Case à Chocs
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| Surnom | La Case, La Casa |
|---|---|
| Type | Salle de concerts |
| Lieu |
Neuchâtel,  Suisse |
| Coordonnées | 46° 59′ 22″ nord, 6° 55′ 18″ est |
| Inauguration | 1991 |
| Nb. de salles | 2 |
| Capacité | 750+100 |
| Statut juridique | Association |
| Structure-mère | Association de Coordination de la Case à Chocs (ACDC) |
| Site web | case-a-chocs.ch |
La Case à Chocs est une salle de concerts fondée en 1991 dans la ville de Neuchâtel, en Suisse.
Histoire et lieux[modifier | modifier le code]
Fondée en 1991[1], la Case à Chocs est le fruit du militantisme de l'Association des Musiciens Neuchâtelois revendiquant des locaux de répétitions. Elle tient son nom de son premier logis, l'ancienne chocolaterie Suchard. Depuis 1996[2], elle est installée dans l'ancienne brasserie Müller.
Le bâtiment[modifier | modifier le code]
Construite en 1862[3] sur le cours détourné du Seyon, l’ancienne brasserie est un imposant bâtiment aux allures industrielles. Elle comprend deux salles de concerts, un café-restaurant, un cinéma et 14 locaux de répétitions. Sont aussi installés dans l'ancienne brasserie : un théâtre de marionnettes, un cinéma, la menuiserie des musées de la ville de Neuchâtel et un village d'artisans.
Les lieux[modifier | modifier le code]
- La Grande Salle de concert a une capacité de 750 personnes.
- Le Queen Kong Club installé dans les anciens silos avec une capacité de 100 personnes, permet des concerts intimistes,
- l’Interlope situé dans les hauteurs du bâtiment dans l'ancien refroidissoir, jouit d’une vue panoramique sur le lac de Neuchâtel et les Alpes. Utilisé comme bar, café, restaurent, salle de conférence,
- la salle l'Eplattenier, ancien salon de dégustation de la brasserie construit en 1934. Cette salle comporte cinq peintures à l’huile réalisée par Charles L’Eplattenier (1874-1946). Cet ensemble exécutée dans le style Art Déco raconte l’histoire de la bière, deux portraits peints des fondateurs de la brasserie, ainsi qu’un vitrail pour une fenêtre[4].
Programmation[modifier | modifier le code]
Avec un programmation composée de rock, de reggae et de musiques d'improvisation, la salle a suivi les tendances des musiques actuelles s'ouvrant au hip-hop et aux musiques électroniques[5].
Accompagnement artistique[modifier | modifier le code]
La Case à Chocs soutient les artistes régionaux via plusieurs programme d'accompagnements[6],[7].
Lien externe[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- D. Bo, « Après le choc, le rock », Arcinfo, (lire en ligne
)
- « La Case à chocs », sur rts.ch, (consulté le ).
- Claire Piguet, historienne des monuments, Christian de Reynier, Diane Rodrigues et Walter Tschopp, L'ancienne Brasserie Müller à Neuchâtel, Société d'histoire de l'art en Suisse SHAS, (ISBN 978-3-03797-251-9, lire en ligne)
- « VISITE GUIDÉE EXTRAMUROS DE LA SALLE L’EPLATTENIER » , sur arthis.ch, .
- « La Case à Chocs, croqueuse de sons depuis trente ans », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « La Case à chocs lance un appel à projets aux artistes neuchâtelois », sur La Case à chocs lance un appel à projets aux artistes neuchâtelois (consulté le ).
- « Kultur Club - Canal Alpha », sur canalalpha.ch (consulté le ).
