Saint-Paul-de-Vence

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Paul-de-Vence
Saint-Paul-de-Vence
Vue du village depuis la route de La Colle.
Blason de Saint-Paul-de-Vence
Blason
Saint-Paul-de-Vence
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
Maire
Mandat
Jean-Pierre Camilla
2020-2026
Code postal 06570
Code commune 06128
Démographie
Gentilé Saint-Paulois
Population
municipale
3 183 hab. (2021 en diminution de 7,77 % par rapport à 2015)
Densité 438 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 50″ nord, 7° 07′ 23″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 355 m
Superficie 7,26 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villeneuve-Loubet
Législatives sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Paul-de-Vence
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Paul-de-Vence
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Voir sur la carte topographique des Alpes-Maritimes
Saint-Paul-de-Vence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Saint-Paul-de-Vence

Saint-Paul-de-Vence est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village de Saint-Paul-de-Vence s'élève sur un éperon rocheux situé entre les Alpes et la Méditerranée, à l'ouest duquel coule le Malvan, un affluent de la Cagne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 890 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 15,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 920,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le ; la température minimale est de −3,3 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Paul-de-Vence est une commune urbaine[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[11] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France par la population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En raison de sa proximité avec la commune de Vence et pour la distinguer des autres communes portant le nom de Saint-Paul, la commune a depuis longtemps été appelée officieusement « Saint-Paul de Vence » mais le nom de Saint-Paul-de-Vence n’est officiel que depuis 2011[16],[17]. Sous la Révolution, on écrivait Sainpaul.

Sur le cadastre napoléonien de Vence, daté du , il est fait mention d'une « route de Gréolière à Saint-Paul-du-Var » car Saint-Paul-de-Vence, proche de l'ancienne frontière avec le royaume de Sardaigne jusqu'en 1860, se trouvait alors dans le département du Var[18].

La commune a ensuite conservé officiellement ce nom jusqu’en 1913[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

C'est vraisemblablement entre le Xe et le XIIe siècle qu'un habitat se regroupe, autour de l'ancienne église Saint-Michel-du-Puy, au sud et à proximité du château sur la partie la plus élevée de la colline[20].

Au Moyen Âge, la région est administrée par les comtes de Provence. Au XIIIe siècle, le comte Charles II accorde plusieurs privilèges à Saint-Paul, parmi lesquels celui d’organiser un marché hebdomadaire (1285). Au début du XIVe siècle, Saint-Paul acquiert de plus en plus d’autonomie et devient une ville prospère de commerçants et de notables. La ville devient le chef-lieu d’un important bailliage[21] dont dépendent Tourrettes-sur-Loup, Villeneuve-Loubet, le Broc, Cagnes ou encore Bézaudun.

En 1388, Nice et sa région se détachent de la Provence pour se rattacher aux États du comte de Savoie. La frontière orientale de la Provence est alors redessinée pour se matérialiser par le cours inférieur du Var. Ce nouveau contexte confère à Saint-Paul une position stratégique : la ville devient une place forte frontalière pendant cinq siècles. Saint-Paul connaît une première campagne de fortification dans la deuxième moitié du XIVe siècle : la porte Nord de la ville, dite « Porte de Vence », remonte à cette muraille médiévale.

Le XVIe siècle[modifier | modifier le code]

À l'époque des guerres d'Italie, la Provence est envahie à deux reprises par les troupes de Charles Quint : en 1524 Saint-Paul est occupée, en 1536 la ville est une nouvelle fois assiégée. Considérant la faiblesse de la frontière côté provençal et l’obsolescence des fortifications médiévales de Saint-Paul, François Ier décide en 1538 de doter la ville de nouveaux remparts, capables de résister à la puissance de l’artillerie. Cette enceinte bastionnée, élevée entre 1543 et 1547 par l'ingénieur provençal Jean de Renaud, dit Saint Remy, sans partage avec des ingénieurs italiens, est conservée dans son intégralité. Sur ses fronts nord et sud, quatre solides bastions protègent les deux portes de la ville.

Le XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

Au XVIIe siècle, Saint-Paul connaît un rayonnement religieux grâce à l'influence d'Antoine Godeau, évêque de Vence. L'église, élevée au rang de collégiale, est agrandie et embellie. Saint-Paul connaît également un renouveau urbanistique grâce aux familles de nobles et notables qui construisent de somptueux hôtels particuliers, en particulier dans la rue Grande. Saint-Paul conserve sa vocation de place forte militaire, aussi Vauban vient-il inspecter les fortifications en 1693 et 1700.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Paul-de-Vence Blason
D’azur à saint Paul de carnation chevelé, barbé, auréolé et habillé d’argent, s’appuyant de sa main dextre sur une épée et tenant dans la senestre un livre ouvert, le tout du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. souhaitée]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1790 Paul Bernard    
1790 1791 Scipion-Joseph Mougins    
1791 1792 Cézar Layet    
1792 1802 François Alziary    
1802 1804 Bonnet    
1804 1808 Layet    
1808 1817 Jean Jacques Guevarre    
1817 1821 Paul Gardenquy    
1821 1822 Jean-Jacques Achard    
1822 1825 Jacques Joseph Rapet    
1825 1830 Casimir Bonnet Raymond Layet    
1830 1831 Antoine-Paul Gazagnaire    
1831 1835 Joseph-Jules-Hypolite Euzières de la Valette    
1835 1843 Antoine-Paul Gazagnaire    
1843 1849 Casimir Bonnet Raymond Layet    
1849 1852 Honoré Léandre Fouque    
1852 1855 Honoré-Joseph Bérard    
1855 1857 Jean-Baptiste Layet    
1857 1861 Gaspard Gardenquy    
1861 1870 Henri Layet    
1870 1871 Honoré-Léandre Fouque   Président de la Commission municipale
1871 1874 Henri Layet    
1874 1878 Joseph Louis Rapet    
1878 1881 Théodore Lions    
1881 1888 Antoine-Paul Fouque    
1888 1888 Alfred Layet    
1888 1888 André Raybaud    
1888 1894 Alfred Layet    
1894 1912 Gustave Patarrin    
1912 1919 Victor Sénès    
1919 1928 Josephin Verdet    
1928 1944 Joseph Demargne    
1944 1945 Général Paul Pouderoux   Président de la délégation spéciale
1945 1995 Marius Issert DVD Juge au Tribunal de commerce d'Antibes
1995 2014 René Buron DVD Retraité
2014 2020 Joseph Le Chapelain DVD[22] Ancien ingénieur IBM, premier adjoint (2001 → 2011)
2020 En cours Jean-Pierre Camilla DVD[23] Retraité Air France, ancien premier adjoint

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 3 183 habitants[Note 4], en diminution de 7,77 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0571 0511 0661 0951 0431 023936936958
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
837810764732714689735691766
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7617587727501 0009981 0411 0731 250
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 4161 5701 9172 5422 9032 8473 3363 3383 486
2015 2020 2021 - - - - - -
3 4513 1793 183------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Saint-Paul-de-Vence est un des hauts lieux du tourisme notamment pour ses très nombreuses galeries d'art ce qui a pour conséquence d'avoir vidé le village de ses commerces traditionnels.

Saint-Paul-de-Vence abrite également sur ses hauteurs de nombreuses villas qui appartiennent à de nombreux millionnaires français et étrangers.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Les remparts : élevés sur l’ordre de François Ier comme réplique à la citadelle de Nice, de 1544 à 1547, ils n’ont guère subi d’altération. C'est une des premières fortifications bastionnées construites en France. Elle est l'œuvre de l'ingénieur militaire Jean de Renaud dit Saint Remy. Vauban a inspecté ces remparts au cours d'une de ses tournées d'inspection des fortifications, en 1700.
  • L’auberge La Colombe d’or qui abrite des œuvres de Picasso, Matisse, Miró, Modigliani, Braque, Fernand Léger, Maurice Utrillo, Chagall ou Ben. Hôtel restaurant ouvert en 1931 par Paul Roux († 1953) avec seulement trois chambres au départ, le lieu a vu passer nombre de célébrités, surtout des peintres, acteurs ou chanteurs, tels Winston Churchill, Arletty, Jaques Prévert, Sophia Loren, Lino Ventura, Juliette Gréco, Jean-Loup Dabadie, Michel Berger, Stephan Eicher ou Brad Pitt. En 1951, Simone Signoret s'y marie avec Yves Montand, puis plus tard en 1993 Bill Wyman avec Suzanne Accosta. Dans les années 1980, l'établissement compte 25 chambres[28].
  • La fondation Maeght : haut lieu de l’art moderne et contemporain, dirigée par Aimé puis Adrien Maeght. Elle abrite des expositions temporaires et des sculptures in situ dans le parc. On y retrouve les grands noms de l’art moderne, en parcourant les salles et les jardins de ce lieu d’exception, avec les œuvres de Miró, Giacometti, Chagall ou Léger, des liens qui ont uni la famille Maeght aux artistes de leur temps, ainsi que l'architecture des bâtiments conçus par Josep Luís Sert.
  • Le musée d’histoire locale offre un intéressant raccourci de l’histoire de la commune qui fut souvent aussi celle de l’histoire de la Provence.
  • Le cimetière de Saint-Paul-de-Vence comporte la tombe de Marc Chagall et la chapelle Saint-Michel.
  • Le pontis, passage au-dessus de la rue Grande, datant du XVe siècle.
  • La tour seigneuriale, à côté de l'église, servant aujourd'hui de mairie.
  • L'aqueduc des Moulins qui alimentait les moulins de la commune. En 1730, un inventaire mentionne à Saint-Paul cinq fours à pains, cinq moulins à huile et deux moulins à farine[29].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

L'église collégiale de la Conversion-de-Saint-Paul (centre) et la Chapelle des Pénitents Blancs (droit).
  • Église collégiale de la Conversion-de-Saint-Paul : (XIIe – XIIIe siècle) restaurée au XVIIe siècle. Érigée en collégiale en 1666. Dans la chapelle Saint-Clément, ornée de stucs, l’autel est formé d’un bas-relief représentant le martyre de saint Clément et deux tableaux, l’un de l’école italienne, l’autre de l’école de Murillo ; l’église contient aussi un tableau de sainte Catherine d’Alexandrie du Tintoret. Dans la sacristie, le trésor comprend des statues en argent et en vermeil (une Vierge noire), des reliquaires, des croix. Dans la chapelle des fonts baptismaux, gracieuse statuette de la Vierge, en albâtre, du XVe siècle. Le chœur est décoré de stalles sculptées. Le beau chemin de croix en noyer, peint selon une technique du XVIe siècle, la détrempe à la colle, est moderne.
  • Chapelle Sainte-Croix, chapelle des pénitents blancs (XVIIe siècle) : Jean-Michel Folon y a réalisé un vaste projet de décoration. Son étonnant clocher à trois faces complète l’harmonie de la partie culminante du village, entre la place de l’Église et la rue Cassette. Un travail nettement inspiré par l’esprit du lieu qu’il avait transcrit avec précision sur des dessins et aquarelles. Avant la décoration artistique, trois années de travaux de restauration ont permis de remettre en état la toiture, les voûtes intérieures, l’électricité et le chauffage.
    Il y a travaillé jusqu’à sa mort en 2005. Il compose 8 toiles, 4 vitraux, 2 sculptures et une mosaïque de 106 m2 aux lignes simples et douces.
    La chapelle, inaugurée en est aussi la dernière chapelle décorée du Sud méditerranéen.
  • Chapelle Sainte-Claire, route de Vence, XVe siècle
  • Chapelle Saint-Claude-et-Saint-Charles, chemin de Saint-Claire, XVIIe siècle
  • Chapelle Notre-Dame de la Gardette, dite Saint-Georges, chemin de Saint-Claire, XVIIIe siècle
  • Chapelle moderne Saint-Bernard, chemin de Sainte-Claire.
  • Chapelle Saint-Roch, chemin de saint-Roch.
  • Chapelle Saint-Michel, dans le cimetière
  • Chapelle, de 1885 rue Fontette, actuellement restaurant la petite chapelle.
  • Chapelle, rue Fontette.
  • Chapelle, des sœurs dominicaines, chemin de Saint-Claire.
  • Prieuré Sainte Claire, chemin des Gardettes.

Saint-Paul-de-Vence et la philatélie[modifier | modifier le code]

Un timbre postal, d'une valeur de 0,15 franc représentant la ville, dessiné par Pierre Ambrogiani et gravé par Robert Cami, a été émis le , avec une oblitération Premier jour le 7 dans la ville[30].

Un autre timbre de valeur permanente a été émis en 2009 valable pour le monde entier. Valeur à la date d'émission : 0,70 euro[31].

Saint-Paul-de-Vence dans la chanson[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Paul-de-Vence et Valbonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Saint-Paul-de-Vence attend bientôt son baptême officiel…
  17. renommage de la commune par le décret no 2011-311 du 22 mars 2011
  18. Section G2 La Sine, à la cote : 25FI 157/1/G2/COM.
  19. « Saint-Paul - Notice Communale », sur ehess.fr (consulté le ).
  20. Office de Tourisme de Saint-Paul de Vence.
  21. René Vialatte, Saint-Paul dans la mouvance de l'histoire, 1990.
  22. « Résultats des élections municipales 2014 : Saint-Paul (06570 - Alpes-Maritimes) », sur lexpress.fr/ (consulté le ).
  23. Jean-Pierre Camilla est l'ancien premier adjoint de Joseph Le Chapelain, maire divers droite de 2014 à 2020 (voir « Qui est Jean-Pierre Camilla, le nouveau maire de Saint-Paul-de-Vence pour seulement 8 voix? », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consulté le ).).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Benoît Franquebalme (photogr. Albane Noor), « La Colombe d'or, l'auberge préférée des stars », Le Parisien Week-end,‎ , p. 42-44 (ISSN 2263-2506)
  29. Saint-Paul-de-Vence : Le moulin à huile.
  30. Le timbre.
  31. N° YT AA336.
  32. Diane Lisarelli, « Yves, Simon, Nina, Miles et les autres », Vanity Fair n° 55, mars 2018, pages 48-50.
  33. Elie Bernadac sur artistes-cotes.com.
  34. Elie Bernadac sur la page du centre culturel Marius Hudry Moûtiers.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jacques Duclaux - Jean de Renaud L'ingénieur militaire de François Ier - Éditions YouStory, 2022
  • Jeanne Faure, St Paul de Vence, ville royale, 1970
  • Nicolas Gavet, Saint Paul et ses fortifications, Éditions de la Commune, 2001
  • René Vialatte, Saint-Paul dans la mouvance de l’histoire, 1990
  • François 1er et Saint-Paul, Association des Amis du musée d’histoire
  • Marius Issert, Souvenirs d’un maire 1945-1995, éditions de la commune de Saint-Paul, 2000 (ISBN 978-2-95161400-0)
  • Eva Pollini, Saint-Paul-de-Vence et la Fondation Maeght, Bonechi, 1989 (ISBN 978-8-87009186-1)
  • Jacques Gantié, Saint-Paul de Vence, le village inspiré, Gilletta Nice-Matin, Nice, 2006 (ISBN 978-2-903574-70-3)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]