Le Belge Jean Rossius profite du final accidenté de l'étape vers Nice, et notamment des pentes du col de Braus, pour remporter sa deuxième victoire d'étape et se replacer au troisième rang du classement général. Il perd néanmoins trois équipiers sur abandon, tandis que deux anciens vainqueurs de l'épreuve quittent eux aussi la route du Tour : Lucien Petit-Breton, amoindri par une sciatique, et Lapize, qui vient d'apprendre le décès de sa mère[1].
Jean-Paul Bourgier, Le Tour de France 1914 : De la fleur au guidon à la baïonnette au canon, Toulouse, Le Pas d'oiseau, , 159 p. (ISBN978-2-917971-14-7)..