Alexandre (film)

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Alexandre
Description de cette image, également commentée ci-après
Titre québécois Alexandre
Titre original Alexander
Réalisation Oliver Stone
Scénario Oliver Stone
Christopher Kyle (de)
Laeta Kalogridis
Musique Vangelis
Acteurs principaux
Sociétés de production Warner Bros.
Intermedia Films
Pacifica Film
Egmond Film & Television
France 3 Cinéma
IMF Internationale Medien und Film GmbH & Co. 3. Produktions KG
Pathé Renn Productions
Pays de production Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre biographie épique
Durée 175 minutes
Sortie 2004

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Alexandre (titre original : Alexander) est un film historique et épique multinational réalisé par Oliver Stone et sorti en . Pour raconter la vie d'Alexandre le Grand, Oliver Stone a choisi un point de vue psychologique avec de nombreuses antithèses que l'on voit tout au long du film.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Présentation générale[modifier | modifier le code]

Le film narre sa vie du point de vue d'un de ses principaux généraux, Ptolémée, de son enfance à sa mort, des cours d'Aristote aux conquêtes qui firent sa légende, de l'intimité aux champs de bataille. Né en , Alexandre le Grand est le fils du roi Philippe II, il soumit la Grèce antique révoltée, fonda les Alexandries, défit les Perses, s'empara de Babylone et atteignit l'Indus pour établir à 32 ans le plus vaste empire jamais unifié avant lui qui donnera naissance à la civilisation hellénistique.

Deux époques coexistent dans le film : celle du narrateur, Ptolémée, devenu roi d'Égypte, dictant ses Mémoires, 40 ans après l'expédition, et celle de la vie d'Alexandre, évoquée de façon non linéaire par une alternance entre la progression chronologique générale et plusieurs retours en arrière.

Synopsis détaillé[modifier | modifier le code]

En , Alexandre meurt à Babylone, pris de fortes fièvres.

Ptolémée raconte que les Grecs étaient depuis cent ans à la merci de l'empire perse, mais Philippe II constitua en Macédoine un royaume florissant et une armée puissante. À Pella, Olympias choie et protège Alexandre, mais ses relations avec Philippe II sont mauvaises. Aristote éduque Alexandre et les enfants sur Achille, Dionysos et les contrées lointaines des Perses. Durant son enfance, Alexandre dompta à la surprise générale Bucéphale, un cheval fougueux. Philippe II prédit à son fils que les dieux sont cruels et reprennent la gloire accordée, et que comme Achille, dont Alexandre se réclame, la gloire éternelle implique une vie brève.

Une fois adulte, Olympias le pousse au mariage et à donner un héritier, car Philippe II se maria avec Eurydice et veut un descendant plus légitime, ce qui exclut Alexandre de la lignée de succession. Il est en effet toujours épris de son ami Héphaïstion. Durant un banquet pour célébrer les fiançailles entre Philippe II et Eurydice, Alexandre se dispute avec son oncle Attale et son père, qui le bannit et le renie.

Ptolémée raconte que Philippe II fut tué, Alexandre lui succéda et mata violemment les cités grecques qui se sont rebellées contre lui, peut-être corrompues par la Perse. Il conquit l'Asie Mineure avec 40 000 hommes, ainsi que les cités d'Égypte et il fut fait Pharaon et fils de Zeus.

Son armée vainquit à la bataille de Gaugamèles, pourtant inférieure en nombre et Alexandre manqua de tuer Darius III qui s'enfuit. Il détruisit l'empire perse. Il entra dans la capitale Babylone, c'est un triomphe. Olympias correspond et le met en garde face à ses compagnons ambitieux, lui demande d'arrêter le périple vers l'est et réclame qu'elle le rejoigne. Il pourchasse Darius vers la Bactriane et vit qu'il fut tué par ses dignitaires. Il se maria avec Roxane, une barbare, ce qui fut très critiqué par ses compagnons. Il souhaite d'ailleurs l'assimilation des peuples asiatiques, ce qui ne suscita pas d'enthousiasme, de même que sa volonté de poursuivre vers les contrées inconnues, qui provoqua la lassitude de l'armée. Il déjoua une conspiration d'assassinat de Hermolaos et Philotas. Il les exécuta, ainsi que Parménion qui était resté en Macédoine.

Il continue toujours, en franchissant l'Hindu Kush puis en étant en Inde. Les conditions météorologiques sont médiocres et les victoires n'apportent que peu de gains. Durant un banquet avec des indiens, Cléitos fit une violente diatribe contre Alexandre et son traitement des barbares qui serait plus favorable que celui des Grecs. Alexandre le tue. Il est pris de chagrin et se remémore l'assassinat de Philippe II par Pausanias dont il fut témoin. Philippe avait rappelé son fils d'exil mais excluait d'en faire son successeur. Les soupçons se portent sur Olympias, Ptolémée juge son implication probable.

Sur les bords de l'Indus, Alexandre veut continuer vers l'est mais les soldats et Cratéros protestent, lassés de huit années de campagnes, et souhaitent rentrer. Alexandre réprime la mutinerie et tue les meneurs qui le traitent de parricide. La marche reprend mais Alexandre y perd grandement en popularité.

Puis vint la bataille de l'Hydaspe, meurtrière, avec des éléphants de combat. Alexandre manque d'y laisser sa vie. Il proclame le retour, l'armée l'acclame. Le retour est éprouvant dans le désert de Gédrosie, que Ptolémée désigne comme la plus lourde erreur de sa vie, beaucoup de soldats sont morts.

Il retourne à Babylone, mais, peu après, Héphaïstion tombe malade et meurt. Alexandre, durant une fête, s'effondre, agonise sans désigner clairement un successeur et meurt, trop pris de chagrin face à la mort d'Héphaïstion. Ptolémée évoque les guerres des Diadoques au sujet du partage de son empire et du vol de sa dépouille ainsi que l'assassinat d'Olympias, de Roxane et son fils par Cassandre, ce qui met fin à la lignée d'Alexandre et à ses successeurs légitimes.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

 Source et légende : version française (VF) sur RS Doublage[3] et AlloDoublage[4]

Production[modifier | modifier le code]

Genèse et développement[modifier | modifier le code]

En , il est rapporté qu'Initial Entertainment Group développe un film sur Alexandre le Grand, réalisé par Martin Scorsese, écrit par Peter Buchman et Christopher McQuarrie. Leonardo DiCaprio est alors annoncé dans le rôle principal[5]. Oliver songeait depuis une quinzaine d'années à faire un film sur ce sujet :

« Les dernières années de la vie d'Alexandre, au cours desquelles se produisirent certains des événements les plus intéressant et les plus importants, sont restés ignorées dans le film de Robert Rossen. Bien sûr, il n'y a pas de certitudes quant à ces huit années de conquêtes. Pour reconstituer ce que fut la vie d'Alexandre, on ne peut, au mieux, que présumer. (…) On a de bonnes connaissances historiques — pas énormément, mais suffisamment — pour justifier ce que nous avons écrit dans le scénario. C'est une histoire merveilleuse et le plus difficile reste de trouver la meilleure manière de la raconter[6]. »

— Oliver Stone

Pour parfaire son scénario, Oliver Stone s'inspire d'une biographie écrite par Robin Lane Fox, professeur de l'université d'Oxford. Il officie comme conseiller historique sur le film et apparait brièvement dans la peau d'un officier de cavalerie macédonienne lors d'une immense scène de bataille[7]. Oliver Stone s'entoure également d'un autre conseiller, Dale Dye, qui avait déjà travaillé sur certains de ses précédents films[6].

Durant le développement de ce film, Baz Luhrmann prépare lui aussi un film sur Alexandre, avec Leonardo DiCaprio, son Roméo, Nicole Kidman en Olympias. Mais contrairement à celui d'Oliver Stone, le projet du cinéaste australien prend du retard et ne se concrétise finalement pas[6].

Attribution des rôles[modifier | modifier le code]

Heath Ledger est un temps envisagé pour le rôle principal, alors que Brad Pitt s'est vu proposer le rôle de Héphaestion. Quant au rôle du roi Philippe II, Oliver Stone voulait Liam Neeson, qui refuse. Après avoir envisagé Sean Connery, il engage finalement Val Kilmer, qu'il avait dirigé dans The Doors[7],[6].

Tournage[modifier | modifier le code]

Le tournage a lieu de à . Il se déroule en Angleterre (Londres, studios de Shepperton, Pinewood Studios), en Allemagne (studios Intermedia Films AG à Munich), au Maroc (ksar d'Aït-ben-Haddou, Essaouira, Marrakech, Ouarzazate), en Thaïlande (Saraburi)[8]. Par ailleurs, Oliver Stone et son directeur de la photographie Rodrigo Prieto ont tourné quelques plans à Malte et dans l'Himalaya pour des incrustations et effets spéciaux[6].

Bande originale[modifier | modifier le code]

La musique devait au départ être composée par Goran Bregović. Oliver Stone aurait dit à Bregovic : « Je veux faire un film comme La Reine Margot mais en commercial. » Le compositeur yougoslave envoie deux démos mais est finalement remplacé par Vangelis[9].

Accueil[modifier | modifier le code]

Accueil critique[modifier | modifier le code]

Alexandre
Score cumulé
SiteNote
Metacritic 39/100[10]
Rotten Tomatoes 16 %[11]
AlloCiné 3 étoiles sur 5[12]
Compilation des critiques
PériodiqueNote

Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, le film récolte 16 % d'opinions favorables pour 204 critiques[11]. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 39100 pour 42 critiques[10].

En France, le site Allociné propose une note moyenne de 35 à partir de l'interprétation de critiques provenant de 24 titres de presse[12].

Box-office[modifier | modifier le code]

Sans être un échec, le film ne rencontre pas un immense succès en salles et peine à rembourser son budget de production estimé à 155 millions de dollars[13] (ou davantage selon certaines sources[14]). Il aura plus de succès sur le marché de la vidéo, avec ses différents montages édités en DVD (voir les différentes versions).

Pays ou région Box-office Date d'arrêt du box-office Nombre de semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Canada Canada
34 297 191 $[13] [15] 11[15]
Drapeau de la France France 1 258 802 entrées[14] -

Monde Total mondial 167 298 192 $[13] - -

Distinctions[modifier | modifier le code]

Récompense[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Analyse[modifier | modifier le code]

Oliver Stone aime l'Histoire, sa filmographie est éloquente à ce sujet, avec des films comme JFK et Nixon ou Né un 4 juillet, Platoon, Entre ciel et terre sur la guerre du Viêt Nam. Il évoque : Les Doors avec Val Kilmer ou le road movie meurtrier du couple : Tueurs nés. Avec Alexandre, il réalise son rêve d'enfant[réf. souhaitée], une fresque historique consacrée à Alexandre le Grand. Déjà porté à l'écran en 1956, Alexandre le Grand suscite l'intérêt de tous. Dans le film de 1956, Richard Burton avait Danielle Darrieux pour mère et Fredric March pour père dans une version signée Robert Rossen — Danielle Darrieux n'avait que huit ans de plus que Richard Burton… Dans le film d'Oliver Stone, Colin Farrell incarne Alexandre, et sa mère Olympias est jouée par Angelina Jolie, laquelle n'a qu'un an de plus que l'acteur, quant à Val Kilmer (Jim Morrison dans The Doors) il incarne son père Philippe II.

Oliver Stone a voulu respecter la réalité historique et a fait un effort dans la reconstitution des batailles et de la vie d'Alexandre, la magnifiant parfois et respectant sa bisexualité, ce dont se sont offusqués certains avocats grecs[18]. Il fait, de ce point de vue, directement référence à l'œuvre de Klaus Mann : Alexandre, Roman de l'Utopie (Stock, 1931) qui, le premier, avait mis en exergue ce trait particulier de sa biographie. D'une manière générale, le film de Stone doit beaucoup à l’œuvre de Klaus Mann[réf. nécessaire]. La volonté d'Alexandre d'unir les civilisations grecque et perse en faisant preuve de tolérance à l'égard des coutumes de cette dernière (allant parfois à l'encontre de certains de ses proches) est simplement réduite dans le film à une anachronique lutte contre les discriminations[19]. Le spécialiste Florent Pallares souligne :

« À la vue d’Alexandre, de nombreux critiques ont accusé Oliver Stone de soutenir George W. Bush. Ils ont mis en parallèle certains éléments scénaristiques de l’œuvre avec des événements contemporains […] Les cités grecques seraient présentées comme étant corrompues par l'or perse, légitimant les décisions guerrières de Philippe. De son côté, Alexandre semble justifier auprès de ses troupes la conquête de l'Orient, d’une part, en accusant les Perses d'être à l'origine de la mort de son père et d’autre part en apportant la liberté aux peuples soumis de l'Orient. Par ailleurs, l'Empire perse comportait plusieurs grandes cités dont la capitale était Persépolis qui n’est pas représentée dans le film. Seule l’entrée des Macédoniens dans Babylone évoque la conquête de l’Empire perse. Dès lors, un reflet du contexte politique des années 2000, a pu sembler évident. Des conquérants, les Américains, dirigés par un chef, George W. Bush qui veut venger le mal fait à son père, viennent de l'Ouest apporter « la liberté » à des peuples de l'Est tyrannisés qui ne leur ont rien demandé, notamment à Babylone en Irak plutôt qu'à Persépolis en Iran. […] Ces affirmations semblent en totale contradiction avec la personnalité d’Oliver Stone, [qui présente son film ainsi] : ‘Alexandre savait gagner les guerres et les étudiait. Il n'aurait jamais détourné les ressources du front pour mener une guerre d'arrière plan, comme Bush en Irak. Si votre objectif premier est Ben Laden, vous ne faites pas la guerre en Irak […] Là où Alexandre passait, quoi qu'en disent ses détracteurs, il apportait la paix, il ne semait pas la discorde. Il allait toujours plus loin, ne se contentait pas d'exploiter. Washington s'empare du pétrole au Moyen-Orient pour les États-Unis… Les Romains exploitaient l'Orient pour le profit de Rome. Pas Alexandre.’[20] »

Erreurs historiques[modifier | modifier le code]

Le film comporte quelques erreurs ou raccourcis historiques :

Différentes versions[modifier | modifier le code]

1re version : version cinéma (2004)[modifier | modifier le code]

Il s'agit de la version du film qui est sortie dans les salles en 2004, avec une durée de 175 minutes. Elle est sortie en DVD et en Blu-ray dans différents pays.

2e version : version du réalisateur (2005)[modifier | modifier le code]

À la suite de l'échec du film, Oliver Stone décide de remonter le film. Il réalise ainsi une version director's cut, réduisant la durée du film de 175 à 167 minutes[21]. Il coupe ainsi 17 minutes au montage initial mais en réintègre neuf[22]. Cette version ressort dans certaines salles américaines en 2005[2].

Principaux changements[22]
  • Les dates mentionnées le sont désormais de façon « chronologique », et non plus sous forme d'ellipses avec « sauts dans le temps » ;
  • Le récit de Ptolémée au début du film a été raccourci ;
  • Les deux flashbacks montrant l'arrivée d'Eurydice à la cour et le banquet de mariage sont déplacés et incorporés à la partie consacrée à la campagne de l'Est, avec le procès de Philotas et l'assassinat de Parménion ;
  • La scène dans laquelle Aristote donne une leçon au jeune Alexandre a été rallongée ;
  • Le récit de Ptolémée de la bataille de Gaugamèles est modifié pour ne faire plus aucune référence à la destruction de Thèbes et au sac de Persépolis ;
  • La scène de nuit avant la bataille de Gaugamèles et le sacrifice rituel avant la bataille ont été supprimés ;
  • Après la scène dans laquelle Alexandre se plaint des morts de la bataille de Gaugamèles, un flashback est ajouté, qui montre son père Philippe lui expliquer ce que sont les Titans ;
  • La scène où Perdiccas interrompt un combat entre Hephaistion et Cleitus a été supprimée ;
  • La scène dans laquelle Roxane tente de tuer Alexandre a été supprimée ;
  • La scène dans laquelle Alexandre pleure la mort de Cleitus a été supprimée ;
  • La scène du procès de Philotas a été raccourcie : les explications de Ptolémée y sont retirées ;
  • Une scène supplémentaire dans laquelle Alexandre lit une lettre d'Aristote s’intercale entre la scène où il écrase la rébellion dans ses rangs et la bataille finale ;
  • La scène dans laquelle Olympias apprend la mort d'Alexandre a été réduite.

3e version : Alexander Revisited: The Final Unrated Cut (2007)[modifier | modifier le code]

Après le succès du film en vidéo, Oliver Stone sort Alexander Revisited: The Final Unrated Cut, dite « final cut ». Cette version rallongée, portant la durée du film à 214 minutes[21], intègre la plupart des scènes filmées[7]. Pour le réalisateur, cette version se veut une « forme d'hommage aux films de Cecil B. DeMille », et est structurée en trois axes (« la naissance d'un homme », « Introspection » et « Révolution »)[22]. Elle ressort dans quelques salles en 2007[2],[7].

4e version : version ultime (2012)[modifier | modifier le code]

En , Oliver Stone révèle qu'il travaille sur une quatrième version de son film, après une demande de Warner, et que cette fois, il supprimait des passages, ayant le sentiment qu'il en a trop ajouté dans la version Revisited de 2007[23]. Cette version, « Ultimate Cut », qui dure 206 minutes, est projetée pour la première fois le au Festival international du film de Karlovy Vary[24] et Stone déclare à cette occasion qu'il n'y aurait plus aucune version qui sortirait après celle-ci[25]. En , Oliver Stone annonce sur Twitter que la version ultime d'Alexandre sortirait aux États-Unis le . Cette version est éditée en France fin 2015 par Pathé, dans un coffret qui réunit la version cinéma de 2004, la version Revisited de 2007 et la version Ultimate de 2012[26].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Alternate versions » ((en) versions alternatives), sur l'Internet Movie Database
  2. a b et c « Release info » (dates de sortie), sur l'Internet Movie Database
  3. « Fiche du doublage français du film », sur RS Doublage.
  4. « Fiche du doublage français du film » sur AlloDoublage.
  5. (en) « Scorsese, DiCaprio Make Great Team for 'Alexander' » [archive du ], sur Hive4media.com, (consulté le )
  6. a b c d et e Secrets de tournage - Allociné
  7. a b c et d « Trivia » ((en) anecdotes), sur l'Internet Movie Database
  8. « Locations » (tournage et production), sur l'Internet Movie Database
  9. « Goran Bregovic », sur Hep Taxi
  10. a et b (en) « Alexandre Reviews », sur Metacritic, CBS Interactive (consulté le )
  11. a et b (en) « Alexandre (2005) », sur Rotten Tomatoes, Fandango Media (consulté le )
  12. a et b « Alexandre - critiques presse », sur Allociné (consulté le )
  13. a b et c (en) « Alexander », sur Box Office Mojo (consulté le )
  14. a et b « Alexandre », sur JP's box-office (consulté le )
  15. a et b (en) « Alexander - weekly », sur Box Office Mojo (consulté le )
  16. (en) Awards - Internet Movie Database
  17. Palmarès des nominations aux 25e Razzie Awards, sur le site des Razzie Awards. Page consultée le 21 octobre 2011.
  18. (en) « Bisexual Alexander angers Greeks », BBC,‎ (lire en ligne)
  19. Martin Peltier, « Complètement Stone », Le Figaro hors-série « Alexandre le Grand. Le royaume – l'épopée – la légende », no 65,‎ , p. 112–114
  20. Florent Pallares, « Représentations de la guerre et de la paix dans le cinéma à sujet antique hollywoodien », Images de guerre, guerre des images, paix en images : La guerre dans l’art, l’art dans la guerre, Perpignan, Presses Universitaires de Perpignan,‎ , p. 112–113
  21. a et b « Alexandre Final Cut », sur TF1 News
  22. a b et c Dossier "silence on coupe" - page Alexandre - Allociné
  23. Hugh Armitage, « Oliver Stone plans fourth 'Alexander' cut », Digital Spy,
  24. « Alexander: The Ultimate Cut » [archive du ], Karlovy Vary International Film
  25. Iain Blair, « Oliver Stone Insists Latest Cut of ‘Alexander’ Is the ‘Ultimate Version’ », Variety,‎ (lire en ligne)
  26. (en) « Blu-rayphile.fr », sur blu-rayphile.fr (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) Paul Cartledge, Fiona Rose Greenland (ed.), Responses to Oliver Stone's Alexander: Film, History, and Cultural Studies, Madison, University of Wisconsin Press, 2010.
  • Florent Pallares, « Représentations de la guerre et de la paix dans le cinéma à sujet antique hollywoodien », in Images de guerre, guerre des images, paix en images : La guerre dans l’art, l’art dans la guerre, sous la dir. de Michel Cadé et Martin Galinier, Perpignan, Presses Universitaires de Perpignan, coll. « Etudes », 2013, 357 p., (ISBN 9782354121761), présentation en ligne.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]