Chennebrun

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Chennebrun
Chennebrun
La mairie.
Blason de Chennebrun
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité CC Interco Normandie Sud Eure
Maire
Mandat
Charles-Alexandre Auvray
2022-2026
Code postal 27820
Code commune 27155
Démographie
Gentilé Chennebrunois
Population
municipale
103 hab. (2021 en diminution de 8,04 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 50″ nord, 0° 46′ 58″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 219 m
Superficie 2,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Verneuil d'Avre et d'Iton
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Verneuil-sur-Avre
Législatives 1re circonscription de l'Eure
Localisation
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Chennebrun
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Chennebrun

Chennebrun est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Elle se situe à la frontière de l'ancien Duché de Normandie et du Royaume de France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Chennebrun est une commune percheronne du sud du département de l'Eure, limitrophe de l'Orne et situé dans la vallée de l'Avre. Verneuil d'Avre et d'Iton se trouve à 13 km à vol d'oiseau au nord-est de Chennebrun, Chartres à 59 km au sud-est, Mortagne-au-Percheà 25 km au sud-ouest, et L'Aigle à 15 km au nord-ouest.

La route nationale 12 est aisément accessible depuis le village.

Le sentier de grande randonnée GR 22 passe le long du parc du château.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Armentières-sur-Avre et Beaulieu.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Chennebrun est traversée par plusieurs bras de l'Avre, affluent de l'Eure, et donc sous-affluent de la Seine.

Une partie de ses eaux est captée en aval et alimente Paris en eau potable. L'eau de l'Avre rentre dans Paris par le viaduc de l'Avre construit par Gustave Eiffel sur la commune de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).

L'Avre constituait la limite entre l'ancien Duché de Normandie et du Royaume de France[1].

L’Hameçon chennebrunois est le club de pêche du village[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d'Ouche et au Perche et bénéficiant d’un caractère continental affirmé avec des précipitations atténuées et des amplitudes thermiques fortes[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Beaulieu à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 836,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chennebrun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Verneuil d'Avre et d'Iton, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,2 %), forêts (18,5 %), prairies (7 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2013 et 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 90, alors qu'il était de 88 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 53,8 % étaient des résidences principales, 35 % des résidences secondaires et 11,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chennebrun en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (35 %) très supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,9 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Chennebrun en 2018.
Typologie Chennebrun[I 1] Eure[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 53,8 85,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 35 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 11,3 8,3 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Chesnebrut en 1168, Chesnebrun en 1193 [16], Chenebrun en 1202, Quercus Bruna en 1265, Quercus Fusca en 1471[17].

Quercum brunnum fin du XIIe siècle, littéralement « chêne brun », c'est-à-dire « noir » [18].

Le mot chêne est issu du gaulois *cassanos, signifiant « chêne »[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Chennebrun se situe à la frontière existant aux XIe et XIIe siècles entre le royaume de France et le duché de Normandie. Le village frontière justifiait le château fort, dont il reste un vestige visible dans le parc de l'actuel édifice qui a succédé à la forteresse militaire, et qui date du XVIIe siècle.

Chennebrun était l'une des places fortes qui assuraient la défense de la Normandie. Face à elle, de l'autre côté de l'Avre, lui faisaient face le Thymerais et les châteaux de La Ferté-Vidame et de Brezolles, qui appartenaient aux puissants barons de Châteauneuf-en-Thymerais, fidèles serviteurs des rois de France.

En complément du château, les Fossés du Roy marquant cette frontière sont encore visibles dans le quartier du Moulin : ils avaient été creusés pour protéger pareillement le territoire normand de l'envahisseur potentiel français.

Le village est entouré de deux bois aux noms évocateurs de l'ancienne frontière : l'un s'appelle le bois de France et l'autre le bois de Normandie.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Évreux du département de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Verneuil-sur-Avre[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Verneuil-sur-Avre porté de 14 à 40 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Eure.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Chennebrun était membre de la communauté de communes du pays de Verneuil-sur-Avre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Interco Normandie Sud Eure, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mai 1924   Jean Guillo    
         
  12 mai 1934 Jacques des Brosses    
12 mai 1934 22 mai 1934 Louis Lenoury    
22 mai 1934 février 1957 Victor Patard   Cultivateur
février 1957 mars 1965 Georges Laisné   Grainetier
mars 1965 mars 1983 Jean Giroult des Brosses   Vicomte
mars 1983 2001 Raymond Gegu[21]   Cultivateur
2001 avril 2014 Jean-Claude Couasnon[22]   Retraité menuiserie
avril 2014 juillet 2022 Jean-Claude Lanos[23]   Retraité
juillet 2022[24] En cours
(au 16 décembre 2022)
Charles-Alexandre Auvray   Brasseur

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Une concergerie solidaire, comprenant plusieurs services de commerces traditionnels ainsi qu'une agence postale — gérée dans le cadre de l’économie sociale et solidaire — a ouvert en 2021 dans l'ancienne boulangerie, alors que la commune était alors dépourvue de commerces[25],[26].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux d'Armentières-sur-Avre, Gournay-le-Guérin, Saint-Christophe-sur-Avre et Saint-Victor-sur-Avre dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) qui dispose d'écoles à Chennebrun et Saint-Christophe. À la rentrée 2021, l'école de Chennebrun compte trois classes[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 103 habitants[Note 3], en diminution de 8,04 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
355392427366373353303313340
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
315277287244228262248244233
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
250234236215196188193240215
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
216209170124142115121123139
2014 2019 2021 - - - - - -
114107103------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes[modifier | modifier le code]

Pour le culte catholique, le village fait partie de la Paroisse Sainte-Anne-du-Perche.

Économie[modifier | modifier le code]

La brasserie artisanale Boujou, créée par Charles-Alexandre Auvray, est implantée depuis 2018 dans l’ancienne caserne des pompiers. Elle a reçu plusieurs prix au concours international de Lyon de 2020[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le village présente une harmonie particulière de constructions, de couleurs et de matériaux (maisons, église, ponts, fermes, pigeonnier, granges).

On peut signaler :

  • Les Fossés du roy, anciens vestiges[32],[33], qui sont less vestiges de la frontière entre la France et la Normandie en bornant au sud le duché de Normandie et qui ont été réalisés entre 1158 et 1168.
    Ils sont composés d'un fossé et d'un talus composé de la terre provenant du fossé.
    Des portions importantes sur les 100 km du tracé initial existent encore : dans l'Orne à Bures (le Bois Fouquet), Sainte-Scolasse-sur-Sarthe (Fossé leroi), Saint-Agnan-sur-Sarthe (le Petit Jouet), Mahéru (Bel Erable), Moulins-la-Marche (la Bâchellerie, la Pothinière), Les Genettes, Les Aspres (la Campagne des Boulayes, la Campagne des Ardrillères, la Campagne des fossés, la Campagne des petits plants, la Brosse), Irai (la Marinetterie, Champ Hubert), Beaulieu (le Pommerai, le bas Breuil) ; dans l'Eure à Chennebrun, Saint-Christophe-sur-Avre (derrière le château d'eau), le Genetay, la Minglière, Les Barils (près de l'entrée de Center Parcs), Pullay (les Hayes Leroi), Verneuil-sur-Avre (la Chabotière), Bâlines (la Fainéanterie), Courteilles (les Maisons rouges, le Jarrier), Tillières-sur-Avre (la Haye Rault), Muzy (le Fossé du roi).
    Érigés pour briser l'élan de troupes à cheval, ils symbolisent la puissance du duc de Normandie, par ailleurs roi d'Angleterre, comte d'Anjou, duc d'Aquitaine.
    Malmenés par la mise en culture, par le remembrement, les portions existantes aujourd'hui demeurent dans des zones essentiellement boisées. Le fossé qui a toujours été à sec a servi pour les besoins de l'hydraulique entre Beaulieu et Chennebrun comme bief servant à conduire les eaux détournées de l'Avre sur les deux moulins principaux du secteur (d'où la position anormalement haute de la rivière de l'Avre à Chennebrun par rapport à son lit initial).
    Les Fossés royaux (re)connus depuis les travaux de Bernard Jouaux en 1978 et ceux de Denis Lepla en 1992 et 2006, bénéficient de mises en valeur récentes : rues portant leur nom (les Aspres, Courteilles), site aménagé et mis en valeur (les Genettes), circuits de promenades (Saint-Christophe-sur-Avre).
L'église Notre-Dame.
  • L'église Notre-Dame de Chennebrun, datant du XIIIe siècle et remaniée à plusieurs reprises notamment par la construction du clocher en 1865, et qui contient notamment[33] :
    • Une série de 12 vitraux réalisés en 1877 par l'atelier de Duhamel-Marette, peintre-verrier à Evreux. L'un d'eux, représentant saint Raymond de Peñafort, a été offert par le vicomte de Petiteville.
    • Un retable restauré dédié à la Vierge Marie.
    • Le musée des Charitons, qui expose les ornements et objets de cette confrérie religieuse créée en 1493 et active jusque dans les années 1950[34]. L'entrée de ce musée se situe sous le clocher de l'église.
Château reconstruit en 1765.
  • Le domaine de Chennebrun : son château du XVIIIe siècle, érigé à l'emplacement d'une place forte stratégique médiévale, son parc de 27 ha entouré de hauts murs, son pigeonnier et les vestiges de son château du Moyen Âge, propriété privée classée monument historique[35].
  • L'ancien moulin et les ponts de pierre traversant les bras de l'Avre.
  • La place du Marché et son hôtel du XVIIe siècle devenu la mairie du village. Cette maison bourgeoise du XVIIIe siècle était l'ancien relais de poste sous l’Ancien Régime. Elle a été offerte dans les années 1970 à la commune, pour un franc symbolique, par l’ancien maire, le vicomte Jean Giroult des Brosses.
  • La fresque extérieure peinte par Juan Carlos Macias, peintre mexicain, et les enfants de l'école primaire. Cette fresque de grand format a été réalisée dans le cadre de la Fête de la Peinture 2008 et reste un témoignage remarquable de la peinture contemporaine. Elle est visible en pénétrant dans l'enceinte de la cour de l'école.
  • La mariette, oratoire courant dans la région dédié à la Vierge Marie (route de Saint-Christophe-sur-Avre), fait partie du Circuit des Mariettes du pays d'Avre et d'Iton.
  • Le bar-hôtel-restaurant La Croix Blanche

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Chennebrun Blason
D'azur à un chêne d'or[36].
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Chennebrun », Communauté de communes > Le Territoire > Nos communes, sur inse27.fr (consulté le ).
  2. « Ouverture de la pêche à Chennebrun le 9 mars : L'assemblée générale de l'Hameçon chennebrunois a lieu début février, l'occasion de rappeler que 400 kg de truites arc-en-ciel ont été mis à l'eau cette année », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Chennebrun et Lieuvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Beaulieu » (commune de Beaulieu) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Beaulieu » (commune de Beaulieu) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 267 [réf. incomplète].
  17. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 55.
  18. François de Beaurepaire - Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Page 91[réf. incomplète].
  19. Henriette Walter, L'Aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de le République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 4799.
  22. « Un engagement de longue date », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Bernard Geffroy, « Elections municipales. La liste du maire sortant à Chennebrun : Jean-Claude Lanos, maire de Chennebrun depuis 2014, dévoile sa liste de onze candidats aux élections municipales, dont quatre nouveaux », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. Hugo Deshors, « Dans le sud de l'Eure, ces municipalités veulent sauver le dernier commerce dans le village : Ces municipalités du sud de l'Eure ont fait le choix d'investir du temps et de l'argent dans leur dernier commerce. Une volonté forte pour éviter que le village ne meurt », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Lou Garçon, « Désertification : un magasin multi-services ouvre et la vie reprend à Chennebrun : L’arrivée d’une conciergerie solidaire, qui propose plusieurs services de commerces traditionnels, y compris un bureau de poste, est un vrai soulagement dans la petite commune percheronne de Chennebrun, dans le sud de l’Eure », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Bernard Geffroy, « Chennebrun. Une troisième classe vient d'ouvrir : Grâce à une hausse des effectifs, une 3e classe vient d'ouvrir à Chennebrun (Eure), une semaine après la rentrée. On vous dit pourquoi », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Bernard Geffroy, « Chennebrun. La brasserie Boujou va ouvrir un bar à bières : La brasserie Boujou, de Chennebrun (Eure), de nouveau à l'honneur au concours international de Lyon, va ouvrir un bar à bières dès cet été », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Le dire de l'architecte des bâtiments de France - Les fossés royaux dans l'Eure - 26 août 2013 [1].
  33. a et b « Sur la route du grison. Découvrez le passé de Chennebrun : Empruntez la route du grison pour découvrir l'histoire médiévale du sud de l'Eure », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Marantine Mauguin, « A Chennebrun, découvrez l'histoire de la Confrérie de la Charité grâce à un muséal : Au sein de l'église Notre-Dame de Chennebrun (Eure), se tient un muséal dédié à la Confrérie de Charité. Dans la commune, cette confrérie a vu le jour en 1493 », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Hugo Deshors, « Sans aides, Jacques Des Brosses se bat pour sauver son domaine historique dans l'Eure : A 62 ans, Jacques Des Brosses est la sixième génération de propriétaires du Domaine de Chennebrun (Eure). Il doit maintenir en vie ce patrimoine emblématique de la Normandie », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « 27155 Chennebrun (Eure) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).