Asséze l'Africaine
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Asséze l'Africaine est un roman de Calixthe Beyala publié en 1994
Synopsis[modifier | modifier le code]
Assèze est née en brousse en pays éton au Cameroun devenu indépendant (1961). Puis elle va chez Awano à Douala. Sorraya, fille de Awano part à Paris. Awano meurt et Asséze part aussi. Elle travaille dans un atelier de couture clandestin puis devient voyante. Elle retrouve Sorraya qui se suicide. Asséze a mal pour l'Afrique.
Distinctions[modifier | modifier le code]
- Prix Tropiques 1994
Accusations de plagiat[modifier | modifier le code]
En 1996, Calixthe Beyala est condamné pour plagiat pour son roman Le Petit Prince de Belleville. L'année suivante, dans la revue Lire, Pierre Assouline estime qu'elle a plagié deux romans dans Asséze l'Africaine[1]. En 2001, Richard Serrano prend la défense de l'autrice dans un texte intitulé Calixthe Beyala : griotte postmoderne ou plagiaire ? et s'attarde sur ce cas, indiquant notamment que Paule Constant, autrice supposément plagiée (à travers son roman White Spirit) fait partie du jury ayant remis le Prix Tropiques au roman[2].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Virginie François, « Une autrice prolifique et primée, malgré sa condamnation pour « contrefaçon » : Calixthe Beyala, l’effrontée du plagiat », Le Monde, (lire en ligne).
- Richard Serrano, Calixthe Beyala : griotte postmoderne ou plagiaire ? in Nouvelles écritures francophones : Vers un nouveau baroque ? (dir. Jean-Cléo Godin), 2001, Presses de l'Université de Montréal.
