à la base de données des jumelages gérée par le ministère des affaires étrangères et européennes.

Procédure :

  • aller à la page https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/accesMonde.html
  • cliquer sur le bouton du milieu « Recherche avancée Atlas français », ce qui permet d'ouvrir une « session » de recherche
  • dans la nouvelle grille de saisie, taper le nom de la commune dans le champ « Collectivité territoriale française »
  • les résultats arrivent rapidement. Pour info : un export pdf est proposé.

On pourra utiliser le modèle {{Jumelage}} de la façon suivante :

Au 8 février 2012, Antony est [[Jumelage|jumelée]] avec<ref>
{{Lien web
 |url=https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/accesMonde.html
 |titre= Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures
 |site= le site du ministère des Affaires étrangères
 |consulté le= 8 février 2012
}}.</ref> :
* {{jumelage|Arrondissement de Reinickendorf|Allemagne|année= 1966}} ;
* {{jumelage|Lexington (Massachusetts)|États-Unis|ville=Lexington|année= 1990}}.

ce qui donne :

Au 8 février 2012, Antony est jumelée avec[5] :

Attention, le Modèle:Jumelage est « prévu pour être utilisé dans des listes (et non dans des phrases). »

L'atlas du ministère des affaires étrangères n'étant pas toujours à jour, il peut être judicieux de le comparer avec les informations émises par les mairies. On peut même signaler aux mairies les différences d'information, action qui en général aboutit à une mise à jour de l'Atlas.

Population et société

Démographie

L'Infobox contient généralement le nom des habitants dans le champ « gentilé ».

De façon à référencer la source de cette information, on pourra ici donner les explications correspondantes : références de la source, explications sur l'origine de cette appellation, etc. Pour cela, on peut alors écrire la phrase-type suivante (exemple pour Paris)[Note 2] : Les habitants de la commune sont appelés les ''Parisiens''. ou — si l'on désire faire un hyperlien vers le mot gentilé — Les habitants de la commune [[gentilé|sont appelés]] les ''Parisiens''. ; dans ce dernier cas, on veillera à ne pas faire l'hyperlien avec le mot « habitants » mais avec les mots « sont appelés », puisque l'hyperlien conduit non pas à une explication relative aux « habitants » mais à une explication relative à la façon dont ils « sont appelés ».

L'écriture « les habitants » correspond au genre neutre qui est suffisant dans la très grande majorité des cas. Ainsi, il est inutile d'écrire « Les habitants s'appellent les Parisiens et les habitantes s'appellent les Parisiennes » : cette formulation ne sera utilisée que dans les cas où le mot au genre neutre ne permet pas d'en déduire le mot au genre féminin.

Le site commercial habitants.fr en fournit un certain nombre. Attention toutefois car il s’agit d’un site commercial alimenté par les internautes, qui ne sont pas tenus d’indiquer leurs sources d'information. On prendra soin d'indiquer la référence de cette source si on recopie des informations issues de ce site, par exemple de la façon suivante :

Ses habitants [[gentilé|sont appelés]] les ''Massoinques''<ref>
{{Lien web
 |url=http://www.habitants.fr/habitants_massoins_06082.html
 |titre=Alpes-Maritimes > Massoins (06710)
 |site=le site habitants.fr de David Malescourt
 |consulté le=21 août 2013
}}.</ref>.

Le trésor des régions, site tenu par le géographe Roger Brunet, en fournit un certain nombre.

Données officielles publiées par l'Insee

Le 27 décembre 2017, l'Insee a mis en ligne les données 2015 relatives à la population.

Un peu de vocabulaire

De 1962 à 1999, la population à prendre en compte est la « population sans doubles comptes » (voir chiffres de population de la France). Depuis 2006, c'est la « population municipale » (voir article chiffres de population de la France#La population municipale) par opposition à la « population totale ».

Lorsque l'Insee écrit « populations légales », cela veut dire que ces données peuvent être utilisées quand les textes de loi font référence au nombre d'habitants, par exemple le nombre de conseillers municipaux qui est fonction du nombre d'habitants. Il faut donc qu'à partir d'un instant donné, ces chiffres aient une valeur « légale ».

Comment mettre à jour l'article ?

En août 2010, une feuille de calcul a été mise à la disposition de tous ici. Son utilisation permettait de rédiger de façon automatique les tableaux et diagrammes des paragraphes « évolution démographique » et « pyramide des âges ».

Depuis début 2012, la simple introduction du modèle {{Section démographie d'article de commune de France}} permet de créer la sous-section, de façon automatique, avec un tableau et un graphique. Nota : en cas d'utilisation de ce dernier modèle, le lien à faire en référence vers la base Cassini de l'EHESS est <ref name="Cassini" />.

Le modèle {{Section démographie d'article de commune de France}} est équivalent aux trois modèles successifs {{Introduction population d'article de commune de France}}, {{Tableau population d'article de commune de France}} et {{Graphique population d'article de commune de France}}. L'utilisation de ces trois modèles successifs est utile lorsqu'on désire ajouter du texte entre les tableaux (voir l'exemple de Cazalis (Gironde)).

Cas des communes fusionnées

Pour les communes fusionnées, l'exemple de Saint-Malo a été considéré en mai 2013 comme un bon exemple.

Cas des données antérieures à 1793

Pour les données antérieures à 1793, les populations étaient généralement exprimées en feux ; ces données peuvent être ajoutées en s’inspirant de ce qui a été fait pour la commune de Pouancé, considéré en 2012 comme un bon exemple.

Enseignement

Les listes d'établissements scolaires du 1er et du 2d degrés sont disponibles sur les sites des inspections académiques des départements. On pourra également se référer à l'annuaire national tenu à jour par le ministère de l'éducation nationale.

Manifestations culturelles et festivités

Santé

Pour les petites communes, on peut indiquer l'hôpital le plus proche, la présence de professionnels de la santé, d'une pharmacie… On pourra trouver des informations sur le site de la commune, de l’hôpital…

Sports

Médias

Cultes

Cette sous-section présente les lieux de culte disponibles dans la commune. Un historique peut être utile le cas échéant.

Pour rédiger ce chapitre, on trouve des informations sur les lieux de culte :

Économie

Revenus de la population et fiscalité

Données 2011 : le 5 septembre 2013, l'Insee a publié la mise à jour des données du fichier des données des communes[6].

  • Il faut télécharger et décompresser ce fichier. L'opération n'est à faire qu'une fois, aussi longtemps que ce fichier n'est pas mis à jour.
  • On trouve alors le fichier « RFDM2011COM.xls ».
  • L'ouvrir et sélectionner l'onglet « D_M », supprimer les 7 premières lignes puis « Tout sélectionner » dans le menu Edition. Dans le menu Données, cliquer sur « Trier », et choisir la colonne J (« médiane ») et l'ordre décroissant. Enfin rechercher dans le fichier (menu Edition, « Rechercher et remplacer ») le nom de la commune concernée. Le revenu est la valeur figurant en colonne J. Le rang est celui indiqué dans la colonne de gauche qui numérote les lignes du fichier.

Exemple : En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 20 225 , ce qui plaçait Villefavard au 30 783e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[7].

En 2009, 57,7 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[Insee 4].

Emploi

Les informations fournies par l'Insee peuvent être rédigées de la façon suivante :

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 17 056 personnes, parmi lesquelles on comptait 73,5 % d'actifs dont 68,0 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs[Insee 5].

On comptait 6 567 emplois dans la zone d'emploi, contre 6 462 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 11 679, l'indicateur de concentration d'emploi est de 56,2 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu plus d'un emploi pour deux habitants actifs[Insee 6].

Entreprises et commerces

Les informations fournies par l'Insee peuvent être résumées de la façon suivante :

Au 31 décembre 2010, Sucy-en-Brie comptait 1 578 établissements : 7 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 58 dans l'industrie, 175 dans la construction, 1 097 dans le commerce-transports-services divers et 241 étaient relatifs au secteur administratif[Insee 7].

En 2011, 207 entreprises ont été créées à Sucy-en-Brie[Insee 8], dont 133 par des autoentrepreneurs[Insee 9].


Par ailleurs, le géographe Roger Brunet fournit des informations sur son site personnel. Le site bilans.net donne des listes d'entreprises par villes et secteurs d'activité, les CCI donnent les noms des entreprises membres avec leur taille (en salariés et chiffre d’affaire) ; il s’agit toutefois uniquement des entreprises qui cotisent. De plus, il est souhaitable de ne retenir que les principales entreprises (seuils variables selon la taille de l’entreprise). Pour les commerces, l'INSEE met en ligne des statistiques du nombre d'équipements et de services (dernière publication le 28 juin 2012 pour les statistiques 2011).

Selon les informations disponibles, on peut développer en utilisant les sous-sections suivantes :

Secteur primaire ou Agriculture

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

Dans Géoportail, la couche Agriculture permet de distinguer les types de cultures dans une commune (afficher aussi les limites de communes), entre bois, vignes, céréales, prairies, vergers, ... La légende est accessible en cliquant sur le "i" de la couche dans "Ma sélection de données".

Secteur secondaire ou Industrie ou Artisanat et industrie

Les entreprises de BTP se trouvent dans ce secteur, dans une petite commune il peut être plus adapté de préciser l’intitulé de la sous-section.

Secteur tertiaire ou activités de service

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Dans ce chapitre, on pourra se référer aux 17 bases de données du ministère de la Culture.

Pour les recherches :

  • base Joconde (catalogue collectif des collections des musées de France)
  • base Mémoire (collections d'images du service des archives photographiques (SAP), des services régionaux de l'Inventaire (IVR), des conservations régionales des monuments historiques (CRMH),des services régionaux de l'archéologie (ARCHEO), des services départementaux de l'architecture et du patrimoine (SDAP)
  • base Mérimée (patrimoine architectural)
  • base Palissy (patrimoine mobilier), dont la base des objets volés

Pour cela on utilise les modèles définis à cette attention : par exemple

  • Base Joconde : <ref>{{Base Joconde|M5037000056}}</ref>, ce qui donne[8]
  • Base Mémoire : <ref>{{Base Mémoire|IVR31_89620538ZA}}</ref>, ce qui donne[9]
  • Base Mérimée : <ref>{{Base Mérimée|IA00008440}}</ref>, ce qui donne[10]
  • Base Palissy : <ref>{{Base Palissy|IM56002850}}</ref>, ce qui donne[11]

Autre source utile : les « dossiers documentaires » de l'inventaire général : http://www.culture.gouv.fr/documentation/memoire/LISTES/bases/AG_dpt-NN.htm où NN est le numéro du département. Cliquer sur Liste des communes par département en dessous de accès aux dossiers documentaires de l'inventaire, dans le menu à gauche. Cela ne concerne malheureusement pas toutes les communes. Ces dossiers possèdent parfois des références bibliographiques qui peuvent être utiles.

Pour indiquer tous les lieux, monuments et objets répertories, on peut utiliser le texte suivant :

Nanterre compte 2 monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[12] et 76 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[13]. Par ailleurs, elle compte 9 objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[14] et 38 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[15].

Voir aussi : Liste des monuments historiques par département et Monument historique (France) ainsi que Inventaire général du patrimoine culturel.

Le CTHS donne en accès libre ses publications de plus de trois ans. Dont les actes d'un colloque sur les fortifications, qui offrira l’avantage de donner un point de vue récent et renouvelé sur les fortifications de votre ville préférée c’est ici.

Patrimoine culturel

Cette sous-section développe tout ce qui fait le patrimoine culturel de la commune, notamment les liens avec les arts : littérature, musique, peinture, photo, danse, sculpture, tournages de films ou téléfilms…

Cette sous-section, parfois nommée « Équipements culturels » donne des informations sur les musées, bibliothèques, salles de spectacles (théâtre, etc).

Patrimoine naturel

Les différents classements écologiques peuvent être présentés ici : ZNIEFF, Natura 2000, parc naturel régional ou national, réserve naturelle… Les informations relatives à la faune et à la flore sont décrites lorsqu'elles sont spécifiques de la commune.

Les informations se trouvent en ligne sur les sites des DREAL, des réserves naturelles de France, etc.

Personnalités liées à la commune

Dans cette sous-section, on liste les personnalités liées à la commune dont la notoriété est reconnue par l'existence d'un article dans la fr.wikipédia. On peut toutefois y ajouter des personnalités dont les articles n'ont pas encore été rédigés à la condition que leur notoriété soit établie par des références à des sources secondaires. On veillera à préciser le lien entre la personnalité et la commune.

Dans le cas où vous possédez des informations sur une personne dont l’action a un lien avec la commune, mais qui est peu connue, vous pouvez signaler cette action dans la partie la plus adaptée : Histoire, Économie, Arts, etc.

Lorsque la liste est longue (plus de 10 à 15 noms), on pourra créer un article détaillé, et ne conserver dans l'article principal que les personnalités les plus marquantes de la commune.

La syntaxe généralement utilisée est la suivante : prénom, nom, années de naissance et de mort, puis on reprend la première phrase de l'intro de l'article concerné, en précisant le lien avec la commune (avec éventuellement des informations complémentaires).

Par exemple (extrait de l'article labellisé BA, consacré à la commune de Saintes) :

  • Fernand Chapsal (1862-1939), homme politique, maire de Saintes en 1919, puis sénateur et membre du gouvernement. Le jardin public et une rue de la ville perpétuent sa mémoire.

Héraldique, logotype et devise

Dans ce chapitre, on utilisera le modèle {{Blason commune}}. On peut se référer à l'armorial du département.

Rappelons qu'il s'agit bien du blason de la commune, pas de celui de la famille ou d'un individu marquant de cette commune.

Le titre de cette section peut être « Voir aussi », ou « Pour approfondir », ou « Annexes », ou autre

Une même section regroupe la bibliographie, les articles connexes et les liens externes concernant le sujet abordé dans l'article. Nota : l'appellation donnée à cette section n'est pas imposée (cf. discussion ici).

Bibliographie

Pour mettre en forme la bibliographie utiliser le modèle Ouvrage : {{ouvrage | prénom1 = Louis | nom1 = Trenard | directeur1 = Trenard | prénom2 = Michel | nom2 = Rouche | lien auteur2 = Michel Rouche | préface = [[Jacques Legendre]] | titre = Histoire de Cambrai| | collection = Histoire des villes du Nord / Pas-de-Calais | éditeur = Presses Universitaires de Lille | année = 1982 | année première édition = 1982 | tome = 2 | pages totales = 314 | format = 24cm | isbn = 2-85939-202-7 | issn = }} ce qui donne ceci :

  • Louis Trenard (dir.) et Michel Rouche (préf. Jacques Legendre), Histoire de Cambrai, t. 2, Presses Universitaires de Lille, coll. « Histoire des villes du Nord / Pas-de-Calais », (1re éd. 1982), 314 p., 24cm (ISBN 2-85939-202-7[à vérifier : ISBN invalide])

Pour mettre en forme les références bibliographiques, si elles sont nombreuses, deux méthodes possibles:

  • utiliser le modèle {{harvsp}}. Exemple faisant référence à l'ouvrage cité ci-dessus :

L’ancienne église n’ayant pas été totalement détruite, il était possible d’en réutiliser une partie pour assurer la continuité du culte<ref>{{harvsp|Trenard|Rouche|1982|p=78}}</ref>.

Ce qui donne : L’ancienne église n’ayant pas été totalement détruite, il était possible d’en réutiliser une partie pour assurer la continuité du culte[16].

  • les séparer des autres références et les regrouper par titres (préférable en cas de références multiples au même ouvrage) en utilisant la syntaxe <ref group="Insee">p.123</ref>. Exemple faisant référence à l'ouvrage cité ci-dessus :

Si le porche avait été reconstruit dans la tradition carolingienne du Saint-Empire, les bâtisseurs se donnèrent davantage de liberté pour l’édification de la nef[Insee 10]. Du reste l’évêque Nicolas de Chièvres, contemporain et ami de l’abbé Suger, avait assisté à la consécration du chœur de l’abbaye de Saint-Denis en 1144[Insee 11] : il connaissait donc la nouvelle architecture.


  • Louis Trenard (dir.) et Michel Rouche (préf. Jacques Legendre), Histoire de Cambrai, t. 2, Presses Universitaires de Lille, coll. « Histoire des villes du Nord / Pas-de-Calais », (1re éd. 1982), 314 p., 24cm (ISBN 2-85939-202-7[à vérifier : ISBN invalide])

Articles connexes

On fait ici une liste d'articles de l'encyclopédie fr.wikipédia dont l'objet traité est connexe à la commune. Par exemple, on trouve généralement l'article nommé Liste des communes de/du/des (suivi du nom du département).

Liens externes

Conformément à la recommandation relative aux liens externes, on notera que la fr.wikipédia n'est pas un annuaire de liens. Les pages web qui sont des sources d'informations doivent être référencées au sein de l'ensemble <ref>[…]</ref> dans la section concernée : par exemple, le lien vers le site d'un club de football sera indiqué dans la sous-section « Sports » et non pas en bas d'article dans la sous-section « Liens externes ». Sauf cas particulier, on se limite donc ici au lien vers le site de la mairie et aux liens vers les autres projets. La syntaxe utilisée peut être la suivante :

{{Autres projets| commons= Category:NomCommune| wiktionary= NomCommune }}

* [http://www… Site de la mairie]

N.B. : pour signaler les autres projets, attention aux noms de communes comportant une apostrophe : le titre de l'article de Wikipédia utilise l'apostrophe droite alors que le titre sur le wiktionnaire utilise l'apostrophe courbe.

On évitera ici d'ajouter le qualificatif « officiel » au mot « site », puisque le site de la mairie ne peut être qu'officiel, de même pour le site de l'office de tourisme ; par ailleurs, il est inutile de préciser le nom de la commune, puisque l'article défini « la » se rapporte à la commune, sujet de l'article. On n'utilisera pas le modèle {{Site officiel}} pour indiquer l'url du site de la mairie, ce qui tendrait à indiquer que ce site est le site « officiel » de tout ce qui est relatif à la commune.

On fera attention à ne pas indiquer dans cette section des sites commerciaux (dont l'url ne se termine plus toujours par .com), même s'ils publient des informations relatives à la commune (généralement recopiées des bases Mérimée, Palissy, Insee, IGN…).

Notes et références

On utilise le modèle {{Références}} sans option particulière, c'est-à-dire en utilisant la valeur par défaut comme indiqué dans la documentation du modèle.

Notes

  1. Nombre de communes de France au .
  2. Le gentilé est ici en italique par autonymie conformément à la règle de typographie « Mots à faire ressortir du texte », page 121 du Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale, référence des règles de typographie utilisées dans la fr.wikipédia.

Références

Insee

  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  4. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
  5. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  6. EMP T5 - Emploi et activité.
  7. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  8. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  9. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
  10. p.432
  11. p.433

Nota : en , l'Insee a modifié de façon très importante la structure de son site. Le projet a rédigé la page Projet:Communes de France/Référence au site de l'Insee afin de s'y retrouver.

Autres sources

  1. « Fiche communale d'occupation des sols », sur le site de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de l'Île-de-France, (consulté le ).
  2. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  3. exemple.
  4. exemple.
  5. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  6. Téléchargement des bases Insee par canton, arrondissement, département, région, zone d'emploi, unité urbaine, aire urbaine, etc.
  7. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  8. Notice no M5037000056, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  9. Notice no IVR31_89620538ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  10. Notice no IA00008440, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  11. Notice no IM56002850, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  12. « Liste des monuments historiques de la commune de Nanterre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  13. « Liste des lieux et monuments de la commune de Nanterre à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  14. « Liste des objets historiques de la commune de Nanterre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  15. « Liste des objets de la commune de Nanterre à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  16. Trenard et Rouche 1982, p. 78