Ainvelle (Vosges)

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Ainvelle
Ainvelle (Vosges)
Église Saint-Pierre-aux-Liens.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes des Vosges côté Sud Ouest
Maire
Mandat
Thierry Hubrecht (LR)
2020-2026
Code postal 88320
Code commune 88004
Démographie
Gentilé Ainvellois
Population
municipale
132 hab. (2021 en diminution de 17,5 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 59′ 53″ nord, 5° 49′ 45″ est
Altitude 301 m
Min. 259 m
Max. 444 m
Superficie 9,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Darney
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ainvelle

Ainvelle Écouter (/ɛ̃.vɛl/) est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ainvelle est située à l'extrême sud-ouest du département, à une altitude moyenne de 404 mètres, et à 8 km de Bourbonne-les-Bains.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est à environ 5 kilomètres de la forêt du Bois Bas.

Grès vosgiens, Calcaires du muschelkalk moyen, Grès Trias inférieur, Domaine triasique[1] et liasique[2].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Route départementale n°2 de Mirecourt à Jussey.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

  • Transports scolaires[3].
  • Le réseau Livo est le transport en commun desservant le département des Vosges[4].
Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

La gare la plus proche de Ainvelle se trouve à Lamarche (9 kilomètres).

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune classée en zone sismique faible[5],[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Saône au sein du Bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par le ruisseau de Ferrière[Carte 1].

En , le village a été victime d'inondations, coulées de boue et de mouvements de terrain. D'autres inondations et coulées de boue avaient déjà eu lieu en et .

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Ainvelle.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[7].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lignéville », sur la commune de Lignéville à 21 km à vol d'oiseau[10], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ainvelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,4 %), prairies (31,4 %), forêts (27,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), zones urbanisées (3,7 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Onivilla en 1136 (Gall. chr., XV, instr., 30), Ainvelle en 1211, Ainville en 1263, Ainvilla en 1577, Invelle, Insvelle en 1737[21].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». En vosgien et franc-comtois, -velle est une forme dialectale de -ville.
Le premier élément Ain- correspond à un anthroponyme selon le cas général. On croit y reconnaître le nom de personne germanique Agio > Aio au cas régime (ce qui explique le /n/ qui résulte de la désinence de a(g)ion-) comme dans Ancourt (Seine-Maritime, Aione corte 734, Aencourt 1153). Cependant si la forme Onivilla de 1136 est juste, cette solution n'est sans doute pas la bonne, la forme romane devait être *Oinville dont l'évolution phonétique en Ainville est tout à fait possible.

Histoire[modifier | modifier le code]

Des outils montrent que le lieu avait été habité au Paléolithique. Une villa gallo-romaine a été construite au Ier siècle. Elle fut sans doute détruite par les Alamans vers 275, repoussés en 282 et qui reviendront en Gaule vers 406.

Le nom du village d’Ainvelle est mentionné dans un titre datant de 1291 lors d’une demande d’échange d’hommes entre l’abbé de Flabémont et Henri, comte de Bar.

La commune dépendait en 1751 du bailliage de Lamarche. Au spirituel, Ainvelle dépendait de la paroisse de Lamarche, doyenné de Faverney.

De 1790 à l'an X, Ainvelle a fait partie du district de Lamarche et du canton d’Isches. En 1795, Ainvelle comptait 500 personnes. En 1830, la population de ce village atteignait 589 habitants. En 1845, 623 personnes habitent Ainvelle. Ce chiffre tombe à 379 en 1903. À cette époque, l'industrie locale comprend deux fabriques de plâtre, une de charbon de bois ainsi qu'une fabrique d'huile qui fonctionnait depuis 1730.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Avant mars 2001 mai 2020 Bernard Defrain    
mai 2020 En cours Thierry Hubrecht[22] LR  

Budget et fiscalité 2016[modifier | modifier le code]

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

  • total des produits de fonctionnement : 92 000 , soit 539  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 90 000 , soit 531  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 16 000 , soit 92  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 24 000 , soit 144  par habitant ;
  • endettement : 60 000 , soit 354  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 13,44 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,85 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 16,74 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 17,38 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 440 [24].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Initialement membre de la Communauté de communes des Marches de Lorraine, qui a fusionné avec deux autres EPCI pour former la communauté de communes des Vosges Côté Sud Ouest au .

Urbanisme et protection de l'environnement[modifier | modifier le code]

Par Décision n° 397923 du , le Conseil d’État a annulé le Schéma Régional Éolien (SRCAE/SRE) de la Lorraine, concernant notamment cette commune, et rejeté le pourvoi de la ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargée des relations internationales sur le climat[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont nommés les Ainvellois[26] Écouter.

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 132 habitants[Note 4], en diminution de 17,5 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
417510505527584581623620530
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
526523479462432453395379401
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
362309253252258237206205179
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
179168154148159161165142132
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Médecins et professionnels de santé à Lamarche[32].

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique. Paroisse : Bienheureux Jean Baptiste Menestrel. Diocèse de Saint-Dié[33].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Coopérative Agricole Lorraine.
  • Le moulin de Jacques[34].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hôtels à Isches, Fouchécourt, Mont-lès-Lamarche.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Un inventaire des fermes et maisons a été réalisé par le service régional de l'inventaire général[35].
  • Deux sites gallo-romains, dont la villa gallo-romaine « La Roye Demange »[36].
  • Moulin à huile[37],[38].
  • Église Saint-Pierre-aux-Liens : en 1844, les plans d'une église sont réalisés : toutefois, l'église n'a pas pu être construite exactement selon les plans par faute de moyens[39].
  • Monument aux morts : conflits commémorés 1914-1918 et 1939-1945[40].

Gastronomie[modifier | modifier le code]

La commune se trouve sur le territoire du gruyère, ainsi que du miel de sapin des Vosges et des eaux-de-vie des mirabelles de Lorraine.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marie-Charles Pierfitte (1847-1910), nommé curé d'Ainvelle en 1877, de Portieux en 1887, puis Chanoine de Saint-Dié[41].

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Ainvelle » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. triasique, sur Wiktionnaire
  2. Nature des sols influençant la qualité des eaux
  3. Transports scolaires
  4. Services organisés par la Région Grand Est
  5. Commune classée en zone sismique faible
  6. Didacticiel de la règlementation parasismique
  7. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Ainvelle et Lignéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, 1941, p. 3 (lire en ligne)
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. Les comptes de la commune
  24. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  25. Schéma Régional Eolien Lorraine (SRCAE/SRE).
  26. https://www.habitants.fr/vosges-88
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Établissements d'enseignements
  32. Médecins et professionnels de santé
  33. Paroisse : Bienheureux Jean Baptiste Menestrel
  34. Le Sud-Ouest Vosgien… un territoire de frontières historiques et naturelles : Le moulin de Jacques
  35. Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
  36. Présentation des vestiges de la région d'Ainvelle, sites gallo-romains, voies romaines, voies navigables : le site de La Roye Demange
  37. Le moulin à huile
  38. « Ferme C.D. 460 24 », notice no IA88000710, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Eglise Saint-Pierre-ès-Liens
  40. Monument aux morts
  41. « Biographie de Marie-Charles Pierfitte (1847-1910) », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).