Ados job

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Ados job
Logo de l’association
Cadre
Forme juridique Association suisse reconnue d'utilité publique
But Aide à la recherche de travail pour les jeunes
Zone d’influence Suisse romande
Fondation
Fondation 2002
Fondateur Camille-Angelo Aglione
Identité
Siège Lausanne
Président Olia Marincek (2013)[1]
Secrétaire général Philippe Nussbaum (2017)[1]
Site web http://www.adosjob.ch/

Ados Job est une association suisse à but non lucratif et reconnue d'utilité publique[2] qui aide les jeunes de 15 à 25 ans à trouver un petit boulot en parallèle à leurs études[3]. Elle a été fondée en 2002 par Camille-Angelo Aglione, un étudiant suisse romand.

Site Internet[modifier | modifier le code]

Le principal service de l'association est un site internet qui met en contact les employeurs et les étudiants à la recherche d'un petit job. Les services sont entièrement gratuits. Le site compte plus de 64000 utilisateurs[4] et publie un peu plus d'un millier d'offres par année[5].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ados Job est créée en 2002 au gymnase de Burier, dans le canton de Vaud, par Camille-Angelo Aglione[6]. D'abord réservés aux étudiants de l'établissement scolaire, les services de l'association sont en 2004 étendus à tous les jeunes Suisses romands, pour autant qu'ils soient âgés de 15 à 22 ans.

En 2004 l'association se dote d'un nouveau site internet, développé bénévolement par un étudiant du Gymnase. La même année Adecco, Nestlé et la Banque cantonale vaudoise investissent dans le projet sous forme de dons[7].

En 2009 Ados Job lance un service de coaching gratuit destiné aux petits jobs[8].

En 2011, le service de coaching devient indépendant. L'association AdosPro est créée pour le piloter. Elisabeth Holm, qui avait créé le projet pour Ados Job, devient sa responsable[9].

En 2012, l'association connaît pour la première fois de son histoire un recul des offres publiées sur son site[10]. En mai de la même année, une nouvelle version de son site est lancée à la suite d'une opération de communication originale annonçant la fin du site[11],[12]. L'entreprise Jobup SA investit dans le projet et devient partenaire de l'association[13].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Comités & membres | AdosJob », sur AdosJob.ch (consulté le )
  2. « Reconnue d'utilité publique », sur Adosjob.ch (consulté le )
  3. Quentin Frei, « Les exemples à ne pas suivre selon Adosjob », 24 heures,‎ , p. 19 (lire en ligne Accès payant)
  4. « Exemplaire 78, Banque-Finance »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  5. « Les petits jobs pour étudiants sont plus durs à trouver », sur Le Matin.ch (consulté le )
  6. « Historique », sur Adosjob.ch (consulté le )
  7. « Petits jobs, mais grandes expériences! », sur Le Regional.ch (consulté le )
  8. Carole Pantet, « Coaché pour dégoter un job d’été », sur 20min.ch (consulté le )
  9. « Ados Pro », sur Prilly.ch (consulté le )
  10. « Le marché des petits jobs a souffert fin juin 2011 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  11. Joëlle Misson, « AdosJob fait peau neuve », sur Tink.ch (consulté le )
  12. Marie Nicollier, « adosjob.ch se donne la mort pour tirer la sonnette d’alarme », 24 heures,‎ (ISSN 1424-4039, lire en ligne Accès payant, consulté le )
  13. Agence télégraphique suisse, « adosjob.ch est à nouveau accessible », sur 20min.ch, (consulté le )

Sources à lier[modifier | modifier le code]

  • « La lente agonie du site adosjob.ch », 20 Minutes,‎ , p. 5
  • I.R., « Recul sur le marché des petits jobs pour ados », Le Matin Dimanche,‎ , p. 24
  • Marie Nicollier, « Une mine de petits boulots pour les ados », 24 Heures,‎ 21-22 avril 2011, p. 22
  • Mélanie Haab, « Le roi des petits boulots », Migros Magazine,‎ , p. 102
  • C. BO., « Le site Adosjob passe à la vitesse supérieur », 24 Heures,‎ , p. 26
  • E.C., « Les ados ont leur bourse d'emploi en ligne », 24 Heures,‎ , p. 33