Baby-sitter, l'horreur !

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Baby-sitter, l'horreur !
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Baby-sitter, l'horreur ! est un roman français pour la jeunesse de Fanny Joly paru pour la première fois dans le magazine Je bouquine no 134 en avril 1995 avec de nombreuses illustrations de François Avril.

Portant ensuite le no 230 dans la collection « Délires » chez Bayard, il a été édité avec une couverture signée Matthieu Blanchin (les quelques illustrations intérieures restant celle de François Avril) puis réédité avec une couverture et des illustrations intérieures de Catel.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Marion veut s'offrir un lecteur de CD mais son père lui dit qu'il faut travailler… à l'école ! Sur les conseils de son frère Charles, l'adolescente préfère chercher un emploi rémunéré. Elle passe alors une petite annonce et décroche son tout premier job, celui de baby-sitter.

Mais l'enfant qu'elle doit garder, Barnabé, lui en fait voir de toutes les couleurs.

Personnages[modifier | modifier le code]

Marion Girardon
Héroïne de l'histoire, elle rêve d'écouter des CD sur son propre lecteur[1]. Pour cela, elle doit d'abord gagner de l'argent et le baby-sitting lui semble la meilleure solution.
Camille
La meilleure amie de Marion, elle a un père producteur de disques mais n'en écoute que lorsqu'elle est avec sa camarade[2]. Elle possède un talent de dessinatrice et une grande créativité, qui lui permettent d'aider Marion à réaliser un petit livret dans lequel cette dernière vante ses mérites en tant que baby-sitter d'exception.
Barnabé
Surnommé « bébé d'amour » par sa mère, il s'agit en fait d'un petit garçon assez grand et dissipé pour rendre folle toutes celles qui acceptent de le garder.
Priscilla Plessis-Crusot
La mère de Barnabé, elle est un peu snob et totalement « overbookée ».
Patrick Plessis-Crusot
Le dauphin du maire d'Issy-les-Moulineaux, il est trop occupé pour prêter véritablement attention à la baby-sitter de son fils Barnabé.
Monsieur Lidio
Le plombier venu effectuer des travaux dans l'appartement des Plessis-Crusot, il accorde une confiance assez limitée à Marion qui a commencé par refuser de lui ouvrir.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Alors moi, jamais j'aurais rien pour écouter de la musique dans ma chambre, jamais, c'est ça ? », Bayard Jeunesse collection « Délires » no 230, page 8.
  2. « Elle n'écoute presque jamais de musique. Sauf quand je suis là. », Bayard Jeunesse collection « Délires » no 230, page 24.