Benoît Gysembergh

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Benoît Gysembergh
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Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Benoît Léon Olivier Joseph Gysembergh
Nationalité
Activité
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A travaillé pour

Benoît Gysembergh est un photojournaliste et photographe de guerre français né le à Dinard et mort le dans le 18e arrondissement de Paris[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Benoît Gysembergh commence sa carrière de photographe à vingt ans en intégrant l'agence Gamma à Paris, puis Camera Press à Londres.

En 1977, il part en Éthiopie couvrir la rébellion érythréenne.

Roger Thérond l'intègre dans son équipe de photographes à Paris Match. Il y a travaillé pendant vingt-cinq ans, et a publié plus de cinq cents doubles pages dans le magazine.

En 2014, Jean-Christophe Rufin lui dédie son roman Le Collier rouge, qui est inspiré d'une anecdote qu'il lui avait racontée alors qu'ils couvraient ensemble le Printemps arabe en Jordanie[2].

Benoît Gysembergh meurt à 58 ans, le à Paris.

Publications[modifier | modifier le code]

  • La Photo en première ligne, Paris Match/Filipacchi, 2001.
  • Paris Match, 50 ans, 60 photographes.
  • Images de guerre, Les trésors des archives de Paris Match, sous la direction de Roger Thérond, photos de Daniel Camus, Jean-Pierre Pedrazzini, Michel Descamps, François Pagès, Claude Azoulay, Jean-Claude Sauer, Bernard Wis et Benoit Gysembergh,  Éditions Filipacchi, 2002.

Expositions[modifier | modifier le code]

  • 1983 : Les Doubles de Match, Galerie Canon
  • 1999 : Nicaragua, Perpignan

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. « Jean-Christophe Rufin, le bizarre incident du chien », Le Figaro,‎ (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]