Champignelles

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Champignelles
Champignelles
Entrée de Champignelles par la route de Malicorne.
Blason de Champignelles
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes de Puisaye-Forterre
Maire
Mandat
Éric Pauron
2020-2026
Code postal 89350
Code commune 89073
Démographie
Population
municipale
899 hab. (2021 en diminution de 13,72 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 46′ 47″ nord, 3° 04′ 23″ est
Altitude Min. 154 m
Max. 224 m
Superficie 53,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cœur de Puisaye
Législatives Première circonscription
Localisation
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Champignelles
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Champignelles

Champignelles est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté (anciennement région Bourgogne), limitrophe du département du Loiret.

Géographie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La source du ru du Cuivre, affluent de l'Ouanne, se trouve dans le sud-ouest de la commune (près du Chêne de la Danse). Il coule vers le nord et passe à l'ouest du bourg.

Le Beaune, affluent du Loing, fait un rapide passage dans le sud de la commune par le Grand Étang Neuf.

L'Agréau, affluent du Branlin, traverse la commune du sud au nord. Il entre dans la commune au Grand Villars, passe par les Vigreux, la source de la Fontaine Saint-Michel, contourne le vieux bourg de Champignelles par l'ouest (au pied de la butte, arrose la Ravine, le Petit Moulin, la Saronnerie, et sort de la commune au pied du château d'Asnières.

Le Branlin entre sur la commune près du leu-dit le Marteau, reçoit son affluent le ru de Louesme 300 m après le gué de la Forge, puis un autre affluent plus petit venant de l'étang d'Annebaude, avant de passer sur la commune de Malicorne.

La commune est donc sillonnée par quatre cours d'eau et deux de leurs affluents, à quoi s'ajoutent de nombreuses sources et quantité de mares, étangs et zones humides. Le Grand Etang Neuf sur le Beaune a plus de 7 ha sur Champignelles (et plus de 1 ha sur Champcevrais). L'étang d'Annebaude, deuxième plus grand étang de la commune, couvre environ 4,7 ha.

Hameaux[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grandchamp_sapc », sur la commune de Charny Orée de Puisaye à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 758,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champignelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,7 %), forêts (20,6 %), prairies (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), zones urbanisées (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

XIe siècle[modifier | modifier le code]

Champignelles est cité dans une liste d'églises[14] datée du XIe s[15],ajoutée au Liber Sacramentorum de Sens[Note 3]. Il s’agit d’une liste de 145 églises, paroisses ou prieurés appartenant à l’archidiaconé de Sens[Note 4], qu’un scribe écrivit au verso des feuillets 3 et 4 d’un sacramentaire à l’usage de l’Eglise de Sens.

Campignol (Champignelles) apparaît plus précisément parmi les quarante-neuf églises composant le Ministerium confié à cette époque au prêtre Frédéraire, couvrant notamment le futur doyenné de Courtenay. Sont également citées, entre autres, les églises de Domnum Martinum (Saint-Martin-sur-Ouanne), Tanotram (Tannerre) et Grandem Campum (Grandchamp), mais ni Charny, ni Malicorne ne semblent avoir d’église à cette époque.

La paroisse de Champignelles dépendait dans l’ancienne France du doyenné de Courtenay, l’un des cinq doyennés de l’archidiaconé de Sens, lui-même l’un des cinq archidiaconés de l’archidiocèse de Sens. Ce doyenné de Courtenay comprenait au sud ouest Charny, Fontenouilles, Marchais-Beton, Chambeugle, Champignelles et Champcevrais. À l’ouest, les paroisses de Dicy, Douchy, Melleroy, Chêne-Arnoult, Saint-Maurice sur Lavéron, Aillant-sur-Milleron et Rogny appartenaient au doyenné de Ferrières de l’archidiaconé du Gâtinais.

Une période sombre pour Champignelles : 1348 -1360[modifier | modifier le code]

Après la peste noire qui sévit en 1349 tuant environ le tiers de la population française, c'est au tour du capitaine anglais Robert Knolles, depuis la forteresse voisine de Malicorne, de ravager la région entre 1358 et 1360. Il dévaste Champignelles, maltraite et rançonne la population. Il faudra plusieurs générations avant que la région se repeuple.

Trace émouvante des exactions de Robert Knowles et de ses comparses, une lettre de rémission est accordée en mars 1368 par le Dauphin (futur Charles V) aux habitants de Saint-Martin-sur-Ouanne et de Champignelles :

« Savoir faisons que comme nos ennemis ont naguère pris et tiennent le châtel de Malicorne-sur-Ouanne et pillent, brûlent, rançonnent, détruisent tout le pays, mettent à mort et prennent prisonniers tous les hommes et ravissent et déshonorent toutes les femmes qu’ils peuvent trouver […] pour ce […] les habitants […] se sont rançonnés à ces ennemis sans notre licence […] et pour ce notre amé Bérard de Bellegarde a fait brûler plusieurs desdites villes en tout ou parti et pillé et pris les biens desdits habitants et avec ce a pris ou fait prendre quelques-uns desdits habitants […] et veut les rançonner […] »

Le Dauphin leur fit grâce, ordonne la mise en liberté des prisonniers et la restitution du butin et des rançons déjà perçues[16].

Les seigneurs de Champignelles[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
mars 2008 En cours Jacques Gilet DVD Retraité agricole

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 899 habitants[Note 5], en diminution de 13,72 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1341 1631 1591 2701 3301 3881 3721 5461 546
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5481 5661 5701 5411 5211 4941 5051 4161 413
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3341 2961 3601 1981 2201 1721 1191 0681 066
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9831 0201 1151 1601 0861 1311 0821 0661 042
2014 2019 2021 - - - - - -
1 042920899------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église Sainte Colombe
Le Tigre
par Paul Welsch.
Statue à la fenêtre du presbytère, regardant le Tigre de Welsch.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Événements[modifier | modifier le code]

Chaque été, depuis 2003, Champignelles est le centre névralgique des Estivales en Puisaye-Forterre, festival de musique classique qui se déroule dans la deuxième quinzaine d'août à travers une quinzaine de communes de la Puisaye, dans l'Yonne, la Nièvre et le Loiret. Une représentation originale d'une opérette ou d'un opéra est chaque année créée à Champignelles par la troupe des Estivales.

Les « Rencontres de Champignelles » sont une manifestation annuelle organisée pour permettre aux maires et à leurs adjoints de se réunir afin de parler des problèmes spécifiques à leur fonction et pour mettre en commun leur expérience d'élus locaux. Les XXIe rencontres de Champignelles, en octobre 2010, ont réuni près de 150 maires et adjoints de Puisaye.

Loisirs[modifier | modifier le code]

Le petit train de Champignelles a été créé par un groupe de passionnés qui a reconstitué un réseau ferroviaire en modèle réduit à l'échelle 1/3 sur de voies de 40 cm. Il promène les visiteurs dans les wagons spécialement conçus, sur un circuit de 1 km[24],[25].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune inclut deux ZNIEFF :

La ZNIEFF des étangs, bocages, landes et forêts de Puisaye entre Loing et Branlin, 11 699 ha répartis sur 12 communes[26], et vise particulièrement les habitats d'eaux douces stagnantes ; les autres habitats présents dans cette ZNIEFF sont des eaux courantes, landes, fruticées, pelouses, prairies humides et mégaphorbiaies, tourbières, marais, bocages et bois[27].
Sur Champignelles elle couvre la pointe sud-ouest de la commune attenante à celles de Bléneau, Saint-Privé et Champcevrais, soit environ 100 ha au sud de la D 207 qui incluent la partie sud du Grand Etang Neuf, et les lieux-dits les Roches et le Petit Étang.
Inondations saisonnières
du Branlin et de l'Agréau.
La ZNIEFF de la vallée du Branlin de Saints à Malicorne, totalisant 2464 ha répartis sur huit communes[28]. Elle vise les habitats d'eaux courantes (milieu déterminant); on y trouve aussi des tourbières, marais, prairies humides et mégaphorbiaies, cultures et bocages[29].
Sur la commune elle couvre, comme son nom l'indique, la vallée du Branlin et une partie de ses coteaux voire leur hauteur complète. La photo ci-contre montre les inondations saisonnières de la vallée, ici en février, au nord de Champignelles juste avant la confluence de l'Agréau (en arrière-plan derrière les arbres) avec le Branlin en avant-plan).

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Attribuée tout d’abord au IXe s., information qui est souvent reprise à tort, cette liste, grâce aux travaux de Léopold Delisle, est datée du XIe s.
  4. Cet archidiaconé recouvrait l’ancien pagus senonensis, l’une des cinq divisions territoriales de la civitas des Sénons, civitas qui formait l’assiette de l’archidiocèse de Sens jusqu’à la Révolution.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Champignelles et Charny Orée de Puisaye », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Grandchamp_sapc », sur la commune de Charny Orée de Puisaye - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Grandchamp_sapc », sur la commune de Charny Orée de Puisaye - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Geffroy, A. (Auguste Mathieu), 1820-1895, Notices et extraits des manuscrits concernant l'histoire ou la littérature de la France, qui sont conservés dans les bibliothèques ou archives de Suède, Danemark et Norvège, Paris, Imprimerie impériale, (lire en ligne), p; 71-72.
  15. Auguste Longnon, Pouillés de la province de Sens, Paris, C. Klincksieck, .
  16. Ambroise Challe,, « La Puisaye et le Gâtinais dans le département de l’Yonne », Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne,‎ , p.141.
  17. a b c d e f g h et i Alice Saunier-Seïté, de l'Institut, Les Courtenay, destin d'une illustre famille bourguignonne, Paris, France-Empire, , 250 p. (ISBN 2-7048-0845-7), p. 211 et s..
  18. Bouchet, Ex Continuatore Aimoni Monachi Floriacensis, Lib. V, Cap. LI (1661), p. 79. Cité dans Seigneurs de Champignelles (Capétiens).
  19. a b c d e f g et h P.-G. Foucault, « La seigneurie de Champignelles », Bulletin de la société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Auxerre,‎ année ?, p. 179 et s..
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Site de l'association du petit train de Champignelles.
  25. Le petit train de Champignelles, présentation de l'association sur le site de l'Agence de Développement Touristique de l'Yonne en Bourgogne.
  26. Les communes concernées par la ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental sont : Bléneau, Champcevrais, Champignelles, Mézilles, Moutiers-en-Puisaye, Saint-Fargeau, Saint-Martin-des-Champs, Saint-Privé, Saints, Saint-Sauveur-en-Puisaye, Tannerre-en-Puisaye, Villeneuve-les-Genêts.
  27. ZNIEFF 260014941 - Étangs, bocages, landes et forêts de Puisaye entre Loing et Branlin sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN.. Cette ZNIEFF rassemble plusieurs sites de mêmes caractéristiques, et nombre de ces sites s'étendent sur des parties de plusieurs communes.
  28. Les 8 communes concernées par la ZNIEFF de la vallée du Branlin de Saints à Malicorne sont : Champignelles, Fontaines, Malicorne, Mézilles, Saints, Saint-Sauveur-en-Puisaye, Tannerre-en-Puisaye et Villeneuve-les-Genêts.
  29. ZNIEFF 260014938 - Vallée du Branlin de Saints à Malicorne sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..