Châteauvilain

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Châteauvilain
Châteauvilain
Le bourg central de Châteauvilain
(mairie et monument aux morts).
Blason de Châteauvilain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté d'agglomération Porte de l'Isère
Maire
Mandat
Daniel Gaude
2020-2026
Code postal 38300
Code commune 38091
Démographie
Population
municipale
747 hab. (2021 en augmentation de 6,56 % par rapport à 2015)
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 31′ 03″ nord, 5° 19′ 51″ est
Altitude Min. 345 m
Max. 644 m
Superficie 8,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourgoin-Jallieu
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Châteauvilain
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Châteauvilain
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Châteauvilain
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Châteauvilain
Liens
Site web http://www.chateauvilain38.fr/

Châteauvilain est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Située dans la petite région du Nord-Isère, la commune est adhérente à la communauté d'agglomération Porte de l'Isère dont le siège est fixé à L'Isle-d'Abeau. Ses habitants sont dénommés les Castelvillanois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan du territoire de Châteauvilan et des communes voisines

Situation et description[modifier | modifier le code]

Châteauvilain est situé dans la région naturelle des Terres froides, non loin de l'agglomération Berjalienne située plus au nord. L'ouest de la commune, héberge l'espace naturel protégé de Combe Vieille[2].

Le centre-ville (bourg de Châteauvilain) se situe (par la route) à 52 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et à 57 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, ainsi qu'à 315 km de Marseille et 521 km de Paris[3].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Les moraines des glaciers de l'époque quaternaire déposées sur un bloc molassique ont donné à cette partie au nord-ouest du département de l'Isère un pays de collines ondulées appelées Terres Froides[4]. Certains spécialistes centrent cet ensemble molassique au sud du territoire de Châteauvilain.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Les Éparres Succieu Rose des vents
N
O    Châteauvilain    E
S
Eclose-Badinières Biol

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Agny à la Combe de Châteauvilain

L'Agny, d'une longueur de 17,1 km borde la partie occidentale du territoire de la commune[5]. Son affluent, le ruisseau des collines, d'une longueur de 2 km, borde la partie orientale[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 114 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu à 9 km à vol d'oiseau[9], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,0 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Entrée de Châteauvilain par la route de Nivolas-Vermelle

Le territoire communal est traversé par une seule route départementale, la RD520 qui correspond à l'ancien tracé de la RN520 qui autrefois reliait la ville de Bourgoin-Jallieu par Les Éparres à la commune des Échelles en Savoie. Cette route a été déclassée lors de la réforme de 1972.

La route départementale 1085 (RD1085) qui correspond à l'ancienne RN 85, reclassé en route départementale longe le territoire de la commune dans sa partie occidentale, en limite avec la commune des Éparres.

La RD56a relie le bourg de Châteauvilain au bourg d'Eclose (commune d'Eclose-Badinières).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Châteauvilain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), forêts (21,4 %), prairies (13 %), zones agricoles hétérogènes (12,6 %), zones urbanisées (5,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Châteauvilain est une commune à l'aspect encore très rural dont le bourg et l'ensemble des hameaux sont essentiellement constitués de maisons rurales, de villas résidentielles de constructions récentes et d'anciens corps de fermes souvent réaménagés en maisons résidentielles.

Hameaux, Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Châteauvilain, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[19].

  • Les Tourtes
  • Combe Noire
  • Buisson Bron
  • La Combe
  • La Boille
  • Les Brons
  • Combe Vieille
  • Bouvant
  • Chavaux
  • Le Fayeu
  • Les Bruyères
  • L'Étang
  • Jouffray
  • Franchisson
  • Bouchardière
  • Les Vesves
  • Les Combes
  • Les Rivaux
  • Les Armabets
  • Le Sibuet
  • Chambaburland
  • Munifex
  • Chatinet
  • Maison Chavrot

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

La gestion du service du réseau d'eau potable et l'assainissement de Châteauvilain sont gérés par la communauté de communes.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Châteauvilain est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[20].

Terminologie des zones sismiques[21]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponyme[modifier | modifier le code]

On trouve le nom latin « castrum vilanum » au XIIIe siècle. Entre 1790 et 1801 la commune s'appela Châteauvilain-Quinsonnas, du nom d'un hameau aujourd'hui rattaché à la commune voisine de Sérézin-de-la-Tour.

Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Châteauvilain pourrait dériver d'une altération du terme Villard qui désigne un « village ». Châteauvilain signifierait donc « Château du village »[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Monument aux morts de Chateauvilain en juillet 2019
Entrée des gendarmes dans l'usine de la combe de Châteauvilain
(Numéro de l'Isère illustrée)

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Le secteur actuel de la commune de Châteauvilain se situe à l'ouest du territoire antique des Allobroges, ensemble de tribus gauloises occupant l'ancienne Savoie, ainsi que la partie du Dauphiné, située au nord de la rivière Isère.

Moyen Âge et Temps Modernes[modifier | modifier le code]

Jusqu’à la fin du XIIIe siècle, Châteauvillain fait partie des terres de la Baronnie de La Tour du Pin qui recouvrent très approximativement les cantons actuels de Crémieu, Bourgoin-Jallieu et La Tour du Pin[23].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Petit village de moins de 800 habitants et situé à l'écart des grandes agglomérations, Châteauvilain fut pourtant le théâtre de plusieurs drames espacés d'un siècle dans le temps mais survenus dans le même secteur du village.

L'affaire de Châteauvilain[modifier | modifier le code]

L'usine de la Combe est située en limite du territoire communal, non loin du territoire de la commune des Eparres, au hameau de La Combe. Il s'agit d'une usine-pensionnat (le personnel travaille et vit habite place) qui fournit de l'emploi à près de 350 ouvrières appartenant aux frères Giraud, qui habitent Lyon[24].

L'entreprise abrite une chapelle construite en 1843, lors de l'achat de l'usine, puis déplacée dans le bâtiment principal en 1885 et ce bâtiment à usage religieux est point de départ de l'affaire liée à une rivalité entre le maire Douillet, républicain, et le curé Guillaud, oncle du directeur et soutenu par les patrons de l'usine. Le préfet prend un arrêté le pour faire fermer définitivement la chapelle, car celle-ci est considérée comme un lieu de culte non autorisé par le gouvernement de la république française qui défend la laïcité.

Afin de faire appliquer sa décision, le préfet fait appel à la force publique, soit un peloton de gendarmerie qui intervient sur le site. Une grande confusion entre les forces de l'ordre d'une part et une partie des membres du personnel venus défendre la chapelle s'ensuit et entraînera la mort d'une ouvrière dénommée Henriette Bonnevie, tuée par un tir effectué par un membre de la gendarmerie[25]

Le drame de la Combe des Éparres[modifier | modifier le code]

Une descente routière très abrupte sur la route de Bourgoin à Grenoble et qui se termine sur le pont franchissant l'Agny, correspondant à la limite du territoire communal avec celui des Éparres, a connu un drame évoqué dans de nombreux médias locaux et nationaux. Le , un chauffeur de camion perd le contrôle de son véhicule dans la descente de cette rampe dite de « La Combe ». Le véhicule prend immédiatement feu après avoir heurté d'autres véhicules à l'arrêt. Le bilan définitif constaté après l'intervention des pompiers est de dix morts et six blessés[26].

Le drame de la ferme Nurdin[modifier | modifier le code]

Le 27 novembre 2023 au soit, les pompiers de Bourgoin-Jallieu ont dû intervenir pour mettre un terme à l’incendie d’une maison, dans laquelle deux corps ont été retrouvés. Il s’agit couple Nurdin, un couple âgé d’une cinquantaine d’années environ, qui habitait la commune depuis à peu près quinze ans. Cet incendie est lié à un acte criminel, ces personnes ayant été préalablement blessés par arme à feu et leur voiture ayant disparue[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Chateauvilain en juillet 2019

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Voici, ci dessous, la liste des maires depuis la fin de la Première guerre mondiale[28] :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1919 1925 Alphonse Piraud    
1925 1934 Joseph Janin    
1934 1935 Emile Bron    
1935 1938 Eugène Girard    
1938 1939 Jean-François Garnier    
1939 1944 Auguste Douillet    
1944 1945 Pierre Garnier    
1945 1953 Auguste Douillet    
1953 1984 Pierre Garnier    
1984 2001 Gérard Garnier    
mars 2001 En cours Daniel Gaude SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Élections locales[modifier | modifier le code]

Élections nationales[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 747 habitants[Note 3], en augmentation de 6,56 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
457535553575685688692734658
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
595626628586584546577554509
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
520524470445438399368372373
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
354365355429438483587645711
2021 - - - - - - - -
747--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble (Zone A)

Équipements sportifs et culturels[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

Église de Châteauvilain

La communauté catholique de Châteauvilain est desservie par la paroisse Saint-François d'Assise qui recouvre vingt communes et vingt-trois églises. La paroisse est organisée en sept relais, celle de Châteauvilain porte le nom d'Agny‐Terres Froides, rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[33].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Secteurs économiques[modifier | modifier le code]

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Cimetière communal[modifier | modifier le code]

Cénotaphe d’Henriette Bonnevie en juillet 2019
Il s'agit de la tombe d'une ouvrière de l’usine-pensionnat Giraud qui fut tuée lors des affrontements entre les employés et les forces de l’ordre venues pour fermer la chapelle non autorisée de l’usine à la fin du XIXe siècle. Érigée en victime des persécutions, une souscription est lancée à sa mémoire qui permettra de faire réaliser ce cénotaphe d'une valeur artistique jugée suffisante pour que le monument soit classé dans la base Patrimoine Isère[34]

Autres monuments et sites[modifier | modifier le code]

  • L'ancien lavoir situé dans le hameau de La Combe
  • L'ancienne conciergerie
  • L'église paroissiale Saint-Martin de Châteauvilain

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jules Fischer, directeur de l'usine textile de Chateauvilain, employant près de 350 ouvrières en 1886.
  • Henriette Bonnevie, ouvrière de la même usine et tuée lors d'une opération de gendarmerie et enterrée dans le cimetière communal.
Ils sont tous les deux, protagonistes de « l'affaire de Chateauvilain » (voir chapitre : Histoire).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Châteauvilain Blason
Écartelé en 1) de gueules à trois fleurs lys d'argent ; en 2) d'argent à une ombre de tête de chèvre ; en 3) d'argent à une tour en bois au naturel ; et en 4) d'azur à un dauphin d'argent[35].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 5 juillet 2019
  2. Châteauvilain, www.ipa38.fr (consulté le 23 décembre 2015)
  3. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  4. Jean-Paul Bravard, « Le coteau de Saint-Savin et Saint-Chef, « Terres Froides » du Bas-Dauphiné. Pour la délimitation et la préservation d'unités paysagères remarquables », Revue de géographie de Lyon, vol. 56, no 4,‎ , p. 411–421 (DOI 10.3406/geoca.1981.3962, lire en ligne, consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - l'Agny (V1730500) » (consulté le ).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau (V1730620) ».
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Châteauvilain et Bourgoin-Jallieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Site géoportail, page des cartes IGN
  20. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  21. [1]
  22. André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 35
  23. Site de la mairie de Chateauvilan, page Histoire, consulté le 06 juillet 2019
  24. Jérôme Rojon, L’industrialisation du Bas-Dauphiné : le cas du textile (fin XVIIIe siècle à 1914), Université Lumière-Lyon 2, (lire en ligne), « La gestion du personnel »
    Thèse de doctorat en histoire des sciences sociales
    .
  25. « Cléricaux et anticléricaux : l'affaire de Châteauvillain », L'Histoire, no 112,‎ (lire en ligne).
  26. le dauphiné-libéré, article "Le 7 janvier 1993, un camion fou perdait le contrôle dans la rampe de La Combe, consulte le 6 juillet 2019
  27. Site atlantico.fr, article "Châteauvillain : ce qu’il faut savoir du drame qui secoue l’Isère".
  28. Site chateauvilain38.fr, liste des maires de la commune.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Site de la paroisse Saint-François d'Assise.
  34. Isère patrimoine, Le cénotaphe d’Henriette Bonnevie, consulté le 6 juillet 2019
  35. Site sur la commune de Châteauvilain.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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