Chemin du Ramelet-Moundi

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Chemin du Ramelet-Moundi
Image illustrative de l’article Chemin du Ramelet-Moundi
Le chemin du Ramelet-Moundi près de la maison de la Cloche.
Situation
Coordonnées 43° 35′ 01″ nord, 1° 22′ 45″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Métropole Toulouse Métropole
Ville Toulouse
Secteur(s) 6 - Ouest
Quartier(s) Lardenne
Début no 1 chemin Savit et no 21 chemin de la Fronde
Fin no 121 chemin du Ramelet-Moundi - Tournefeuille
Morphologie
Route D 50 (jusqu'en 2017)
M 50 (depuis 2017)
Longueur 3 041 m
Largeur entre 9 et 12 m
Transports
Liste des lignes de bus de Toulouse​​​​​​​​​​​​​​​ Bus 4667
Odonymie
Anciens noms Chemin de Larramet (XVe – XVIIIe siècles)
Chemin de Maniban (XVIIIe siècle)
Chemin de Plaisance (1806-1878)
Chemin des Vitarelles (1878-1947)
Nom actuel 12 avril 1947
Nom occitan Camin del Ramelet Mondi
Histoire et patrimoine
Création avant le XVe siècle
Notice
Archives 315555718431
Géolocalisation sur la carte : Toulouse
(Voir situation sur carte : Toulouse)
Chemin du Ramelet-Moundi
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Chemin du Ramelet-Moundi

Le chemin du Ramelet-Moundi (en occitan : camin del Ramelet Mondi) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Le chemin du Ramelet-Moundi est une voie publique. Il traverse le quartier de Lardenne, dans le secteur 6 - Ouest.

Le chemin du Ramelet-Moundi correspond à l'ancien chemin vicinal no 64[1]. Il est absorbé, au cours du XIXe siècle, par la route départementale no 50, qui va du carrefour de Lardenne, à Toulouse, où elle rejoint la route nationale no 632 (actuelle avenue de Lardenne), jusqu'à Plaisance-du-Touch, où elle rejoint la route départementale no 42 (actuelle rue du Docteur-Armaing) avant de franchir le Touch. En 2017, la gestion de la route est transférée à Toulouse Métropole sur la partie qui en traverse le territoire et elle est devenue la route métropolitaine no 50[2].

La chaussée compte une voie de circulation automobile dans chaque sens. Il n'existe pas d'aménagement cyclable.

Voies rencontrées[modifier | modifier le code]

Le chemin du Ramelet-Moundi rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :

  1. Chemin de la Fronde (g)
  2. Chemin Savit (d)
  3. Rond-point Louis-Destrem
  4. Rue du Châtaigniers (d)
  5. Avenue Pierre-Molette (d)
  6. Rue Jacques-Cartier (d)
  7. Chemin de Bordeblanche (g)
  8. Chemin de Catala (d)
  9. Chemin du Marin (g)
  10. Chemin de Corneillan (g)
  11. Rond-point Maurice-Ribis
  12. Allée de N'Djamena (g)
  13. Allée du Docteur-Ludwik-Lejzer-Zamenhof (d)
  14. Rue des Ardennes (d)
  15. Impasse Jean-Etchepare (g)
  16. Chemin de Gaillardie (g)
  17. Chemin de Ferro-Lébrès (d)
  18. Rue de la Catalogne - Tournefeuille (d)
  19. Rue de la Sardane - Tournefeuille (d)
  20. Avenue du Docteur-Maurice-Grynfogel (g)
  21. Impasse Pirac - Tournefeuille (d)
  22. Chemin du Ramelet-Moundi - Tournefeuille

Transports[modifier | modifier le code]

Le chemin du Ramelet-Moundi est parcouru et desservi sur presque tout son parcours, entre l'allée des Vitarelles et le chemin de Gaillardie, puis entre l'avenue du Docteur-Maurice-Grynfogel et Tournefeuille, par la ligne de bus 67. Dans sa première partie, entre le chemin de Bordeblanche et l'allée du Docteur-Ludwik-Lejzer-Zamenhof, il est également desservi par la ligne de bus 46. Il se trouve en revanche éloigné des principales stations de métro de la ville.

De même, les stations de vélos en libre-service VélôToulouse restent relativement éloignées. Les plus proches sont les stations no 276 (1 chemin du Marin) et no 277 (10-12 allée Zamenhof).

Odonymie[modifier | modifier le code]

Plaque de rue.

Le nom du chemin est un hommage à l'œuvre principale de Pèire Godolin, poète toulousain de langue occitane. L'ouvrage, un recueil de textes divers, est un « petit rameau » ou un « bouquet de fleurs » (ramel, « rameau » en occitan, d'où le diminutif ramelet) de Toulouse, la « cité mondine », c'est-à-dire des comtes raimondins[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Patrimoine et lieux d'intérêt[modifier | modifier le code]

Fermes et maisons toulousaines[modifier | modifier le code]

no 5 : ancienne ferme.
  • no  5 : ferme (deuxième moitié du XIXe siècle)[3].
  • no  7 : maison toulousaine (deuxième moitié du XIXe siècle)[4].
  • no  25 : maison toulousaine (deuxième moitié du XIXe siècle).
  • no  53 : maison toulousaine (deuxième moitié du XIXe siècle).
  • no  57 : maison toulousaine (deuxième moitié du XIXe siècle)[5].
  • no  63 : maison toulousaine (deuxième moitié du XIXe siècle)[6].
  • no  70 : ferme Au Beau Cèdre (deuxième moitié du XVIIIe siècle)[7].
  • no  80 : ferme (deuxième moitié du XVIIIe – XIXe siècle)[8].
  • no  84 : ferme (deuxième moitié du XIXe siècle)[9].

Immeubles et maisons[modifier | modifier le code]

  • no  24 bis : villa Phi Phi (deuxième quart du XXe siècle)[10].
  • no  37 : maison (deuxième moitié du XXe siècle).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]