Saint-André-de-la-Marche

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Saint-André-de-la-Marche
Saint-André-de-la-Marche
La mairie.
Blason de Saint-André-de-la-Marche
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Commune Sèvremoine
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Thierry Lebrec
2020-2026
Code postal 49450
Code commune 49264
Démographie
Gentilé Andréatains
Population 2 874 hab. (2013)
Densité 261 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 03″ nord, 0° 59′ 38″ ouest
Altitude 80 m
Min. 43 m
Max. 114 m
Superficie 11,03 km2
Élections
Départementales Saint-Macaire-en-Mauges
Historique
Fusion 15 décembre 2015
Commune(s) d'intégration Sèvremoine
Localisation
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Saint-André-de-la-Marche

Saint-André-de-la-Marche est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Sèvremoine[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce village angevin se situe dans la région des Mauges, à une dizaine de kilomètres nord-ouest de Cholet[2],[3]. Historiquement, Saint-André-de-la-Marche se situe aux confins des trois provinces : Poitou, Anjou et Bretagne. C'est cette position si particulière sur ce que l'on nomme alors les Marches ou Frontières qui en fera un bureau de la gabelle.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Toponymie et héraldique[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Andréatains[4].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-André-de-la-Marche Blason
D'argent au sautoir alésé de gueules, clouté en cœur de deux pièces du même rangées en pal, cantonné au premier de deux marches, la plus haute à dextre sommée d'un panneau frontalier, l'autre sommée d'un sac de sel et au râteau de paludier (las) posé en pal à senestre, au deuxième d'une abeille, au troisième de trois rochers isolés, rangés en pal, celui du milieu plus grand que les autres, au quatrième d'une charrue, le tout d'or ; flanqué en pal à senestre de sable à la fleur de lis d'or ; le tout sommé d'un chef de sable chargé d'une chaussure antique d'or ; au franc-canton senestre d'azur chargé d'une étoile d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Plusieurs menhirs, aujourd'hui détruits, ont été signalé sur le territoire de la commune (Pierre levée de la Blouère, Pierre droite, Pierre levée du Coureau, menhir incertain de Bellevue)[5]. Une cinquantaine de haches polies ainsi que deux haches en bronze et des silex taillés indiquent la présence humaine dans le secteur[6].

Il y avait à trois kilomètres Espetvan lieu planté de taillis, aujourd'hui Saint-Macaire en Mauges, et à trois ou quatre lieues Ségora (Fief Sauvin - Villeneuve). Sur l'antique voie qui conduisait de Poitiers à Nantes, Saint-André était la dernière étapes des pictons avant d'entrer chez les Andécaves ou les Namnètes, une station frontière qu'évoquait déjà sans doute son nom celtique. Il est possible que le territoire ait été habité par le peuple gaulois des Ambiliatres.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La première mention historique de la paroisse se trouve dans un cartulaire de l'évêché de Poitiers, le Grand Gauthier : Parochia Sancti Andrœ. Il existait également aux Archives du Maine-et-Loire, série E1123, un acte passé en août 1259 entre Guy de Chemillé et Renauld de la Barre, lequel acquiert du premier "les herbages bois et près de la Gouberte situés en la paroisse de sancti andrœ". Dépendant en ce temps-là du diocèse de Poitiers, Saint-André par la suite fit partie, de 1317 à 1648, du diocèse de Maillezais, puis du diocèse de La Rochelle jusqu'au Concordat. Saint-André relevait du doyenné de Saint-Laurent-sur-Sèvre, et de l'archidiaconé de Fontenay-le-Comte[6].

Cotisation de la noblesse du pays des Mauges pour la rançon du roi Jean II après la Bataille de Poitiers 16 septembre 1356 : à la suite du traité de Brétigny le 8 mai 1360, la rançon de Jean II fut fixée à 3 millions d'écus d'or. La châtellenie de Montfaucon et de Beaupréau y contribuèrent selon leurs moyens, le 15 octobre 1360 fut décidée la levée des fonds sur le pays des Mauges, ce document mentionne le nom des familles des Mauges qui y contribuèrent[7].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Lorsque de nouvelles divisions géographiques et administratives apparurent vers la fin du Moyen Âge, Saint-André devint alors de la Marche. Car la localité s'insérait dans les marches communes de Poitou et d'Anjou, ce qui lui valut d'être tiraillée pendant plusieurs siècles entre les lois et coutumes de deux provinces différentes et livrée à l'arbitraire d'une jurisprudence entortillée et coûteuse. Aux XVIIe et XVIIIe siècles les faux sauniers pulluleront à Saint-André. En Poitou, pays redimé de gabelle, forte était la tentation de se procurer à très bon marché un sel amené de Bretagne par la Renaudière, pour aller le revendre avec gros bénéfice à Cholet et surtout à Saint-Macaire qui était d'Anjou, pays de grande Gabelle où le sel coûtait fort cher. Aussi la brigade de gabelous établis par le Roi dans leur Bourg avait elle fort à faire avec les Marchetons de Saint-André, comme on appelait jadis les gens des marches.

Une brigade de Gabelous[modifier | modifier le code]

C'est dans la première moitié du XVIIe siècle que fut établie à Saint-André une brigade de gabelous chargée de veiller sur l'impôt du sel jusqu'en 1764[8].

  • 1669 : Capitaine François Johanneau, archers Jean Profilet, Vincent Gautier, Louis Norlet, Louis Girard.
  • 1677 : Capitaine Robert Herlé, archer Claude Tixier, employés :
    • François Guérin dit « La Pierre » du Languedoc, décédé le 20 octobre 1691 à 65 ans ;
    • Christian Edet, de Mortagne, décédé la même année neuf jours plus tard ;
    • Pierre Aubineau tué en 1700 aux Landes Pesseaux.
  • 1691 : Capitaine Pierre Masson, employés Lucien Godaille, mort en 1695 à 35 ans, Pierre Laumonnier.
  • 1693 : Capitaine Mathurin Troussard, employés Michel Durand et Louis Drillaud, de Parthenay.
  • 1698 : Capitaine Jacques de Brière, Employé René Gallard.
  • 1700 : Lieutenant René de la Masière, employés Louis Fournereau, René Declaret.
  • 1702 : Employés Louis Brillouet natif de Vendée, et Pierre Richou.
  • 1703 : Lieutenant Jean Néel de Beauregard, employés Jean-baptiste Quiord et Gervais Duveau, Julien Bruneau mort à 36 ans.
  • 1708 : Capitaine Étienne Crestien, employés Paul Séverac, Charles Caillaud, René Blondeau, Jean Lemay.
  • 1710 : Capitaine Guillaume-charles Lepelletier Sieur du Haut-Birard, employés Mathurin Dugast, René Barnabé du Vineau, Claude Poulain, Jacques Biron.
  • 1718 : Employés Jacques Legrand et Pierre Brillet.
  • 1726 : Louis Chaillou.
  • 1760 : Lieutenant Nicolas Le Normand, employés René Bonvalet, François Pavy, Julien Gaudinière.
  • 1762 : Lieutenant René Jouanne, employés Julien Gaudinière, François Chassereul, mort à 36 ans.
  • 1764 : Lieutenant Nicolas Lesquevin, employés Pierre Fortin, Jean Coanon, Gabriel Chauvin.

À la limite de Saint-André, faux-sauniers et gabelous eurent souvent des rixes très sanglantes et même mortelles au lieu-dit, et si bien nommé depuis, le Carrefour Rouge.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 2014, un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine. Le 2 juillet 2015, les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle baptisée Sèvremoine pour le 15 décembre 2015, dont la création a été officialisée par arrêté préfectoral du 5 octobre 2015[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Administration actuelle[modifier | modifier le code]

Depuis le , Saint-André-de-la-Marche constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Sèvremoine et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
15 décembre 2015 26 mai 2020 Denis Sourice[9]    
26 mai 2020   Thierry Lebrec[10]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 septembre 1975
(décès)
Paul Nerrière    
novembre 1975 juin 1995 Alain Dixneuf   Maire honoraire (2001)
Président de la CC de Sèvre-et-Moine (1994 → 1995)
juin 1995 mars 2001 Michel Séchet PS Commercial retraité, maire honoraire (2001)
mars 2001 mars 2014 Paul Clémenceau DVD Acheteur, maire honoraire
mars 2014 décembre 2015 Denis Sourice[11] DVD Enseignant, ancien adjoint au maire
Les données manquantes sont à compléter.

Ancienne situation administrative[modifier | modifier le code]

La commune est membre en 2015 de la communauté de communes de Moine-et-Sèvre[12], elle-même membre du syndicat mixte Pays des Mauges. La création de la commune nouvelle de Sèvremoine entraîne sa suppression à la date du , avec transfert de ses compétences à la commune nouvelle[1].

Jusqu'en 2014, Saint-André-de-la-Marche fait partie du canton de Montfaucon-Montigné et de l'arrondissement de Cholet[13]. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Saint-Macaire-en-Mauges, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[14].

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-André-de-la-Marche est jumelée avec le village de Nassington, dans le Northamptonshire en Grande-Bretagne (100 km au nord de Londres)[15].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

La population de St-André croît régulièrement depuis 30 ans. Le recensement de 2004 donne une population municipale de 2 650 habitants et une population totale de 2 716 habitants. Le dernier recensement a eu lieu en janvier 2009. Les résultats sont en cours de validation par l'INSEE. La population municipale s'élèverait à 2 755 habitants et la population totale à 2 810 habitants. Le nombre de logements sur la commune augmente aussi régulièrement : 624 en 1990, 812 en 1999, 935 en 2004 et 1015 en 2009[16].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18],[Note 1].

En 2013, la commune comptait 2 874 habitants, en augmentation de 4,81 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3038007798201 0491 0451 0621 1061 114
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2031 1391 1481 1271 0671 0821 0401 0061 005
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9519931 1261 1151 1301 0441 0881 0581 175
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2013
1 1761 2531 3241 6041 9552 4172 6502 7542 874
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est sensiblement égale à la population féminine.

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 49,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 25,3 %, 15 à 29 ans = 18,4 %, 30 à 44 ans = 22,9 %, 45 à 59 ans = 22,1 %, plus de 60 ans = 11,3 %) ;
  • 50,3 % de femmes (0 à 14 ans = 25,6 %, 15 à 29 ans = 16,2 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 19,6 %, plus de 60 ans = 15,5 %).
Pyramide des âges à Saint-André-de-la-Marche en 2008 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90  ans ou +
1,0 
3,7 
75 à 89 ans
6,8 
7,4 
60 à 74 ans
7,7 
22,1 
45 à 59 ans
19,6 
22,9 
30 à 44 ans
23,2 
18,4 
15 à 29 ans
16,2 
25,3 
0 à 14 ans
25,6 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[22].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,1 
6,3 
75 à 89 ans
9,5 
12,1 
60 à 74 ans
13,1 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
20,3 
30 à 44 ans
19,3 
20,2 
15 à 29 ans
18,9 
20,7 
0 à 14 ans
18,7 

Vie locale[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

À fin d'année 2008, il y avait 136 activités sur la commune (commerçants, artisans, entreprises, services privés, agriculture ainsi que des services publics et associatifs). L'ensemble de ces activités générait 846 emplois. Courant 2007, un centre commercial a été ouvert[23].

Sur 199 établissements présents sur la commune à fin 2010, 17 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 15 % du secteur de l'industrie, 16 % du secteur de la construction, 44 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[24].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Saint André de la Marche - Cinq siècles de vie paroissiale, Louis Tricoire, Imp. Farré et Fils, Cholet, 1971.
  • Saint André de la Marche de 1900 à nos jours ; Une commune des Mauges au cours du XXe siècle, Alain Dixneuf et collectif, Éditions AH Hérault, Maulévrier, 1984.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Arrêté no DRCL-NCL-2015-60 en date du 5 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle de Sèvremoine », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 74,‎ (lire en ligne [PDF]).
  2. Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), « Saint-André-de-la-Marche, 49450 Sèvremoine », sur Géoportail (consulté le ).
  3. Lionel Delvarre, « Saint-André-de-la-Marche », sur Lion1906, (consulté le ).
  4. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
  5. Michel Gruet, Mégalithes en Anjou, Le Coudray-Macouard, Cheminements, (1re éd. 1967, actualisation de Charles-Tanguy Le Roux), 417 p. (ISBN 2-84478-397-X, lire en ligne), p. 194-195
  6. a et b Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1874.
  7. Gallica.bnf.fr : Revue historique de l'ouest, 7e année, p. 100, issu des Archives Départementales de Loire-Inférieure, série E220, 1891.
  8. Louis Tricoire, Saint André de la Marche, cinq siècles de vie paroissiale, Édition Farré et fils Cholet, 1971
    et, Alain Gérard, Les Vendéens des origines à nos jours, centre vendéen des recherches historiques, La Roche-sur-Yon, 2001.
  9. « Saint-André-de-la-Marche », sur Sèvremoine (sevremoine.fr) (consulté le ).
  10. « Installation du conseil municipal - Didier Huchon réélu maire de Sèvremoine », sur Sèvremoine (sevremoine.fr), (consulté le ).
  11. Ouest-France, Sourice a été élu maire avec vingt voix, article du 31 mars 2014.
  12. Insee, Composition de l'EPCI de Moine et Sèvre (200006880), consulté le 27 octobre 2013.
  13. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Saint-Macaire-en-Mauges, consultée le 28 février 2015.
  14. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  15. « Nassington », sur Mairie de Saint-André-de-la-Marche (consulté le ).
  16. Sources : Conseil municipal du 6 mars 2009
  17. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  21. « Évolution et structure de la population à Saint-André-de-la-Marche en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
  23. Conseil municipal du 6 mars 2009.
  24. Insee, Statistiques locales du territoire de Saint-André-de-la-Marche (49), consultées le 8 mai 2013.
  25. Site du musée des Métiers de la chaussure