Avenue Anatole-France (Clichy)
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| Avenue Anatole-France | ||||
 L'avenue Anatole-France au début du XXe siècle. | ||||
| Situation | ||||
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| Coordonnées | 48° 53′ 53″ nord, 2° 18′ 17″ est | |||
| Pays |  France |
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| Région | Île-de-France | |||
| Ville | Clichy | |||
| Début | Rue Henri-Barbusse | |||
| Fin | Rue des Cailloux | |||
| Morphologie | ||||
| Type | Avenue | |||
| Géolocalisation sur la carte : Paris et de la petite couronne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : France
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L,avenue Anatole-France est une voie de Clichy, dans le département des Hauts-de-Seine, en France[1].
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Elle est desservie par la station de métro Mairie de Clichy, sur la ligne 13 du métro de Paris.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Cette avenue tient son nom de l'écrivain et critique littéraire français Anatole France (1844–1924).
Historique[modifier | modifier le code]
Elle est urbanisée dans les années 1930, principalement d'immeubles résidentiels dans le style Art Déco[2].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- De 1932 à 1934, l'écrivain américain Henry Miller a vécu au no 4[3]. Il puisera dans ce séjour l'inspiration du roman Jours tranquille à Clichy[4],[5].
- Jacques Mesrine, « ennemi public n° 1 », a grandi au no 3, dans l'appartement familial[6].
- Le ferrailleur Joseph Joanovici y mourut en 1965.
- Parc Marcel-Bich[7]. Un autre de ses accès mène rue Chance-Milly.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Avenue Anatole France à Clichy », sur cartorum.fr (consulté le )
- « Richesses du patrimoine clichois. »,
- « Revisiting Henry Miller's Paris » (consulté le )
- « Les personnages célèbres », sur www.ville-clichy.fr (consulté le )
- Ambassade et consulats des Etats-Unis d’Amérique en France, « MILLER, Henry (1891-1980) »
- Patricia Tourancheau, « Bruno Mesrine, fils de Jacques, 33 ans, magicien, veut en finir avec ses fantômes. Il l'a échappé belle. », sur Libération (consulté le )
- « Parc Marcel Bich », sur OT Clichy (consulté le )
