Arcomps

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Arcomps
Arcomps
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes Berry Grand Sud
Maire
Mandat
Jean-Louis Caors
2020-2026
Code postal 18200
Code commune 18009
Démographie
Gentilé Arconnais
Population
municipale
274 hab. (2021 en diminution de 12,18 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 40′ 36″ nord, 2° 26′ 01″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 228 m
Superficie 20,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Amand-Montrond
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaumeillant
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Arcomps

Arcomps est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Arcomps est située dans le département du Cher. La commune est située à 11 km de Saint-Amand-Montrond, 60 km de Bourges, 61 km de Montluçon, 171 km d'Orléans, 296 km de Paris[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Paysages[modifier | modifier le code]

À Arcomps se trouvent des paysages de bocage.

L'agriculture est également très présente : élevage bovin, élevage ovin, élevage avicole, élevage porcin, de même que la culture céréalière : blé, colza et tournesol[réf. souhaitée].

Lieux-dits[modifier | modifier le code]

Arcomps compte 45 lieux-dits :

Bonnes (les), Bord, Boucher (le), Boutillats (les), Bourniau (le), Chaillet, Champ De Beau (le), Champ De Chaillet (le), Champ De La Caille (le), Champ De La Renne (le), Champ Du Rat (le), Chapelle (la), Charrons Coudrais (les), Crassais, Crot Du jars (le), Cure (la), Étang communal, Fonstreux, Fontenelle (la), Fosse Nouvelle, Fosseroux, Frêles, Gonnerie (la), Grand Bonnefond (le), Grand Oranger (le), Grand Orme (le), Gravelles (les), Judes (les), Lacs (les), Maisons Brûlées (les), Oranger, Pertuit Baudet (le), Petit Bonnefond (le), Petit Oranger (le), Petite Touratte (la), Pré De La Font (le), Râteau, Reuille (la), Rondelles (les), Route Des Pré Bouret (la), Sécherin (le), Touratte (la), Varennes, Vilmorais.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 2 014 hectares ; son altitude varie entre 169 et 228 mètres[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 764 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orval à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arcomps est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,1 %), terres arables (32,5 %), forêts (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Arcomps est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arcomps.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[17]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 186 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 186 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Arcuncus en 1115, Arcuneus ou Arcunciis en 1145, Arcons en 1235, Arconnium en 1240 et 1327[19], Arcomps en 1772[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Arcomps est occupée dès la Préhistoire et aussi à l'époque romaine. Au Moyen Âge, Arcomps est placée sous l'autorité de la seigneurie d'Orval durant plusieurs siècles.

En , pendant la Première Guerre mondiale, Arcomps comptait dix prisonniers originaires d'Autriche-Hongrie. Ils aidaient aux travaux agricoles, sous l'autorité des maires des communes, des employeurs agricoles ou des syndicats agricoles. En , ils avaient quitté la commune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. souhaitée]
Période Identité Étiquette Qualité
1827 1848 Étienne Cabat    
1848 1855 Henri de Loüan de Coursays    
1855 1863 Jules Henri de Loüan de Coursays   officier, conseiller général du Cher
février 1863 août 1863 Jean-Baptiste Aupetitgendre    
1863 1865 Balthazard de Loüan de Coursays    
1865 1871 Gilbert Balthazard de Loüan de Coursays    
1871 1875 Balthazard de Loüan de Coursays    
1875 1878 Gabriel Balthazard de Loüan de Coursays    
1878 1888 Balthazard de Loüan de Coursays    
1888 1892 Henri de Loüan de Coursays    
1892 1908 Louis Bordreuil    
1908 1925 Eugène Vincent   propriétaire exploitant
1925 1947 Jean Amiot    
1947 1953 Émile Dupuis    
1953 1971 Émile Gessiet    
1971 1989 Jacques Chevrier    
1989 mars 2008 André Goin    
mars 2008 En cours
(au 2 avril 2014[22])
Pascal Aléonard DVD employé
mars 2014 mai 2020 Pascal Aleonard[23]   Employé (secteur privé)
mai 2020 en cours Jean-Louis Caors[23],[24]   Ancien cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune a obtenu onze prix au concours des villes et villages fleuris[25]. Elle compte deux cantonniers chargés du fleurissement.

Récompenses du fleurissement
Prix Catégorie
2003 15e prix 1re catégorie A
2004 14e prix 1re catégorie A
2005 13e prix 1re catégorie A
2006 10e prix 1re catégorie A
2007 9e prix 1re catégorie A
2008 10e prix 1re catégorie A
2009 7e prix 1re catégorie A
2011 3e prix 1re catégorie A
2012 6e prix 1re catégorie A
2013 15e prix 1re catégorie B
2014 5e prix 1re catégorie B

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Arconnais[26].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 274 habitants[Note 3], en diminution de 12,18 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
503537558550563573563572624
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
614631628682698707685676664
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
659622583554513509482492466
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
418344347310287286288285297
2014 2019 2021 - - - - - -
308283274------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

La population est rurale et en partie constituée de personnes âgées.

Enseignement[modifier | modifier le code]

École d'Arcomps.

La commune est située dans l'académie d'Orléans-Tours et dans la circonscription[31] de Saint-Amand-Montrond.

L'école d'Arcomps a été construite en 1868. Elle fait partie d'un RRE (réseau rural d'éducation) avec les écoles de Saint-Pierre-les-Bois, Morlac, Reigny, Orcenais, Marçais, Loye-sur-Arnon et Ardenais.

Un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[32] a été effectué en 1978 entre Arcomps et Loye-sur-Arnon, qui avaient un nombre d'élèves insuffisant. Il a ensuite été élargi à Ardenais. Le RPI est organisé de la façon suivante (2015) : maternelle à Loye-sur-Arnon (de la petite section à la grande section), cours préparatoire et cours élémentaire 1re année à Ardenais, cours élémentaire 2e année, cours moyen 1re année et cours moyen 2e année à Arcomps.

Santé[modifier | modifier le code]

Aucun service de santé n'est présent sur le territoire de la commune. L'hôpital le plus proche est à Saint-Amand-Montrond.

Sports[modifier | modifier le code]

La commune ne possède aucun équipement sportif. Dans les communes voisines comme Loye-sur-Arnon et Saint-Georges-de-Poisieux, on trouve des clubs de football. À Orcenais et à Ardenais, il y a des clubs de poney.

Vie associative[modifier | modifier le code]

La commune regroupe 6 associations :

  • association des anciens combattants ;
  • comité de Saint-Blaise ;
  • foyer rural d'Arcomps ;
  • patch en Berry ;
  • club de l'amitié et des aînés ruraux ;
  • atelier « danses Folk ».

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 25 344 , ce qui plaçait Arcomps au 24 270e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[33].

En 2009, 63,4 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 1].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 180 personnes, parmi lesquelles 68,3 % d'actifs dont 58,9 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs[I 2].

On comptait 68 emplois dans la zone d'emploi, contre 116 en 1999, soit une diminution très importante. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 108, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 63,1 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins de deux emplois pour trois habitants actifs[I 3].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Au , Arcomps comptait 42 établissements : 16 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 1 dans l'industrie, 2 dans la construction, 20 dans le commerce-transports-services divers et 3 relatifs au secteur administratif[I 4].

Parmi ces 42 établissements, on compte :

  • L'Ébène, épicerie et restaurant ; fermée avec la Covid, l'épicerie-restaurant rouvre en mai 2022 sous le nom de « Le relais Fleury » ;
  • la fromagerie de la Touratte qui élève des vaches laitières de race holstein ;
  • la ferme de Chaillet, entreprise qui élève des cochons et des poulets ;
  • le haras du Grand Orme, élevage de chevaux Pure race espagnole ;
  • le Domaine du Gué de la Férolle, élevage de bassets hound et pension pour chiens et chats.

En 2011, une entreprise a été créée à Arcomps[I 5].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune ne compte ni monument, ni objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[34],[35] et aucun lieu, monument ou objet répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[36],[37].

Elle contient toutefois quelques lieux et monuments à mentionner :

Château de la Touratte[modifier | modifier le code]

Le château de la Touratte existe depuis 1592[réf. souhaitée]. C'était une forteresse avec des douves. Il s'étend sur 1 300 m2 avec un jardin de 9 hectares.

Le 1er seigneur a y avoir vécu est le seigneur Armand de Buchepot qui gouverna les terres d'Epineuil et d'Orval. Cinq générations se sont succédé[38]. Le château de la Touratte a donné son nom à la fromagerie de la Touratte, car ils faisaient partie du même lieu-dit.

C'est un château fait de pierres et de briques. Il y a 30 pièces, 4 étages. Il y avait 4 tours, mais une a été en partie détruite. La plus haute tour mesure 20 m. La tour de briques est à l'emplacement de la tour la plus ancienne. Le donjon a été rénové en 1760, mais la guerre de 1870 a entraîné la fin des travaux. Sa forme actuelle date de la fin du XIXe siècle.

Il y a des gargouilles qui bordent les toitures. Il y a des armoiries au-dessus de la porte d'entrée : deux lions avec un blason. La devise est « Gare aux griffes ».

Église Saint-Martin[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin d'Arcomps est, au XIIe siècle, une chapelle dépendant du château de la Touratte. Elle devient église paroissiale vers 1710 lorsqu'elle est reconstruite et elle conservant la base étroite du clocher du XIIe siècle. Elle est couverte d'une voûte d'ogives à gros tores. Le clocher est rehaussé vers 1855, d'après les plans de l'architecte Jean-Ursin Ragon ; il ajoute également la tribune[39].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La petite mare d'Arcomps, proche de la mairie, en face du cimetière est un lieu de pêche (gardons, goujons).

L'étang communal des Fromenteaux[40] existe depuis 1983. Après un remembrement, la surface est devenue un étang, la commune a utilisé cette surface pour créer l'étang. Arcomps fait partie de la région du Boischaut Sud où il y a plusieurs étangs. Dans l'étang des Fromenteaux, on peut pêcher des poissons comme des gardons, des carpes, des brochets, des tanches. L'étang est rempoissonné une fois par an, les poissons provenant d'une pisciculture de la Brenne.

Le monument aux morts[41] est en forme d'obélisque et il mesure 3,94 m de hauteur, le socle fait 2 m de large. Il est en pierre, clôturé par un jardinet. Ses plaques sont en marbre, les écritures sont en feuille d'or. Le monument aux morts est entouré de l'église, de la mairie et du cimetière, il occupe une place centrale dans le village. Le sculpteur est l’entrepreneur Châtain de Saint-Amand-Montrond et l'inauguration a eu lieu le 14 juillet 1920. Une des plaques rend hommage aux enfants de la commune morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. La deuxième plaque affiche le discours du Général de Gaulle aux Français datant de juin 1940. Il existe un autre monument aux morts dans le cimetière. Au sommet, il y a une tête de mort. Ce monument est le plus ancien et se trouve dans le cimetière.

Un verger situé derrière l'école contient des cerisiers, des pommiers, des poiriers et des noyers. Il y a un puits recouvert d'une plaque de fer. Les élèves d'Arcomps ont créé en 2011 un potager où il y a des fraisiers, des potirons, des betteraves, des carottes, des tomates, des panais et du persil. Le verger appartient à la commune

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

La commune ne dispose pas d'équipements culturels. Les musées, cinéma et bibliothèque les plus proches se situent à Saint-Amand-Montrond.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Roger Duprat (1910-1981) : il était chaudronnier et sculpteur. Il est connu sur la commune d'Arcomps car il a sculpté la Marianne présente dans la mairie. Il a pris pour modèle une des filles de M. Goin, ancien maire d'Arcomps. Il est aussi connu pour ses créations de tracteurs[42] jusqu'au milieu des années 1960 : les capots, les ailes, les calandres et les tableaux de bord.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Insee[modifier | modifier le code]

  1. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
  2. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  3. EMP T5 - Emploi et activité.
  4. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  5. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. site mappy, itinéraire mappy
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Arcomps et Orval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Arcomps », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. Dans les archives de l'archevêché de Bourges.
  20. Ouvrage de Alphonse Buhot de Kersers.
  21. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  22. « Les maires déjà élus dans le canton », L’Écho du Berry (Édition du Cher), no 3124,‎ , p. 18.
  23. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. Récompenses fleurissement
  26. Gentilé sur le site habitants.fr. Consulté le 22/07/2008.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. DSDEN Du Cher, les écoles de la circonscription de St-Amand
  32. carte des RPI
  33. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  34. « Liste des monuments historiques de la commune d'Arcomps », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Liste des objets historiques de la commune d'Arcomps », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. « Liste des lieux et monuments de la commune d'Arcomps à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Liste des objets de la commune d'Arcomps à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. Généalogie château de la Touratte
  39. Nathalie de Buhren, Xavier Laurent (direction) et François Lauginie (photographies), Guide du patrimoine religieux du Cher : Architecture, Conseil général du Cher, Direction départementale des archives et du patrimoine, , 189 p. (ISBN 2-86018-025-7), p. 22.
  40. comice2006,étang Arcomps
  41. Monument aux morts Arcomps
  42. les tracteurs d'autrefois, les tracteurs de Roger Duprat

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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