Île Pasteur
Île Pasteur | ||
Géographie | ||
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Pays | France | |
Archipel | Pointe-Géologie | |
Localisation | Mer Dumont-d'Urville | |
Coordonnées | 66° 37′ 30″ S, 140° 05′ 26″ E | |
Point culminant | 22 m | |
Géologie | Île continentale | |
Administration | ||
Territoire d'outre-mer | Terres australes et antarctiques françaises | |
District | Terre Adélie | |
Démographie | ||
Population | Aucun habitant | |
Autres informations | ||
Découverte | 1840 | |
Fuseau horaire | UTC+10:00 | |
Géolocalisation sur la carte : Antarctique
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L'île Pasteur est un îlot rocheux de l'archipel de Pointe-Géologie (terre Adélie), situé en mer Dumont-d'Urville (océan Austral) au large du continent antarctique. C'est la plus orientale de tout l'archipel.
Description[modifier | modifier le code]
Cette petite île rocheuse, l'une des plus importantes des îles Dumoulin et la plus élevée du groupe (22 m), est située à 1 km au sud-est de l'île du Dépôt[1]. C'est la plus orientale des îles Dumoulin et de tout l'archipel de Pointe-Géologie.
Histoire[modifier | modifier le code]
Repérée sur les photos aériennes prises lors de l'Opération Highjump de l'US Navy en 1946-1947, l'île est cartographiée en 1950 par Yves Vallette, Robert Pommier et François Tabuteau, de la 3e expédition antarctique française en terre Adélie[2].
Au début des années 1950, elle a brièvement porté le nom d'île Gougenheim[3], en hommage à André Gougenheim (1902-1975), ingénieur hydrographe et astronome, plus tard membre de l'Institut. Gougenheim, du service hydrographique de la Marine, avait prêté à Vallette un « cercle hydrographique » en vue d’une expédition au Spitzberg que celui-ci préparait avec Pommier et J.A. Martin en 1946[4].
Son nom actuel célèbre le microbiologiste Louis Pasteur (1822-1895)[1].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en + fr) « Pasteur, Île », sur SCAR Composite Gazetteer of Antarctica, (consulté le ).
- (en) « Pasteur Island », sur SCAR Composite Gazetteer of Antarctica, (consulté le ).
- Robert Dovers, « Expédition antarctique / 3e année / Minute / Échelle 1/20 000 », sur archives-polaires.fr, (consulté le ).
- Yves Vallette, « Spitsberg 1946 : le mont Général-Perrier – lever de reconnaissance à la planchette », Revue XYZ, no 67, 2e trimestre 1996, p. 77-82 (lire en ligne [PDF]).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Article connexe[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :