158e division d'infanterie (France)
| 158e division d'infanterie | |
| Création | 15 août 1915 |
|---|---|
| Dissolution | 5 novembre 1917 |
| Pays |  France
|
| Branche | Armée de Terre |
| Type | division d'infanterie |
| Rôle | Infanterie |
| Guerres | Première Guerre mondiale |
| Batailles | 1917 - Chemin des Dames |
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La 158e division d'infanterie est une division d'infanterie de l'armée de terre française qui a participé à la Première Guerre mondiale.
Les chefs de la 158e division d'infanterie[modifier | modifier le code]
- - : Général Blanc
- - : Général Priou
Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Composition[modifier | modifier le code]
- Infanterie :
- 224e régiment d'infanterie d' à (est affecté à une division du 3e corps d'armée)
- 228e régiment d'infanterie d' à (dissolution)
- 329e régiment d'infanterie au
- 406e régiment d'infanterie d' à (dissolution)
- 419e régiment d'infanterie d' à (dissolution)
- 420e régiment d'infanterie d' à (dissolution)
- 421e régiment d'infanterie d' à (dissolution)
- Cavalerie :
- 1 escadron du 5e régiment de chasseurs à cheval d' à
- 1 escadron du 18e régiment de chasseurs à cheval d' à
- 1 escadron du 7e régiment de chasseurs à cheval juillet -
- Artillerie :
- 1 groupe de 80 du 19e régiment d'artillerie d' à
- 1 groupe de 90 du 52e régiment d'artillerie d' à
- 1 groupe de 75 du 19e régiment d'artillerie de à
- 1 groupe de 75 du 52e régiment d'artillerie de à
- 3 groupes de 75 du 219e régiment d'artillerie de juillet à
Historique[modifier | modifier le code]
Cette division a été formé en exécution des prescriptions de la circulaire ministérielle no 10160 1/11 du , par laquelle le Ministre fait connaitre qu'il a décidé de créer une nouvelle division active de campagne qui portera le no 158].
Cette division comprend les 4 régiments suivant :
formant la 315e brigade
formant la 316e brigade
1915[modifier | modifier le code]
- – : formation et séjour au camp d'Avord.
1916[modifier | modifier le code]
- – : transport Par V.F. dans la région de Magny-en-Vexin, puis mouvement vers celle de Nivillers ; travaux.
- – 1er septembre : mouvement par Liancourt, Senlis et Crépy-en-Valois, vers Villers-Cotterêts ; travaux.
- – : retrait du front, puis, à partir du , occupation d'un secteur vers Troyon et Soupir.
1917[modifier | modifier le code]
- 19 – : retrait du front et repos vers Oulchy-le-Château.
- – : occupation d'un secteur vers Chavonne et Pernant.
- 12 – : retrait du front et repos vers Lizy-sur-Ourcq.
- 18 – : transport par camions dans la région de Soissons, engagée dans la poursuite des troupes allemandes lors de l'opération Alberich : combats à Braye et à Margival.
- – : repos vers Cœuvres-et-Valsery.
- 7 – : préparatifs d'offensive vers Soissons, puis, le , vers Missy-aux-Bois ( éléments en secteur vers Laffaux, jusqu'au 12) : 15 avril : Bataille du Chemin des Dames non engagée dans l'offensive du .
- – : occupation d'un secteur vers la ferme Mennejean et le nord de Aizy-Jouy ; progression et organisation des positions conquises :
- 18 – : retrait du front ; repos vers Soissons.
- – : occupation d'un secteur vers la ferme Mennejean et le sud de Vauxaillon.
- : attaque allemande.
- – : retrait du front, mouvement vers Betz ; repos et instruction.
- 11 – : occupation d'un secteur entre la ferme d'Hurtebise et la ferme de la Bovelle : engagements de part et d'autre les 15, 23, 25, 26 et .
- – : retrait du front. À partir du , transport par V.F. de la région de Fère-en-Tardenois dans celle de Ham ; repos et instruction près de Nesle.
- – : occupation d'un secteur vers Selency et Pontruet (en liaison avec le front britannique).
- – : retrait du front ; repos dans la région de Guiscard.
- : Dissolution.
Rattachements[modifier | modifier le code]
- Affectation organique :
- isolée d' à
- 37e corps d'armée, de à
- 3e corps d'armée, de juin à
- –
- –
- –
- –
- –
- –
- –
- G.M.P.
- –
L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]
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Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
En 1944, la 158e DI est reconstituée à partir de volontaires FFI et participe à la réduction des poches de résistance de la Wehrmacht sur la côte atlantique, sous le commandement du général Larminat[1].
L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
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Notes et références[modifier | modifier le code]
- Stéphane Simonnet, Claire Levasseur (cartogr.) et Guillaume Balavoine (cartogr.) (préf. Olivier Wieviorka), Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944- 8 mai 1945 : des débarquements aux villes libérées, Paris, éd. Autrement, coll. « Atlas-Mémoire », (1re éd. 1994), 79 p. (ISBN 978-2-746-70495-4 et 2-746-70495-1, OCLC 417826733, BNF 39169074), p. 44
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
La 158° DI dans la bataille de l'Aisne (1917)
