Alice Echols

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Alice Echols
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Historienne, critique culturelle, journaliste, critique musicaleVoir et modifier les données sur Wikidata
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Alice Echols est une essayiste, historienne et professeure d'études de genre et d'histoire à l'Université de Californie du Sud[1],[2].

Biographie[modifier | modifier le code]

Après ses études secondaires au Sidwell Friends School de Washington (District de Columbia), Alice Echols obtient son Bachelor of Arts (mention histoire) au Macalester College[3] de Saint Paul dans le Minnesota, en 1973. Elle réussit son Master of Arts (Histoire) en 1980 puis son Doctorat en Histoire (Ph.D) en 1986 à l'Université du Michigan[1].

Elle commence sa carrière d'universitaire à l'Université Rutgers[4].

Alice Echols réside à Santa Fe.

Publications[modifier | modifier le code]

  • Shortfall: Family Secrets, Financial Collapse, and a Hidden History of American Banking, éd. New Press, 2017[5],
  • Hot Stuff: Disco and the Remaking of American Culture, éd. W. W. Norton & Company, 2010,
  • Shaky ground:The sixties and Its aftershocks, éd. Columbia University Press, 2001, rééd. 2002 ,
  • Scars of Sweet Paradise: The Life and Times of Janis Joplin, éd. Picador, 1999, rééd. 2000,
  • Daring to Be Bad: Radical Feminism in America 1967-1975 (avec un avant-propos d'Ellen Willis)[6], éd. University of Minnesota Press, 1989[7], réédité (édition de trentième anniversaire, avec introduction nouvelle) en 2019.

Elle a également écrit un chapitre sur le Mouvement de libération des femmes dans le livre de William McConnell: The counterculture movement of the 1960s, .éd. Greenhaven Press, 2004[8].

Prix et distinctions (sélection)[modifier | modifier le code]

  • Prix du General Education Course Innovation Award, 2006-2007,
  • Prix Gustavus Meyers Outstanding Book Award-pour Daring to Be Bad, 1990-1991,
  • Boursière de l'ACLS Grant-in-Aid Fellowship, 1990,
  • Boursière du Center for Gender Research Fellowship, 1985

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • A Note on the New York Radical Feminists, article de susan Faludi pour The New Yorker, 2013
  • 'Hot Stuff: Disco and the Remaking of American Culture' by Alice Echols, article de Peter Terzian pour le Los Angeles Times, 2010[4]
  • Dance, dance revolution, article de James Gavin pour le New York Times, 2010[9],
  • Back Talk: Alice Echols, interview menée par Christine Smallwood pour The Nation, 2010[10]
  • On Campus, Vampires Are Besting the Beats, article de Ron Charles pour le Washington Post, 2009[2],

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (en) « Faculty Profile > USC Dana and David Dornsife College of Letters, Arts and Sciences », sur dornsife.usc.edu (consulté le )
  2. a et b Ron Charles, « On Campus, Vampires Are Besting the Beats », Washington Post,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. (en) « Macalester College: Private Liberal Arts College », sur www.macalester.edu (consulté le )
  4. a et b (en-US) Peter Terzian, « 'Hot Stuff: Disco and the Remaking of American Culture' by Alice Echols », Los Angeles Times,‎ (ISSN 0458-3035, lire en ligne, consulté le )
  5. (en) SHORTFALL by Alice Echols | Kirkus Reviews (lire en ligne)
  6. « Lit up by her own blowtorch », Irish Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. Aldon Morris, « Daring to Be Bad: Radical Feminism in America, 1967-1975. Alice Echols », American Journal of Sociology, vol. 96, no 3,‎ , p. 799–801 (ISSN 0002-9602, DOI 10.1086/229607, lire en ligne, consulté le )
  8. (en) William S. McConnell, The Counterculture Movement of the 1960s, Greenhaven Press, , 204 p. (ISBN 978-0-7377-1819-5, lire en ligne)
  9. James Gavin, « Book Review - Hot Stuff - Disco and the Remaking of American Culture - By Alice Echols - Review - NYTimes.com » (consulté le )
  10. Christine Smallwood, « Back Talk: Alice Echols », The Nation,‎ (ISSN 0027-8378, lire en ligne, consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

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