Anais (Charente)

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Anais
Anais (Charente)
La mairie d'Anais.
Blason de Anais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Éric Giraud-Bernard
2020-2026
Code postal 16560
Code commune 16011
Démographie
Population
municipale
560 hab. (2021 en diminution de 5,08 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 30″ nord, 0° 12′ 35″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 139 m
Superficie 9,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Anais
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Anais
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Anais

Anais est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Anais est une commune située à 14 km au nord d'Angoulême. Elle est traversée du sud au nord par la route nationale 10 entre Angoulême et Poitiers, qui passe à 1,5 km à l'ouest du bourg et est aménagée en voie express 2x2 voies.

Anais est aussi à 4 km de Jauldes, 6 km de Saint-Amant-de-Boixe, chef-lieu de son canton, 7 km de Vars, 11 km de Mansle, 5 km de Brie[1].

La commune est aussi traversée d'est en ouest par la D 11, route de Chasseneuil à Rouillac par Vars, route qui traverse le bourg, et la N 10 par un échangeur. La D 45, route de Churet à Chasseneuil par Coulgens traverse aussi le bourg, ainsi que la D 113 des Frauds (commune de Brie) à Montignac[2].

Anais est à 5 km au nord de l'aéroport d'Angoulême. La gare la plus proche est celle d'Angoulême.

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

La commune compte deux gros hameaux ou villages, aussi gros que le bourg : le Breuil d'Anais, situé au sud-est, et Churet, situé au sud sur l'ancienne route nationale 10 près de la Chignolle (commune de Champniers).

À l'ouest du bourg, la Touche s'est développé grâce à l'échangeur sur la N 10. La commune compte aussi de nombreux hameaux plus petits et fermes : la Clavière, Puymenier, les Nomblières, Puyfrançais, les Rivauds, Romefort, la Poutardière, etc.[2]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Anais
Tourriers
Vars Anais Jauldes
Champniers Brie

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien). La vallée de l'Argence est occupée par des alluvions du quaternaire (argile sableuse et tourbe)[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 100 m, traversé du nord au sud par une petite vallée, celle de l'Argence qui y prend sa source, ainsi que par des combes y descendant. Le point culminant de la commune est à une altitude de 139 m, situé en limite ouest à la Vieille Touche (au Puy Delan). Le point le plus bas est à 60 m, situé le long de l'Argence en limite sud à Churet. Le bourg est à 80 m d'altitude[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Argence et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L'Argence, d'une longueur totale de 4 km, prend sa source dans la commune de Jauldes et se jette dans la Charente en rive droite à Balzac, après avoir traversé 5 communes[8]. 'Argence ne prend son nom qu'en aval du bourg, et elle est formée de deux petits affluents, le ruisseau du Moulin des Rivauds qui prend sa source à l'est et l'Étang qui prend sa source au nord. La Fontaine de Maillou, en limite sud près de Churet, alimente aussi l'Argence.

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[6] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Anais est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,7 %), forêts (5,1 %), prairies (2,7 %), zones urbanisées (0,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Anais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Anais.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 287 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 270 sont en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Aunesio au XIIe siècle[22], ou Aneso en 1110[23].

Anais serait issu du latin Annacum ou villa Anni ce qui signifie que le village aurait été construit autour de la propriété d'un riche gallo-romain nommé Annus[24],[25].

Le hameau du Breuil d'Anais tire son nom du bas latin brogilum, d'origine gauloise brogilos qui désigne un petit bois[26] entouré d'un mur ou d'une haie[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au sud-ouest de la commune, à Churet, l'ancienne voie romaine Périgueux-Montignac-Rom, orientée sud-est - nord-ouest, sert de limite communale. Elle s'appelle Chemin chaussé sur l'ancien cadastre[28].

À Fongibaud, les vestiges d'une construction gallo-romaine ont été découverts vers 1900, avec fûts de colonnes et un antoninianus de Claude II. Une statue romaine de Jupiter chevelu et barbu du IIe ou IIIe siècle, a été trouvée en 1811 près du hameau de la Clavière, hélas détruite vers 1846[28].

En 1568, l'église fut détruite par les protestants, et ne fut reconstruite qu'en 1630 après une épidémie de peste noire qui décima les habitants[29].

Les premiers registres de l'état civil remontent à 1627[29].

La route nationale 10, d'abord chemin royal, traversait l'Argence à Churet. Elle a été aménagée en 2 x 2 voies entre les années 1980 et 2000.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Anais était de 1793 à 1801 dans le canton de Jandes puis est passée dans le canton de Saint-Amant-de-Boixe[30],[Note 3].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 2014 Jacky Bertrand RPR puis UMP Professeur, conseiller général (1992-2004)
2014 En cours Eric Giraud-Bernard SE Employé
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 560 habitants[Note 4], en diminution de 5,08 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Durant tout le XXe siècle, Anais a présenté une grande stabilité de sa population, mais la population augmente de manière significative depuis les années 1970.

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
501530644660739735738677669
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
687658637655570509493459433
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
451385399419430377406423374
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
420439446466506530565587568
2021 - - - - - - - -
560--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 293 hommes pour 281 femmes, soit un taux de 51,05 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,7 
4,8 
75-89 ans
5,8 
16,2 
60-74 ans
19,4 
24,8 
45-59 ans
21,6 
18,3 
30-44 ans
19,1 
15,2 
15-29 ans
15,1 
20,3 
0-14 ans
18,3 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

Commerces[modifier | modifier le code]

La zone d'activité de la Touche d'Anais se trouve en bordure de la N 10 et comporte une base d'Intermarché (100 à 249 salariés), des transporteurs, un hôtel restaurant et diverses entreprises dont Aluplast, AMS, Crousti'charente, Inomould, chaudronnerie industrielle Guerin, SOMC et des négoces, de matériaux, de pneus, de produits pétroliers.

Sur le bourg se trouve une boulangerie, et une autre à La Touche ainsi qu'une société de boulangerie.

Les entreprises artisanales sont une maçonnerie, une entreprise générale de bâtiment, une entreprise agricole et un garage.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

La poste.

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Anais, Aussac-Vadalle et Tourriers. Anais accueille l'école maternelle et l'école primaire, Aussac-Vadalle et Tourriers des écoles élémentaires[37].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre.

L'église paroissiale Saint-Pierre date initialement du XIe siècle et était le siège d'une cure. Elle fut presque totalement détruite par les protestants en 1568, et reconstruite en 1630. Entre-temps, le culte était célébré dans une grange. L'église a été restaurée à la fin du XIXe siècle ; le clocher et la façade datent de cette époque. De l'édifice d'origine subsistent le chœur en hémicycle, puis le latéral et le croisillon nord[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Anais
Blason de Anais Blason
Écartelé : au 1rer d'azur à la croix ancrée d'argent, au 2e d'argent au rameau de gui au naturel, au 3e de gueules à trois trèfles d'or, au 4e d'or à deux chevrons de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Il s'agit probablement d'une faute de frappe : canton de Jaudes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Anais » sur Géoportail (consulté le 19 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. a et b « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Anais », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « l'Argence »
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Anais », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Anais », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 281
  23. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125
  24. Jean-Marie Cassagne et Stéphane Seguin, Origine des noms de villes et villages de Charente, Saint-Jean-d'Angély, Jean-Michel Bordessoules, , 311 p. (ISBN 2-913471-06-4), p. 14
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 15..
  26. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Paris (éditions Errance) 2001. (ISBN 978-2-87772-198-1), p. 91.
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 112..
  28. a et b Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 191
  29. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 42
  30. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Anais (16011) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  37. Site de l'inspection d'académie de la Charente
  38. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 18

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]