Église Saint-Jean-et-Saint-Louis de Castres
| Église Saint-Jean-et-Saint-Louis de Castres | ||||
 L'église Saint-Jean-Saint-Louis | ||||
| Présentation | ||||
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| Culte | Catholicisme | |||
| Dédicataire | Saint Louis Saint Jean |
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| Type | Église paroissiale | |||
| Rattachement | Archidiocèse d'Albi | |||
| Début de la construction | 1867 | |||
| Fin des travaux | 1873 | |||
| Architecte | M. Barthe (architecte communal) | |||
| Géographie | ||||
| Pays |  France |
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| Région | Occitanie | |||
| Département | Tarn | |||
| Commune | Castres | |||
| Coordonnées | 43° 36′ 33″ nord, 2° 14′ 14″ est | |||
| Géolocalisation sur la carte : Tarn
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Géolocalisation sur la carte : France
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L'église Saint-Jean et Saint-Louis ou église Saint-Jean-Saint-Louis, est un édifice religieux paroissial situé à Castres, dans le Tarn, en région Occitanie (France). Situé à l'extrémité Nord de la place Pierre Fabre, elle est dédiée à Louis IX et à Jean le Baptiste.
Histoire[modifier | modifier le code]
Au milieu du XIXe siècle, il devient impératif de bâtir une nouvelle église paroissiale à Castres, afin de desservir les nouveaux quartiers de la ville, cette dernière ayant connu une large extension. De plus, les milieux bourgeois du centre-ville voient ainsi un moyen d'éloigner les ouvriers, logeant dans les nouveaux quartiers, des églises qu'eux-mêmes fréquentent. C'est en 1867 que débutent les travaux de la nouvelle église de style néo-gothique, sous la direction de l'architecte communal M. Barthe, grâce à un gracieux don et à un appel à souscription. La construction sera très rapide, et la date de 1873 (soit seulement six ans de travaux) inscrite sur le clocher, rappelle l'année d'inauguration de l'édifice[1]. La paroisse Saint-Jean-Saint-Louis est créée, aux dépens de celle de la Platé et de celle de Saint-Benoit[2]. Dès 1899, de nouveaux vitraux sont ajoutés, un autel à la grâce de sainte Philomène est élevé, et deux statues sont installées, l'une représentant sainte Philomène, la seconde Jeanne d'Arc.
Vers 1950, après le concile Vatican II, l'église Saint-Jean-et-Saint-Louis se voit privée de quasiment toutes ses statues, seulement remplacées par un Christ en gloire de Jean-Claude Izard. De même, les autels destinés à saint Joseph et à la Vierge Marie ont disparu, remplacés par un simple autel-colonne eucharistique et un tableau en l'honneur de la Vierge. La plupart des vitraux présentant aujourd'hui des motifs de l'art abstrait, mais il demeure tout de même deux statues d'origine, à l'entrée de l'édifice, celles de saint Jean et de saint Louis[1].
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Le clocher -
Vue de la façade principale -
Les éclairages du clocher
Notes et références[modifier | modifier le code]
Article connexe[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- « Castres : église Saint-Jean Saint-Louis », sur Diocèse d'Albi (consulté le )
- « Paroisse Saint-Jean-Saint-Louis. Castres, Tarn », sur data.bnf.fr (consulté le )
