Bolozon

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Bolozon
Bolozon
La commune de Bolozon au bord de l'Ain.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Nantua
Intercommunalité Haut-Bugey Agglomération
Maire
Mandat
Etienne Girod
2020-2026
Code postal 01450
Code commune 01051
Démographie
Gentilé Bolozonnais
Population
municipale
95 hab. (2021 en augmentation de 6,74 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 34″ nord, 5° 28′ 22″ est
Altitude Min. 278 m
Max. 637 m
Superficie 4,91 km2
Élections
Départementales Canton de Pont-d'Ain
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Bolozon
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Bolozon
Liens
Site web bolozon.fr

Bolozon est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle se situe à 29 kilomètres de Bourg-en-Bresse et 16 kilomètres de Nantua.

Les habitants de Bolozon s'appellent les Bolozonnais et les Bolozonnaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Bolozon se situe au centre-est du département de l'Ain dans le Haut-Bugey, dans le massif du Jura. Son territoire est vallonné par les Monts Berthiand. La commune comprend deux hameaux : Daranche est celui où se trouve la gare au nord-ouest de la commune, et Grand-Cours.

La rivière d'Ain borde la commune sur une distance de huit kilomètres, mais il existe un autre petit ruisseau, appelé Sous-Bief, il traverse Bolozon pour se jeter dans l'Ain au lieu-dit le Golfe. Enfin, la source de la Serra est un petit « creux » d'un mètre carré de surface, elle coule à proximité de la route de la Serra et n'est jamais sèche.

La végétation occupe une place importante sur le territoire communal[2] puisque sur les 491 hectares de superficie, 192 le sont de bois et 198 de landes. Il y a aussi 96 hectares de prés, 3 hectares de cultures et 2 hectares de vignes.


Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 347 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ceyzériat_sapc », sur la commune de Ceyzériat à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Bolozon est située le long de la route départementale 91 qui relie Poncin à Thoirette en remontant toute la rivière d'Ain. Le fameux viaduc de Cize permet de traverser la rivière pour rejoindre le village du même nom. Enfin la route départementale 11e ou « route de la Serra » mène à Sonthonnax-la-Montagne par une petite route escarpée dans une côte difficile.

L'étroite route de la Serra.

La ligne de chemin de fer du Haut-Bugey traverse la commune d'ouest en est. Une gare de Cize-Bolozon existe dans la commune, dans le hameau de Daranche. Elle est située juste après le viaduc de Bolozon. La ligne rejoint la gare de Nurieux-Volognat en traversant trois tunnels dont les deux premiers longs de 200 et 818 mètres sont entièrement sur le territoire communal.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,4 %), prairies (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,4 %), eaux continentales[Note 1] (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %)[9].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est de forme carrée car il se situe dans la vallée dans une rupture de la chaîne du Berthiand. Deux langues prolongent ce territoire au nord-ouest et au sud-ouest. La frontière est est délimitée par l'Ain avec sur l'autre rive la commune de Cize. Au nord-ouest se trouve Corveissiat, puis Matafelon-Granges et Sonthonnax-la-Montagne du nord-est à l'est. Enfin, la frontière sud est marquée par Leyssard et Serrières-sur-Ain.

Logement[modifier | modifier le code]

Le nombre total de logements dans la commune est de 86[10]. Parmi ces logements, 46,5 % sont des résidences principales, 51,2 % sont des résidences secondaires et 2,3 % sont des logements vacants. Ces logements sont pour tous des maisons individuelles, aucun ne sont des appartements ou des logements d'un autre type. La part d'habitants propriétaires de leur logement est de 75 %[10]. Ce qui est largement supérieur à la moyenne nationale qui se monte à près de 55,3 %. En conséquence, la part de locataires est de 20 % sur l'ensemble des logements qui est inversement inférieur à la moyenne nationale qui est de 39,8 %[10]. On peut noter également que 5 % des habitants de la commune sont des personnes logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de la France le pourcentage est de 4,9 %. Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, aucun ne sont des studios, 5 % sont des logements de deux pièces, 5 % en ont trois, 45 % des logements disposent de quatre pièces, et 45 % des logements ont cinq pièces ou plus[10].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Baloson en 1299, de Bolosone en 1299[11]. Le toponyme dériverait de l'anthroponyme latin Bullius ou Bullatius[11].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Bolozon n'apparaît comme paroisse (Boulozon, Boloson) sous le vocable de saint Étienne qu'au XVIe siècle. Ancienne succursale de celle de Napt puis de Leyssard, diocèse de Lyon. L’évêque de Belley nommait à la cure. Le village dépendait de la seigneurie de Beauvoir[12]. En 1337, Étienne de Buenc reprit du fief d'Humbert V, sire de Thoire-Villars, ce qu'il possédait à Bolozon.

Le château qui existait sur le rocher de Balvay est aujourd'hui disparu. La situation dans le village était telle qu'en 1666, l'Itendant Bouchu décrivait les familles du village comme « pauvres, ruinées par les gens de guerre ». L'église de la commune fut reconstruite en 1836.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, lors du passage des Allemands dans la région, le , un groupe de maquisards détruit le viaduc. Il ne restait que les arches extérieures du passage supérieur, celles qui ne sont pas implantées dans la rivière. On ignore aujourd'hui les raisons de ce dynamitage[13]. Il fut par la suite reconstruit à l'identique.

Une tradition locale[12] veut que le village d'origine était situé plus à l'est. Mais la peste ayant anéanti toute la population sauf quatre enfants, constitués de deux garçons et deux filles, ils se sont installés dans le village actuel et ont repeuplé le village.

La situation géographique de la commune l'isolant, la construction de la voie ferrée entre Bourg-en-Bresse à La Cluse, le permit à la population un rapprochement du chef-lieu Bourg-en-Bresse.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie.

Tendances politiques[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

Référendums :

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste de l'ensemble des maires qui se sont succédé à la mairie de la commune :

Liste des maires successifs[15]
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 2014 Robert Foray    
2014 mai 2020 Guy Bardet[16]   retraité d'une entreprise publique
mai 2020 en cours Étienne Girod[17]   cadre administratif et commercial d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune n'a pas développé d'association de jumelage.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

En 2021, la commune comptait 95 habitants[Note 2], en augmentation de 6,74 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
287354389361364326325313331
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
318307286470429301274249235
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
237213197165170238160178165
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
135112849493949910091
2017 2021 - - - - - - -
8995-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,2 % la même année, alors qu'il est de 23,4 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 48 hommes pour 43 femmes, soit un taux de 52,75 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,33 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,4 
10,6 
75-89 ans
9,5 
27,7 
60-74 ans
26,2 
25,5 
45-59 ans
28,6 
12,8 
30-44 ans
11,9 
8,5 
15-29 ans
9,5 
14,9 
0-14 ans
11,9 
Pyramide des âges du département de l'Ain en 2020 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,6 
75-89 ans
15,4 
60-74 ans
16 
21 
45-59 ans
20,5 
19,8 
30-44 ans
19,7 
16,6 
15-29 ans
15,2 
20,6 
0-14 ans
19 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Auparavant, l'école était située à l'intérieur de la mairie. Une salle de classe existait dans ce bâtiment de forme rectangulaire à deux niveaux. Le logement de l'instituteur et une cour ont également existé. Le faible effectif a provoqué la fermeture de cette classe.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête patronale avait lieu le 26 décembre pour la Saint-Étienne. Boisse

Santé[modifier | modifier le code]

Les pharmacies les plus proches sont celles de Villereversure à 5,8 kilomètres et d'Izernore à 6,4 kilomètres. Il en est de même pour les services d'infirmière et pour les médecins dont un se trouve également à Corveissiat.

Sports et associations[modifier | modifier le code]

Le nombre de retraités de la commune a permis la création d'un comité d'animation rurale[24], mais également le club du 3e âge « la ruche d'or » et la société de chasse.

Médias[modifier | modifier le code]

Le journal le Progrès propose une édition locale aux communes du Haut-Bugey. Il parait du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international. La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Comme les autres communes de la région, l'agriculture a occupé une place importante dans l'activité économique de la commune, et ce jusqu'en 1950. De plus la position géographique de Bolozon, située dans une rupture du Berthiand, lui permet d'avoir un microclimat[25] et donc une culture de fruits et la vigne. Aujourd'hui deux agriculteurs sont encore présents. Un des deux est viticulteurs et produit un vin pétillant appelé « le grivois », la production bovine est également présente.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Selon l'enquête de l'INSEE en 1999[26], les revenus moyens par ménage sont de l'ordre de 10 346 euros par an, bien inférieur à la moyenne nationale est de 15 027 euros par an. Aucun foyer n'est soumis à l'impôt de solidarité sur la fortune.

Aujourd'hui, les habitants sont contraints de travailler dans les communes voisines pourvues d'entreprises.

Emploi[modifier | modifier le code]

En 1999, la population de Bolozon se répartissait à 39,4 % d'actifs, ce qui est inférieur au 45,2 % d'actifs de la moyenne nationale, 25,5 % de retraités, soit plus du quart de la population, un chiffre supérieur au 18,2 % national. On dénombrait également 21,3 % de jeunes scolarisés et 13,8 % d'autres personnes sans activité.

Le taux d'activité de la population des 20 à 59 ans de Bolozon était de 75 %, avec un taux de chômage de 10,8 %, en 1999 donc légèrement inférieur à la moyenne nationale de 12,9 % de chômeurs.

Répartition des emplois par domaine d'activité

  Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers
Bolozon 0 % 0 % 12,5 % 12,5 % 62,5 % 12,5 %
Moyenne nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 %
Sources des données : INSEE[26]

Entreprises de l'agglomération[modifier | modifier le code]

Il existe à Bolozon un bar-restaurant et un club-discothèque, mais également une gare TER dont les voies sont également empruntées par les TGV Paris-Genève.

Le hameau de Daranche possède une gare et un bar-restaurant-discothèque.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments laïques[modifier | modifier le code]

  • Le viaduc ferroviaire de Cize-Bolozon, construit en 1875 pour un coût de 339 000 FF[27], enjambe l'Ain. Il a été détruit par les maquisards en 1944, puis reconstruit en 1950. Cette reconstruction a été entièrement filmée au fil des années par le cinéaste André Périé pour la Société Centrale Cinématographique de la SNCF. Le viaduc est à deux étages, le premier utilisé par les voitures et le second par les trains. Ce viaduc de 273 mètres de long est composé de onze arcades disposées deux niveaux et d'une hauteur maximale de 73 mètres.
Le viaduc ferroviaire de Cize-Bolozon.

Monuments religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Étienne.

L'église Saint-Étienne de Bolozon qui fut reconstruite en 1836.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • La vallée de l'Ain est un site naturel dans lequel coule la rivière d'Ain. Elle marque la limite entre le Revermont et le Haut-Bugey qui sont constitués d'un relief montagneux en prolongation du massif du Jura.
Bolozon et la vallée de l'Ain.

Gastronomie[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé, sur habitants.fr
  2. J. Foray, J.-P. Pupunat, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 21 (ISBN 2-907656-29-5).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Bolozon et Ceyzériat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ceyzériat_sapc », sur la commune de Ceyzériat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ceyzériat_sapc », sur la commune de Ceyzériat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. a b c et d Données INSEE compulsées par Linternaute - Logement à Bolozon.
  11. a et b Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 676 et en 1369
  12. a et b J. Foray, J.-P. Pupunat, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 23 (ISBN 2-907656-29-5).
  13. [PDF] Memorialgenweb.org , page 2 - le dynamitage du viaduc.
  14. Les résultats de ces élections ne sont disponibles que pour l'ensemble du canton d'Izernore.
  15. « Les maires de Bolozon » (consulté le ).
  16. Répertoire national des élus (RNE) - version de juillet 2020, consulté le 3 juillet 2020
  17. « Répertoire national des élus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bolozon », (consulté le ).
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Ain (01) », (consulté le ).
  24. Les associations de la commune, sur ccmontsberthiand.com
  25. J. Foray, J.-P. Pupunat, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 22 (ISBN 2-907656-29-5).
  26. a et b Données démographiques d'après l'INSEE compulsées par linternaute.
  27. 339 000 FF équivaut à 51 680,22  actuel

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • J. Foray, J.-P. Pupunat, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 20 - 33 (ISBN 2-907656-29-5)

Article connexe[modifier | modifier le code]