Berlancourt (Oise)

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Berlancourt
Berlancourt (Oise)
Église de Berlancourt
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Joël Cottart
2020-2026
Code postal 60640
Code commune 60062
Démographie
Gentilé Berlancourtois
Population
municipale
312 hab. (2021 en diminution de 6,59 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 19″ nord, 3° 04′ 11″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 102 m
Superficie 7,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Berlancourt
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Berlancourt
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Berlancourt
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Berlancourt

Berlancourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

L'entrée du village.

Berlancourt est un village de l'Oise, limitrophe du département de la Somme, qui se situe à mi-chemin entre Noyon et Ham. Le village est traversé par la route départementale RD91 et est aisément accessible depuis l'ancienne Route nationale 32 (actuelle RD 932).

Louis Graves indiquait au milieu du XIXe siècle que « le territoire de cette commune est formé d'une plaine traversée de l'est à l'ouest par le vallon de la Verse, auquel se réunit un ravin venant du Plessis-Patte-d'Oie[1] »

L'église perchée sur les hauteurs du village.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Berlancourt
Flavy-le-Meldeux Le Plessis-Patte-d'Oie Villeselve
Fréniches Berlancourt Guiscard
Hameau de Beines
Guiscard Guiscard

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par la rivière La Verse, qui prend sa source à La Neuville-en-Beine et continue ensuite vers Guiscard.

La Verse est un affluent de l'Oise en rive droite et donc un sous-affluent de la Seine.

Afin de lutter contre les inondations de la Verse en aval, notamment à Noyon, l'établissement public Entente Oise-Aisne souhaite réaliser à Berlancourt l'un des deux bassins de retenue d'une capacité de 300000 M3 prévus par le Plan d’actions et de prévention des inondations (PAPI) de la Verse, entrainant des inquiétudes sur le risque d'inondations que cela pourrait engendrer aux abords de ces ouvrages[2],[3],[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Berlancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,7 %), prairies (7,6 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Au nord-est du territoire, le hameau de Collezy est rattaché à la commune.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 137, alors qu'il était de 130 en 2013 et de 120 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 91,5 % étaient des résidences principales, 2,8 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Berlancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,8 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Berlancourt en 2018.
Typologie Berlancourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,5 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,8 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 5,7 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 677, 678 et 6308 du réseau interurbain de l'Oise[17] ainsi que par la ligne 753 du réseau Trans'80[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été désignée comme Bertencourt; Berlancour[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Berlancourt était compris dans le marquisat de Guiscard[1].et faisait partie du baillage de Chauny, de l'élection de Noyon et de l'intendance de Soissons. La paroisse relevait du doyenné de Nesle et du diocèse de Noyon[19]. L'Abbaye Saint-Pierre de Corbie, par suite d'un échange fait avec l'Abbaye Saint-Nicolas d'Arrouaise, possédait le tiers des grosses dîmes de Berlancourt, de Flavy-le-Meldeux et de Plessis-Patte-d'Oie ; mais elle était tenue au tiers des grosses réparations à faire au chœur des églises de ces trois paroisses. Les deux autres tiers appartenaient au chapitre de la cathédrale de Noyon[19].

Au milieu du XIXe siècle, la commune disposait d'une école, d'un presbytère. Une partie de la population était occupée à la fabrication de rouennerie[C'est-à-dire ?][1].

Horaires de la ligne Noyon-Ham en 1936.

La commune a disposé de 1895 à 1955 de la gare de Plessis-Flavy-Berlancourt sur la ligne Noyon - Ham des chemins de fer départementaux de l'Oise exploitée par la compagnie des Chemins de fer de Milly à Formerie et de Noyon à Guiscard et à Lassigny

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Berlancourt est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21][réf. incomplète]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1880 1888 Charles Lhérondelle   Cultivateur
1888 1890 Alfred Ponthieux   Propriétaire exploitant
1890 1892 Nestor Legrand   Cultivateur
1892 1896 Clovis Falour    
1896 1913? Alfred Ponthieux   Propriétaire exploitant
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 1989 Jean Fontaine   Agriculteur
mars 1989 1995 Jacques Landa   Routier
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Guy Laguerre DVD[22]  
mars 2008 En cours
(au 2 décembre 2020)
Joël Cottart   Exploitant agricole
Vice-président de la CC du Pays Noyonnais (2014 → 2021)
Réélu pour le mandat 2020-2026[23],[24]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune a racheté le Bar du Village en 2017. Renommé le café La Fabrique, celui-ci est désormais exploité avec le concours de la commune, ainsi que de la chambre de commerce et d’industrie (CCI), du Pays noyonnais et du Pays de Sources et vallées, par deux gérants qui prévoient de postuler au label Bistrot de pays, et assurent également un dépôt de pain et de gaz, bureau de tabac et la vente de journaux[25],[26].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Villeselve, Golancourt et du Plessis-Patte-d’Oie dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 312 habitants[Note 3], en diminution de 6,59 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
242394458460480490464438379
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
356342343324303257258233232
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
211212216166166155147210205
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
176179156185245283301295331
2014 2019 2021 - - - - - -
334319312------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 170 hommes pour 155 femmes, soit un taux de 52,31 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
4,2 
75-89 ans
2,6 
13,8 
60-74 ans
13,2 
24,0 
45-59 ans
21,7 
19,2 
30-44 ans
23,7 
21,6 
15-29 ans
15,8 
17,4 
0-14 ans
23,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Associations[modifier | modifier le code]

La commune est animée depuis 1989 par l'association Village et Loisirs[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Martin de Berlancourt, édifiée sur un site dominant; est un vaste bâtiment de brique aux ouvertures de style roman. Le clocher en pierre flanque le côté nord de l'édifice. La partie basse du clocher semble dater du XIIe siècle. La façade est probablement d'époque médiévale, et le chœur a été remanié au XVIe ou au début du XVIIe siècle. Le bas-côté en briques et pierre date du XVIIIe siècle esud de la nef date du XIXe sièclet le mur sud de la nef, percé de grandes fenêtres en plein cintre.
    Le mobilier comporte une cuve baptismale du XIIe siècle, une grande Vierge à l’Enfant, en pierre, du XVIe siècle et une chaire ainsi qu'un baldaquin du XVIIIe siècle[34].
  • Monument aux morts, inauguré en 2003[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Berlancourt » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Berlancourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Berlancourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 37-38, sur Google Books.
  2. S.L.B., « Dans le Noyonnais, un accord pour les deux barrages sur la Verse », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Stephane Lebarber, « Dans le Noyonnais, l’eau des barrages affole le voisinage : Deux hameaux de Guiscard redoutent d’être exposés aux crues lorsque seront créés des bassins prévus pour protéger une large zone des colères de la Verse. Un paradoxe contredit par des experts », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. « Deux hameaux s’estiment « sacrifiés » pour protéger Noyon des eaux de la Verse : Ce soir, vendredi 29 octobre, s’achève l’enquête publique sur le projet de barrages à Berlancourt et Beaugies-sous-Bois, destinés à mettre à l’abri la cité de Calvin des effets de la réouverture de la rivière, en 2019, à Guiscard. Deux hameaux s’estiment mis en danger au profit des Noyonnais. Décryptage », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Berlancourt et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Transports en commun à Berlancourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. « Lignes qui desservent Berlancourt (Oise) », sur trans80.hautsdefrance.fr, (consulté le ).
  19. a et b Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 126, sur Gallica.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Archives départementales de l'Oise », pour les maires avant 1900..
  22. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 37.
  23. « Le maire de Berlancourt vise un troisième mandat », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Joël Cottart, 72 ans, a décidé de se représenter. C’est en 2008 qu’il avait été élu maire la première fois, après avoir effectué deux autres mandats de conseiller municipal ».
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. « Deux nouveaux gérants relancent le bar communal de Berlancourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire, Joël Cottart, à l’origine de l’achat public, se réjouit de cette reprise : le départ du précédent tenancier, Alexandre Godard, n’a engendré aucune fermeture provisoire. « Nous avons la volonté d’aider ces jeunes commerçants pour que ce soit une complète réussite, plaide l’élu ».
  26. « À Berlancourt, bientôt un restaurant dans les locaux communaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Stephane Lebarber, « Des panneaux solaires sur l’école de Golancourt en 2022 : L’énergie ainsi produite sera vendue au concessionnaire local pour la distribution et la fourniture d’électricité. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Berlancourt (60062) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  33. « Une association fait vivre le village de Berlancourt depuis 30 ans », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Dominique Vermand, « Berlancourt, église Saint-Martin : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  35. Laurent Gaquère, « Berlancourt inaugure son monument aux morts », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).