Ambillou

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Ambillou
Ambillou
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Ouest Val de Loire
Maire
Mandat
Bruno Cheuvreux
2020-2026
Code postal 37340
Code commune 37002
Démographie
Gentilé Ambellousiens
Population
municipale
1 751 hab. (2021 en diminution de 5,15 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 27′ 07″ nord, 0° 26′ 54″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 117 m
Superficie 48,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Langeais
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Ambillou est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique d'Ambillou.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 40,74 km, comprend cinq cours d'eau notables, le Lathan (0,656 km), la Bresme (0,564 km), la Roumer (0,826 km), le Braineau (8,704 km) et le Breuil (0,369 km), et divers petits cours d'eau dont la Garande (3,99 km)[1],[2].

Le Lathan, d'une longueur totale de 57,9 km, prend sa source à l'ouest du territoire communal dans le bois d'Ambillou et conflue en rive droite de l'Authion à Beaufort-en-Anjou (Maine-et-Loire), après avoir traversé 16 communes[3]. Sur le plan piscicole, le Lathan est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[4].

La Bresme, d'une longueur totale de 26,9 km, prend sa source sur la commune de Semblançay au lieu-dit le Plessis de la Gagnerie, à 120 m d'altitude[5], coule du nord au sud et constitue une partie de la limite communale est puis se jette dans la Loire sur la commune de Saint-Étienne-de-Chigny, à 39 m d'altitude[6] à la pointe de l'île Belle Fille, après avoir traversé 7 communes[7]. Sur le plan piscicole, la Bresme est également classée en deuxième catégorie piscicole[4].

La Roumer, d'une longueur totale de 27,3 km, prend sa source à l'ouest du territoire communal dans le bois d'Ambillou, et se jette dans la Loire à Langeais, après avoir traversé 6 communes[8]. Sur le plan piscicole, la Roumer est également classée en deuxième catégorie piscicole[4].

Le Braineau, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune de Souvigné et se jette dans la Bresme sur la limite communale est[9]. Sur le plan piscicole, le Braineau est également classé en deuxième catégorie piscicole[4].

Le Breuil, d'une longueur totale de 14,6 km, prend sa source à l'extrémité sud de la commune, au droit de l'étang de la Céseraie, et se jette dans le Roumer à Langeais, après avoir traversé 4 communes[10]. Sur le plan piscicole, le Breuil est également classé en deuxième catégorie piscicole[4].

Dix zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « l'étang de la Rabelière », « la vallée de la Bresme de Pernay à la Houssière », « la vallée du Ruisseau de Braineau », « l'étang de la Céseraie », « l'étang des Roucherets », « l'étang de Radoire », « l'étang de Givry », « l'étang des Trois Frères et suivants », « l'étang de Bréviande », « les étangs de Braineau », « la vallée de la Bresme de la Boiderie à Pernay », « l'étang de la Hézière », « les mares du Bois de Tivoli » et « les étangs de la Caranderie »[11],[12].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Fondettes à 13 km à vol d'oiseau[15], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 725,7 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ambillou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,8 %), prairies (20,5 %), terres arables (12,2 %), zones urbanisées (2 %), eaux continentales[Note 4] (1 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Ambillou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Bourgueil, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ambillou.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 742 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 636 sont en aléa moyen ou fort, soit 86 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[29].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Bas latin Ambiliavus. Gentilice Ambilius et suffixe de possession avus : le domaine d'Ambilius.
Parochia de Ambiloo, 1077, 1108. (Dom Housseau, t. XIV, n° 11.791 ; Archives départementales d'Indre-et-Loire-H, Charte de Marmoutier) ; Ambilleium, Ambillo, 1215 (Bibliothèque municipale de Tours, fonds Salmon, Chartes de Saint-Julien) ; De Ambilliaco, (cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 41, p. 88) ; Bertrandus de la Menaise, de parrochia de Anbilleto, 1247 (Archives nationales-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 1313) ; Ambillou, 1292 (Archives départementales d'Indre-et-Loire, chartes de Beaumont-lès-Tours et de Saint-Julien) ; Ambillou, (Archives nationales - JJ 195, n° 156, fol. 44) ; Ambilleyum, 1469 (Martyrologium Sancti Juliani) ; Ambillou, XVIIIe siècle (carte de Cassini).

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944[Note 7] 1953 Jules Auneau ? ?
[Note 7] Marcel Raimbault Rad.-SFIO Cultivateur
[Note 7] ? Robert Cormery ? ?
1995 2014 Marcel Ploquin[31] SE ?
2014 2020 Michel Chevet[32] SE Contremaître
2020 En cours Bruno Chevreux[33] Ambitions pour Ambillou Expert en foncier

Finances locales[modifier | modifier le code]

Évolution de l'endettement (en milliers d’€)[34] :

Évolution de l'endettement par habitant (en €)[34] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 1 751 habitants[Note 8], en diminution de 5,15 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
682895823845861844815803828
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8699381 0249649399339851 015983
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 000982969873876937874909887
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
8347328849861 0861 3011 5681 6061 822
2017 2021 - - - - - - -
1 7861 751-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie culturelle[modifier | modifier le code]

La commune d'Ambillou est dotée d'une bibliothèque municipale située à l'Espace Rejaudry, qui fait partie du réseau de la Direction Départementale des Bibliothèques et de la Lecture de Touraine. Une association culturelle a été créée en 2015 appelée Entr'Acte.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Ambillou se trouve dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Château La Vallière. Une école primaire publique rassemble les élèves de la PS au CM2.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Plusieurs hangars à couverture de bruyère, appelés chaumines ou loges en bruyère, vestiges d'un savoir-faire ancien, se trouvent sur le territoire de la commune[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. a b c d e f g h i j k l m n o et p Nommé comme maire sur des actes d'état civil sur les registres de la commune.
  6. a b c d et e En exercice jusqu'à son décès.
  7. a b et c Inscrit au tableau des maires de la commune.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Ambillou », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - le Lathan », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. a b c d et e « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Source de la Bresme » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
  6. « Confluence de la Bresme avec la Loire » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
  7. « Fiche Sandre - la Bresme », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  8. « Fiche Sandre - la Roumer », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  9. « Fiche Sandre - le Braineau », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  10. « Fiche Sandre - le Breuil », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  11. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  12. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  15. « Orthodromie entre Ambillou et Fondettes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Fondettes », sur la commune de Fondettes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Station Météo-France « Fondettes », sur la commune de Fondettes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Ambillou », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  30. « Le Populaire : journal-revue hebdomadaire de propagande socialiste et internationaliste ["puis" socialiste-internationaliste] », sur Gallica, (consulté le ).
  31. « [titre manquant] », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest (consulté le ).
  32. « [titre manquant] », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest (consulté le ).
  33. « [titre manquant] », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest (consulté le ).
  34. a et b finances.gouv.fr
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Marcel Ploquin, « Les chaumines en Touraine : Technique des toits de brande en Touraine » [PDF], sur sd-g1.archive-host.com, L'avenir d'Ambillou, (consulté le ), p. 38.
  40. « Notice L1489022 », sur culture.gouv.fr (consulté le ).