Barjouville

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Barjouville
Barjouville
La mairie.
Blason de Barjouville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Benoît Delatouche
2020-2026
Code postal 28630
Code commune 28024
Démographie
Gentilé Barjouvillois
Population
municipale
1 767 hab. (2021 en augmentation de 1,84 % par rapport à 2015)
Densité 431 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 34″ nord, 1° 28′ 41″ est
Altitude Min. 126 m
Max. 157 m
Superficie 4,1 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chartres
(banlieue)
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lucé
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Barjouville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Barjouville
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir
Barjouville
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Barjouville
Liens
Site web barjouville.com

Barjouville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir de la région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La ville de Barjouville se situe au sud de l'agglomération de Chartres.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Provenant du sud par Ver-lès-Chartres, la rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, borde la ville de Barjouville à l'est, avant de couler vers le nord entre Luisant et le Coudray.

Transports et voies de communication[modifier | modifier le code]

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Barjouville est desservie par la ligne 1 du réseau de bus urbain Filibus.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 610 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Barjouville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[10] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), zones urbanisées (24,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8 %), forêts (4,7 %), prairies (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Barjouville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995 et 1999[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Barjouville.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 626 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 626 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Barjouville était appelé Berjonville au XVIIIe siècle puis, en l'an 1801, devint Barjouville[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1855 1865 Jacques René Breton   Marchand de bestiaux - Propriétaire
1865 1874 Frédéric Billard de Saint-Laumer    
1874 1918 Raoul de Saint-Laumer    
1919 1946 Marie Agricol Henry Jacques    
1946 1965 Arthur Pineau   Cultivateur
1965 1971 Jean Pailleau   Expert comptable
1971 2006 André Ouaggini   Proviseur
2006 2014 Alain Toutay    
2014 2020 Jean-François Lelarge SE Géomètre
2020 En cours Benoît Delatouche   Cadre

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La prairie de Barjouville, arrosée par l'Eure et un bel étang, fait l'objet d'un entretien différencié où les tontes ne sont réalisées que pour l'agrément des visiteurs et de façon très parcimonieuse.

La commune développe en particulier une politique soutenue de fleurissement, ce qui lui a permis d'être labellisée « Villes et villages fleuris » et d'obtenir en octobre 2021 une deuxième fleur[22].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 1 767 habitants[Note 3], en augmentation de 1,84 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
170178181183227227226235246
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
234239237221245243261251242
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
229200180190194203206247234
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2403546979751 3061 3931 5851 6121 660
2017 2021 - - - - - - -
1 7121 767-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le , les écoles ont été baptisées du nom de l'aventurier Nicolas Vanier (école maternelle) et de celui du photographe Yann Arthus-Bertrand (école élémentaire).

Sports[modifier | modifier le code]

Infrastructures sportives[modifier | modifier le code]

Gymnase de Barjouville.
  • Gymnase municipal, rue du Fort-Mahon.

Bowling[modifier | modifier le code]

Le bowling de Barjouville se situe 17 rue des Pierres Missigault (dans la Zone Commerciale).

Associations sportives[modifier | modifier le code]

Football[modifier | modifier le code]

L'Entente Barjouville/Le Coudray/Morancez est née en 2009 de la fusion de trois clubs : L'US Le Coudray, le Barjouville SCL et le FC Morancez. Le club a de nombreux effectifs en jeunes. Les différentes équipes du club évoluent sur trois différents stades : le stade Noel-Ballay de Morancez ainsi que les stades municipaux du Coudray et de Barjouville. L'équipe senior évolue aujourd'hui en 4e division de district, tandis que le palmarès récent chez les jeunes compte un titre de champion de U18 Brassage en 2015, ainsi qu'un titre de champion de 1re division U15 en 2016, et une place en finale régionale U13 à Châteauroux en 2011.

Basketball[modifier | modifier le code]
  • B.S.C.L., le club de Barjouville voit le jour en 1977 grâce à son créateur, M. Jean Lefevre. Le club est alors composé de 12 filles et garçons. En 2008-2009, l'équipe senior évolue au niveau régional 3 et décroche la montée au niveau supérieur à l'issue de la saison. Lors de cette même saison, l'équipe 2 parvient à se hisser en demi-finale de la coupe du comité[26].
  • L'équipe senior monte en national 3 à l'issue de la saison 2013-2014 et y restera 2 ans, puis redescendra finalement après la saison 2015-2016
  • L'équipe senior féminine montera elle en pré-national pour la saison 2016-2017
Divers[modifier | modifier le code]
  • B.S.C.L. : tennis, tennis de table, badminton, dance moderne jazz

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Château de Barjouville.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Barjouville[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1994)[27].
L'échauguette de la prestrière de Moineaux fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [27].

Église Saint-Jacques[modifier | modifier le code]

Une première chapelle, constituant probablement aujourd'hui le chœur, est complétée au XIIIe siècle par la nef.

Les 3 vitraux du mur du chevet datent de 1873 et sont l’œuvre des ateliers Lorin de Chartres, dirigés à cette date par leur fondateur Nicolas Lorin. Au centre se trouve Jésus, à droite saint Jacques et à gauche saint Laumer. Sur le mur sud du chœur, un vitrail inclut des fragments du XVIe siècle, représentant saint Nicolas et peut-être saint Christophe[28].

Bords de l'Eure[modifier | modifier le code]

La rive droite de l'Eure est bordée par un groupe de cyprès chauves remarquables.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de la commune de Barjouville

Les armes de la commune de Barjouville se blasonnent ainsi :
D'or à la bande d'azur chargée de trois oies d'argent, accompagnée en chef de deux coquilles du même, rangées en bande, celle du chef brochant sur l'autre, et, en pointe de trois peupliers de sinople rangés en bande.

La seigneurie de Barjouville appartenant à la famille de Trie pendant plus de soixante ans son blason (d'or à la bande d'azur) a été repris. Les oies et les peupliers font allusion à la prairie, les coquilles Saint-Jacques font référence à son église dédiée à saint Jacques de Compostelle.

Vue panoramique de "La prairie" au bord de l'étang de Barjouville.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Yves Legrand, Histoire de Barjouville, 83 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Barjouville et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Chartres », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Barjouville », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Villes et villages fleuris, « Barjouville », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Site du club de basketball ».
  27. a et b « Prestrière de Moineaux », notice no PA00132559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. [PDF] Églises ouvertes d'Eure-et-Loir, « Église Saint-Jacques de Barjouville », sur eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr (consulté le ).
  29. « Tableau Vierge à l'Enfant avec sainte Anne tenant une colombe », notice no PM28000936, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.