Catigny

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Catigny
Catigny
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Valérie Opat
2020-2026
Code postal 60640
Code commune 60132
Démographie
Population
municipale
183 hab. (2021 en diminution de 4,69 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 20″ nord, 2° 56′ 20″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 87 m
Superficie 6,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives [6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Catigny
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Catigny
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Catigny
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Catigny

Catigny est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Panorama du village.

Catigny est un village rural picard du Noyonnais, dans l'Oise situé à 8 km au nord-ouest de Noyon, 50 km à l'ouest de Laon, 34 km au sud-ouest de Saint-Quentin, 26 km de Montdidier et 22 km au nord de Compiègne.

Le territoire communal est limité au sud-ouest par l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934), qui reprend le tracé d'une ancienne voie romaine, dite Chaussée Brunehaut.

Au milieu du XIXe siècle, Louis Graves indiquait que la commune « est formée d'une pleine coupée par quelques plis de terrain, à l'est d'un coteau qui s étend sur les communes voisines ; on n'y trouve pas d'eau courante[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Écuvilly Campagne Rose des vents
Candor N Bussy
O    Catigny    E
S
Lagny Sermaize

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Catigny est drainé par la Mève, un affluent de la Verse et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

Il est traversé par le Canal du Nord.

La réalisation d'un port flucial sur le canal est prévu vers 2029 sur Sermaize er Catigny dans le cadre de la réalisation du canal Seine-Nord Europe[2],[3],[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 20 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Catigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,8 %), prairies (4,2 %), zones urbanisées (3,8 %), forêts (2,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 87, alors qu'il était de 82 en 2013 et de 77 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 94,3 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Catigny en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Catigny en 2018.
Typologie Catigny[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 94,3 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 5,7 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 679, 680 et 6308 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été dénommée Cattigny, Cartigny, Guarteigny, Catigni, Cattigni, Catiny, Catheni et Catheny[1].

Cette dénomination provient sans doute de Catiniacum, de Catinius et suffixe -acum, "domaine de Catinius"[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'ancienne gare.

Louis Graves indiquait en 1850 que « l'église de Catigny qui était paroissiale, sous le titre de Saint-Martin, fut donnée en 1110 au chapitre de la cathédrale par Baudry, célèbre évêque de Noyon ; elle n'est plus que simple succursale[1] ».

Sous l'Ancien Régime, Catigny dépendait de la seigneurie de Beaulieu[1].

La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe fugacement celle de Campagne, entre 1828 et 1832[19].

En 1850, la commune était propriétaire d'une école et de quelques pâtures. La population était essentiellement occupée par les travaux agricoles, mais quelques ouvriers y fabriquaient du calicot[1].

Le village a été desservi par la ligne de Bussy à Ercheu, un chemin de fer secondaire du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. L'impasse de la gare rappelle aujourd'hui encore cette desserte ferroviaire qui a fonctionné de 1897 à 1953 et permettait de relier Noyon à Albert. L'emprise de la voie est occupée par des pavillons.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Guiscard[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton de Noyon.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, créée en 1994.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Claude Bourlon    
mars 2008 2014[20] Bernard Bore    
2014[20] mars 2017[21],[22] Alexandre Cavé UMP
puis FN[23]
Agriculteur
Décédé en fonction
2017 juillet 2020[24] Marie-Claire Aubert    
juillet 2020[25] En cours
(au 2 décembre 2021)
Valerie Opat LR[26] Vice-présidente de la CC du Pays Noyonnais (2020 → )

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Bussy, Sermaize, Campagne, Genvry et Beaurains-les-Noyon par un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) formé en 2021 par le regroupements de deux anciens syndicats, permettant d'offrir des services de cantine et d’accueil périscolaire à certaines communes qui en étaient jusqu'alors dépourvues et se protéger d’éventuelles fermetures de classes, les écoles de Sermaize et de Beaurains n’accueillant auparavant que 13 élèves chacune[27],[28].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 183 habitants[Note 3], en diminution de 4,69 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
288335370334502316327314305
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
299314285291280259228211207
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
199230266146161158162167169
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
186193181191199182192195197
2018 2021 - - - - - - -
191183-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 97 hommes pour 94 femmes, soit un taux de 50,79 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
0,0 
5,2 
75-89 ans
11,7 
17,5 
60-74 ans
16,0 
23,7 
45-59 ans
20,2 
17,5 
30-44 ans
19,1 
13,4 
15-29 ans
16,0 
21,6 
0-14 ans
17,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Martin, du XIXe siècle mais dont le chœur à chevet plat est celui de l'édifice antérieur qui semble dater du XIIIe siècle[34]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Catigny » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Catigny - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Catigny - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 39-40, sur Google Books.
  2. « Les habitants rejettent le port fluvial », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Selon les élus du village opposés au projet lors d'une récente délibération, le port et sa plate-forme auraient un impact négatif sur ce territoire essentiellement agricole ».
  3. « Le port fluvial de Catigny plébiscité », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'Etat, dernier décideur, aura du mal à faire fi de la volonté des élus du Noyonnais. Ceux-ci viennent de donner leur préférence pour le site du port fluvial à Catigny. Un choix qui évince le site numéro deux, celui de Porquéricourt-Sermaize-Lagny, et le numéro trois, celui de Beaurains-lès-Noyon - Porquéricourt, aujourd'hui encore préféré par le député (UMP) François-Michel Gonnot ».
  4. Stephane Lebarber, « Enfin des plans définitifs pour le futur port de Noyon : Seize années d’effets d’annonce sur la superficie du projet de plateforme et le nombre d’emplois générés s’achèvent : les plans définitifs, au bord du futur canal Seine-Nord, ont cette fois été entérinés », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Catigny et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Transports en commun à Catigny », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France.
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. a et b « De nouvelles élections à Catigny », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une seule liste avait été montée, avant le scrutin de mars 2014. Lors de la séance dédiée à l’élection du maire, quelques jours plus tard, les débats avaient été houleux : Alexandre Cavé avait été élu par six voix contre cinq, face à l’édile précédent, Bernard Boré ».
  21. Alexis Bisson, « Catigny : le Front national pleure « le patriote » Alexandre Cavé », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « Suppléant de Michel Guiniot, le conseiller départemental (FN) du canton de Noyon-Guiscard, Alexandre Cavé, élu maire en 2014 sous l’étiquette UMP, avait rejoint le parti frontiste début 2015. Il avait alors claqué la porte du parti dirigé par Nicolas Sarkozy dans des conditions tumultueuses ».
  22. « Oise: Alexandre Cavé, maire Front national de Catigny, s'est donné la mort », France Soir,‎ (lire en ligne) « Il avait été poussé vers la sortie, avec fracas, du parti de droite en 2015, avant de rejoindre le FN, et était devenu le suppléant de Michel Guiniot, conseiller départemental frontiste du canton de Noyon. ».
  23. « Communiqué de Presse du Front National », sur frontnational.com, (consulté le ).
  24. « Catigny 60640 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  25. Fanny Dollé, « Sandrine Dauchelle prend la tête du Pays Noyonnais : La maire de Noyon a encore battu d’une courte tête (dix voix d’écart) son seul adversaire déclaré, Patrick Deguise. Sandrine Dauchelle veut composer avec les élus ruraux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Départementales. Duo Pommier/Opat à Noyon et Leblanc à Méru pour les Républicains : La majorité a choisi ses deux candidats pour le canton de Noyon. Le LR a désigné Bruno Pommier, premier adjoint à la mairie de Noyon, et Valérie Opat, maire de Catigny. A Méru, il y aura notamment Frédérique Leblanc », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Stéphane Lebarber, « Dans le Noyonnais, le pari d’un mariage entre villages pour éviter les fermetures de classes : Six villages ont proposé la fusion de leurs regroupements scolaires pour que la présence des enfants profite à tous. La classe unique de l’école élémentaire de Catigny et la maternelle de Sermaize comptent respectivement 11 et 13 élèves », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Stéphane Lebarber, « Dans six villages du Noyonnais, le regroupement scolaire XXL leur fait gagner des élèves : Le regroupement scolaire en vigueur depuis la rentrée de septembre fait déjà ses preuves, grâce notamment aux services de cantine et d’accueil périscolaire proposés dans certains villages qui en étaient auparavant privé », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Catigny (60132) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  34. Dominique Vermand, « Catigny, église Saint-Martin : Diocèse : », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).