Saint-Mandé-sur-Brédoire

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Saint-Mandé-sur-Brédoire
Saint-Mandé-sur-Brédoire
L'église.
Blason de Saint-Mandé-sur-Brédoire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saint-Jean-d'Angély
Intercommunalité Vals de Saintonge Communauté
Maire
Mandat
Annie Pérochon
2020-2026
Code postal 17470
Code commune 17358
Démographie
Gentilé Saint-Mandéens
Population
municipale
301 hab. (2021 en diminution de 2,27 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 01′ 29″ nord, 0° 18′ 11″ ouest
Altitude Min. 65 m
Max. 167 m
Superficie 23,21 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matha
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Mandé-sur-Brédoire
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Saint-Mandé-sur-Brédoire
Liens
Site web stmandesurbredoire.free.fr
Le rond-point au cœur de la forêt d'Aulnay.
La borne qui rappelle l'ancienne présence d'une chapelle à Saint-Léger.

Saint-Mandé-sur-Brédoire est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Saint-Mandéens et les Saint-Mandéennes[1].

Dans cette commune rurale du canton de Matha se situe le deuxième point culminant du département au site du Croc à 167 mètres d'altitude[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le cadre géographique[modifier | modifier le code]

Située en limite du département des Deux-Sèvres, Saint-Mandé-sur-Brédoire partage une grande partie de son finage communal avec la forêt domaniale d'Aulnay qui y recouvre plus du tiers de la surface totale. Cette forêt essentiellement composée de feuillus dont une grande partie de chênes possédait une belle hêtraie avant que la tempête Martin ne la balaye pratiquement en entier dans la nuit du 27 au .

Le point culminant de la commune se trouve au lieu-dit le Croc à 167 mètres[3] et le point le plus bas se situe à 65 mètres à proximité de la Fontaine de Saint-Aubin qui est la source de la Brédoire.

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Le plan de la commune

Saint-Mandé-sur-Brédoire se trouve à 3,5 km à l'est d'Aulnay-de-Saintonge et à 24 km au nord-est de Saint-Jean-d'Angély, chef-lieu d'arrondissement et principale ville de la Saintonge du Nord.

La commune est étendue autour d'un axe principal : la route départementale 129 qui part d'Aulnay en direction de Chef-Boutonne.

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

La commune est composée de plusieurs villages dont le plus important est Saint-Mandé. À l'origine, il y avait deux bourgs Saint-Mandé et Saint-Brice, aujourd'hui il reste l'église de Saint-Brice et le patronyme de Saint-Mandé.

Les autres villages sont par ordre d'importance Saint-Léger un hameau très ancien situé au nord de Saint-Mandé, Gâtebourse situé sur la D 129 en bordure de la forêt, les Portes siège d'une seigneurie importante au Moyen Âge, Ferrières, Tirevieille, les Loges, Guetteport siège du domaine du Grand Lopin, Curegousset et le Lizot qui fut transformé en camp de naturistes dans les années 1960 et 1970 avant de devenir actuellement un camping.

Les noms de villages comme Gâtebourse ou Curegousset laissent à penser que ces lieux présentaient l'occasion de délester les voyageurs de leurs biens à la sortie de la forêt.

Les hameaux disparus sont Charbonneau et la Tuilerie à proximité du Lizot, la Sivernie en amont des Portes, le Moulin entre Saint-Mandé et Tirevieille et Goize entre Saint-Léger et Saint-Mandé.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Mandé-sur-Brédoire[3]
La Villedieu Ensigné
(Deux-Sèvres)
Asnières-en-Poitou
(Deux-Sèvres) sur 10 m
Aulnay Saint-Mandé-sur-Brédoire[3] Vinax
Contré

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le ruisseau de la Brédoire se jette dans la rivière Boutonne, affluent du fleuve Charente[4]. Malgré ses 14,3 km, la Brédoire a submergé le centre d'Aulnay-de-Saintonge lors des inondations de .

Le Palud, seul affluent de la Brédoire prend aussi sa source sur la commune[5].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Mandé-sur-Brédoire est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), forêts (30 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Mandé-sur-Brédoire est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Brédoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Mandé-sur-Brédoire.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[15].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 5,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 204 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 62 sont en aléa moyen ou fort, soit 30 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[12].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme de Saint-Mandé provient de Mandez, ermite d'origine irlandaise.

Démographie[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

En 2021, la commune comptait 301 habitants[Note 2], en diminution de 2,27 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
672689700870809782821812780
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
747759737654712653613587559
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
526508522532483503482473448
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
464430403354318340301318314
2014 2019 2021 - - - - - -
306311301------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Si la commune de Saint-Mandé-sur-Brédoire fait partie des communes les plus peuplées du canton d'Aulnay, elle a connu une dépopulation importante depuis le lendemain de la Seconde Guerre mondiale, toutefois dans des proportions beaucoup moins sévères que les petites communes rurales et forestières du nord-est de ce canton.

Cette commune agricole et forestière, comme beaucoup dans cette partie du nord-est de la Charente-Maritime, appartient à ces zones rurales en voie de désertification où le problème démographique est particulièrement préoccupant. Lors du recensement de 2007, Saint-Mandé-sur-Brédoire comptait 316 habitants, soit son chiffre de population le plus bas de toute son histoire démographique de la période contemporaine. À son apogée au début du XIXe siècle, pendant la Restauration, elle en comptait le triple, 870 habitants en 1821. Mais l'accélération de la dépopulation de la commune est observée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale où Saint-Mandé-sur-Brédoire a perdu près d'un tiers de sa population en moins d'un demi-siècle seulement passant de 473 habitants en 1946 à 318 habitants en 1990.

Aujourd’hui la densité communale est tombée à 14 hab/km², elle est inférieure à celle de son canton qui se maintient à peine à 20 hab/km² en 2007. Saint-Mandé-sur-Brédoire fait partie des communes les moins densément peuplées de la Charente-Maritime.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le violon de Saint-Mandé, fabriqué en 1936.

Saint-Mandé pendant les Temps Modernes[modifier | modifier le code]

Lors des guerres de Religion, Saint-Mandé est le théâtre d'un affrontement particulièrement sanglant entre les troupes protestantes chapeautées par Saint-Gelais et Daubigné et les ligueurs catholiques menés sous la houlette de Lamothe où ces derniers se sont cantonnés dans la paroisse. L’événement a lieu en 1585, lors de la huitième guerre de religion, et a marqué durablement la contrée. En effet, 150 combattants périrent à la bataille de Saint-Mandé[23].

Cette paroisse est une dépendance de la province du Poitou où, pendant tout le XVIIIe siècle, elle relève de la Généralité de Poitiers, de l'Élection de Niort et de la commanderie d'Ensigné[23], commune actuellement située dans les deux-Sèvres. Lors de la création du département de la Charente-Inférieure en , après les événements tumultueux de la Révolution française, Saint-Mandé devient une commune mais est détachée du Poitou et intégrée au canton d'Aulnay.

En 1793, la commune fut débaptisée et fut appelée La Révolution pendant quelques années[24].

Saint-Mandé pendant le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Pendant la Monarchie de Juillet, la commune vivait de l'exploitation forestière et de la production de charbon de bois ainsi que de la culture des céréales grâce à l'excellence des terres de groies[25]. Malgré la diversité de ses activités agricoles, Saint-Mandé est précocement affecté par l'exode rural qui a commencé au début de la période de la Restauration où la commune avait atteint son chiffre record de population avec 870 habitants en 1821. À la fin de la Monarchie de Juillet, la commune a continué de perdre de la population et atteint 812 habitants en 1846.

À la fin du XIXe siècle, un trésor monétaire d'une grande valeur a été découvert dans la commune. Il comportait des écus d'or datés de 1384 à 1422[26].

Saint-Mandé-sur-Brédoire pendant le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.

L'électrification des villages principaux a eu lieu en 1928.
La commune de Saint-Mandé a pris le nom de Saint-Mandé-sur-Brédoire en 1937.
L'adduction d'eau est mise en service en 1953.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

L'entrée de la mairie.
Le monument en mémoire des morts en Afrique du Nord.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1811 1829 Jean Micheau    
1829 1839 B. Jean Micheau    
1839 1843 Michel G. Breard    
1843 1848 Jacques Borday    
1848 1853 Paul Vergnon    
1853 1860 Pierre Gicaillaud    
1860 1865 Jean Guillaud    
1865 1870 Joseph Bertrand    
1870 1871 Charles Ardouin    
1871 1875 Pierre Romenteau    
1875 1885 Eugène Bertrand    
1885 1890 Charles Micheau    
1890 1892 Eugène Bertrand    
1892 1908 Léon Ache    
1908 1908 F. Borday    
1908 1912 Jean Texier    
1912 1918 Jules Micheau    
1918 1922 Honoré Texier    
1922 1925 Abel Breard    
1925 1946 Calixte Foucher    
1946 1965 Daniel Michaud    
1965 1971 Roger Bouchon    
1971 1988 Denis Chapacou    
1988 1997 Marcel Fajoux    
1997 2001 Pierre Connan    
2001 En cours Annie Pérochon SE Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Canton[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Mandé-sur-Brédoire est l'une des 24 communes qui forment le canton d'Aulnay qui est l'un des moins peuplés de la Charente-Maritime mais le plus étendu de tout le département.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune adhéra de 1994 à 2013 à la communauté de communes du canton d'Aulnay-de-Saintonge dont le siège administratif était situé à Aulnay-de-Saintonge. Depuis le , la commune adhère à la Communauté de communes des Vals de Saintonge qui regroupe les communes du nord-est de la Charente-Maritime et dont le siège se trouve à Saint-Jean-d'Angély.

Vie locale[modifier | modifier le code]

Le village possédait une école de cirque, l'école Lézarts-de-Clownie.

Plusieurs circuits de randonnée à pied, à cheval ou à vélo sont organisés dans la commune.

Parc éolien[modifier | modifier le code]

En 2014, un parc éolien constitué de six éoliennes de type Enercon E-70 a été construit à proximité du lieu-dit le Croc.

Sports[modifier | modifier le code]

Durant du Tour de France 1997, Saint-Mandé-sur-Brédoire fut la première commune de la Charente-Maritime traversée par les coureurs lors de la sixième étape entre Le Blanc et Marennes. Cette étape fut marquée par de nombreux incidents, dont la chute de Mario Cipollini entre Saint-Mandé-sur-Brédoire et Aulnay-de-Saintonge qui justifia son abandon le lendemain. L'arrivée à Marennes a vu aussi le déclassement du vainqueur Erik Zabel au profit de Jeroen Blijlevens devant Djamolidine Abdoujaparov qui fut exclu le jour même pour un contrôle antidopage positif subi quelques jours auparavant. Lors du même sprint, Tom Steels fut aussi exclu pour avoir jeté un bidon sur Frédéric Moncassin.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Brice du XIIe siècle : succédant à un établissement religieux antérieur, l'église romane dédiée à Saint-Brice est d'inspiration poitevine. Constituée d'une nef unique, l'abside est voûtée en cul de four, son portail sud en plein cintre est orné de trois voussures aux nombreux sujets historiés. Elle est classée monument historique depuis le [27],[28],[29].

D'autres illustrations sont disponibles sur les sites Vals de Saintonge, Romanes.com et Route Romane.

Le massif forestier d'Aulnay comprenait environ 4000 hectares dont près de 1000 hectares sur la commune. Cette forêt a été totalement dévastée lors de seconde tempête de décembre 1999, la tempête Martin. Ce massif est depuis en complète reconstruction et fait partie des sites Natura 2000 de la Charente-Maritime.

Le Rond-Point est le centre de la forêt, ce lieu remarquable est la convergence de 8 routes dont deux marquent la limite entre la Charente-Maritime et les Deux-Sèvres. Une maison forestière y a été construite à la fin du XIXe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Henri Guérinaud, conseiller général du canton d'Aulnay.
  • Denis Chapacou, ancien maire, passionné d'histoire locale, ancien président de l'Association pour l'archéologie et l'histoire d'Aulnay et de sa région (AAHAR) et auteur de plusieurs ouvrages sur Aulnay-de-Saintonge et son canton.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D’or aux trois tourteaux de gueules[30].

Annexes[modifier | modifier le code]

Orientation bibliographique[modifier | modifier le code]

  • Jean Combes et Jacques Daury, Guides des départements - La Charente-Maritime, éditions du Terroir, Tours, 1985. (Monographie sur la commune de Saint-Mandé-sur-Brédoire, p. 200).
  • Jean-Luc Flohic (ouvrage collectif sous la direction de), Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic - Collection Le Patrimoine des communes de France. (Monographie sur la commune de Saint-Mandé-sur-Brédoire, Tome 1, p. 136 à p. 138).
  • M.A. Gautier, Le dictionnaire des communes de la Charente-Maritime - Notices communales (réédition de la Statistique du département de la Charente-Inférieure de 1839), éditions Les chemins de la Mémoire, Saintes. (Notice communale sur Saint-Mandé, p. 136).
  • Michel de la Torre, Charente-Maritime - L'art et la nature de ses 472 communes, éditions Nathan, Paris, 1985. (Notice sur Saint-Mandé-sur-Brédoire).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de la Charente-Maritime
  2. Donnée correspondant à la carte topographique, série bleue, "Aulnay" - n°1630 - O (source : Cartes IGN]
  3. a et b Carte IGN sous Géoportail
  4. Le ruisseau de la Brédoire sur le site du SANDRE
  5. Le ruisseau du Palud sur le site du SANDRE
  6. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Mandé-sur-Brédoire », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Mandé-sur-Brédoire », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. a et b Jean-Luc Flohic, Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, 2002, tome 1, p.136
  24. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, Saint-Jean-d'Angély, 2002, p.277
  25. M.A. Gautier, Le dictionnaire des communes de la Charente-Maritime - Notices communales, (réédition de la Statistique du département de la Charente-Inférieure de 1839), éditions Les chemins de la Mémoire, Saintes. (Notice communale sur Saint-Mandé, p.136).
  26. Jean Combes et Jacques Daury (ouvrage collectif sous la direction de), Guides des départements - La Charente-Maritime, éditions du Terroir, Tours, 1985, p.200
  27. « L'église », notice no PA00105199, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « La cloche », notice no PM17000405, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  29. « Les peintures murales », notice no PM17000404, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  30. « Gaso.fr »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).