Église Santa Maria del Buon Consiglio a Porta Furba

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Église Santa Maria del Buon Consiglio a Porta Furba
Image illustrative de l’article Église Santa Maria del Buon Consiglio a Porta Furba
Présentation
Nom local Chiesa di Santa Maria del Buon Consiglio a Porta Furba
Culte Catholique romain
Type Église paroissiale
Fin des travaux 1916
Style dominant Néoroman
Site web www.parrocchiasmbc.itVoir et modifier les données sur Wikidata
Géographie
Pays Drapeau de l'Italie Italie
Région Latium
Ville Rome
Coordonnées 41° 51′ 49″ nord, 12° 33′ 01″ est
Géolocalisation sur la carte : Rome
(Voir situation sur carte : Rome)
Église Santa Maria del Buon Consiglio a Porta Furba
Géolocalisation sur la carte : Italie
(Voir situation sur carte : Italie)
Église Santa Maria del Buon Consiglio a Porta Furba

L'église Santa Maria del Buon Consiglio a Porta Furba (en français : église Sainte-Marie-du-Bon-Conseil-à-Porta-Furba) est une église romaine située dans le quartier Tuscolano sur la via Tuscolana près de la porte Furba à laquelle elle fait référence.

Historique[modifier | modifier le code]

L'église a été construite en 1916 sur les plans de l'architecte Costantino Sneider et ouverte au public le 9 avril de la même année et consacrée siège paroissial le dans la lettre apostolique Inter officia Ecclesiae du pape Benoît XV. En 1955, d'importants travaux menés par l'architecte Paolo Stefani ont ajouté le transept.

Le , l'église a reçu une visite pastorale du pape Jean-Paul II[1].

Architecture et ornementation[modifier | modifier le code]

L'église Santa Maria del Buon Consiglio a Porta Furba est de style néo-roman avec un portail triple et trois nefs séparées par d'imposants piliers encadrés de colonnes de marbre vert. Le plafond est à caisson de bois peint. L'abside est décorée d'une peinture murale représentant des scènes de la vie de Marie.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Plaque commémorative

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • C. Rendina, Le Chiese di Roma, Newton & Compton Editori, Milan 2000, p.204.

Articles connexes[modifier | modifier le code]