Chevresis-Monceau

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Chevresis-Monceau
Chevresis-Monceau
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité CC du Val de l'Oise
Maire
Mandat
Sébastien Solari
2020-2026
Code postal 02270
Code commune 02184
Démographie
Gentilé Chevrésien(ne)s
Population
municipale
340 hab. (2021 en diminution de 6,59 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 45′ 16″ nord, 3° 34′ 21″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 137 m
Superficie 16,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ribemont
Législatives 3e circonscription de l'Aisne
Localisation
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Chevresis-Monceau
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Chevresis-Monceau
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Chevresis-Monceau
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Chevresis-Monceau

Chevresis-Monceau est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Entrée du village
Entrée du village
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes ; 5 : entrée dru village.

Chevresis-Monceau est un village rural de la Thiérache, dans l'Aisne, situé à 23 km au sud-est de Saint-Quentin, 22 km au nord de Laon et 26 km au sud-ouest de Vervins.

Il est desservi par la RD 967 qui le relie à Guise et à Laon, et est aisément accessible par la sortie 12 de l'Autoroute A26.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est drainé par le Peron, un affluent droit de la Serre, c'est-à-dire un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aulnois-sous-Laon à 16 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 685,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chevresis-Monceau est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,1 %), forêts (5,2 %), zones urbanisées (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Chevresis : Le nom du village apparaît pour la première fois en l'an 1405, sous l' appellation de Chievresiz-le-Merdeux puis Chevrezy-le-Meldeux, et Chevresis-le-Meldeux sur la carte de Cassini vers 1750[13].
  • Monceau-le-Vieil était un hameau qui apparaît pour la première fois en 1083 sous l'appellation de Moncelli, puis Vetera Moncella, Monchiaux-le-Vies, Montceaulx-le-Vieil et enfin Monceaux-le-Vieux sur la carte de Cassini[14].

Monceau est une formation toponymique médiévale qui consiste en un appellatif employé de manière absolue, à savoir l'ancien français Moncel au sens de « colline »[15], voire « élévation ». L'ancien français moncel est issu d'un hypothétique bas latin *monticellum[15].

Chevresis-le-Meldeux et Monceau-le-Vieux sont réunis par ordonnance royale du sous le nom de Chevresis-Monceau .

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

Carte de Cassini
La carte de Cassini montre qu'au XVIIIE siècle, Chevresis-le-Meldeux est une paroisse avec un château sur la rive droite du ruisseau le Peron.
Au nord-est, Monceau-le-Vieux est un hameau dont Cour le Moine est une ferme qui en fait partie.

Époque contemporaine

En 1819, Chevresis-le-Meldeux absorbe Monceau-le-Vieil et prend le nom actuel de Chevresis-Monceau.

Le village est détruit en grande partie le par un grave incendie. Sa reconstruction est facilité par l'action de Frédéric Viefville, notaire de Napoléon III et originaire de la commune[16].La municipalité, qui avait décidé la construction d'une nouvelle église en 1858, inaugure le nouvel édifice en 1862, et l'ancienne église, située dans le cimetière, est démolie quelques années après[16].

En 1874 est signalé l'existence de la sucrerie des établissements Viéville, Decroix et Cie[17], qui a contribué à la prospérité du village[16].

Chevresis-Monceau a été desservie par une gare sur la ligne de Laon au Cateau de 1888 à 1937, facilitant le déplacement des habitants et le transport des marchandises.

La commune a été concernée par les combats de la Première Guerre mondiale, et a été largement détruit pendant celle-ci[18].

Passé ferroviaire du village[modifier | modifier le code]

Vestiges de la ligne de chemin de fer en 2021 à l'endroit où était située la gare.
Dernier vestige de la gar: une pierre au milieu de la végétation.
Horaire de la ligne en mai 1914, avant le déclenchement de la Guerre.
Tracé de la ligne qui passait au sud-est du village. La gare, dont il ne reste aucun vestige en 2021, était située à l'extérieur du village, sur la rive gauche du Péron.

A partie de 1888, Chevresis-Monceau a été traversé par la ligne de chemin de fer de Laon au Cateau, qui , venant de La Ferté-Chevresis, passait au sud-est du village et se dirigeait vers Monceau-le-Neuf et Faucouzy.
Chaque jour, cinq trains s'arrêtaient dans chaque sens devant la gare pour prendre les passagers qui se rendaient soit à Laon, soit à Guise.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
À partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée vers 1970 au trafic passagers. Les derniers trains de marchandises sur le tronçon Laon - Sains-Richaumont ont cessé de circuler en juillet 2006.
Les rails sont toujours en place en 2021 et la ligne est envahie par la végétation.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Chevresis-Monceau est membre de la communauté de communes du Val de l'Oise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Mézières-sur-Oise. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[19].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[20]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Ribemont pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[20], et de la troisième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[21].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 François Brazier[22],[23]    
2014[24] En cours
(au 28 juillet 2020)
Sébastien Solari SE Ouvrier
Vice-président de la CC du Val de l'Oise (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[25]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 340 habitants[Note 2], en diminution de 6,59 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
189218245259416413425446454
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
494503574584587601573565532
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
539533565522534491446449404
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
367340327313348368355352370
2017 2021 - - - - - - -
355340-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame de Chevresis, consacrée en 1862, dotée d’un clocher élancé. Napoléon III lui a offert un tableau, « Le Christ en croix », L’église compte également quatre grandes compositions peintes par Georges Grandin, originaire de la commune et ancien élève de Meissonier et de Cabanel à l’École nationale des Beaux-Arts[16].
  • Le château de Chevresis-Monceau - visible sur la départementale 64.
  • Chapelle Saint-Frédéric, chapelle funéraire sur le cimetière, de style néo-byzantin comprenant un dôme ainsi qu'une magnifique rosace, et orné de vitraux historiés sur lesquels sont représentés les membres de la famille Viefville, ainsi des par des peintures murales, rénovée en 2013[23],[31].
  • Monument aux morts[32].
  • Au cimetière, la tombe de guerre du soldat Louis Hamelin (1894-1917).
  • Calvaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • L'un des derniers seigneurs de Monceau-le-Vieil est « Antoine-Gabriel Demonceaux, chevalier, seigneur de Monceau-le-Vieil et le Neuf, Chevresy, Gerny, etc., comte de Saint-Lot et autres lieux », mort à Monceau-le-Vieil le [33].
  • Étienne Cardot né le , à Chevresis-Monceau (02), dans une humble famille d’ouvriers agricoles. Il est l'aîné de plusieurs enfants. Ses sœurs sont restées au village et s’y sont mariées.
Écolier doué, il apprend à lire et à écrire, et entre au service de Claude Nicolas Gaudry trésorier dans la Généralité de Soissons, oncle maternel de Condorcet. Celui-ci était ami de Turgot qui le fait nommer Inspecteur des Monnaies en 1775. Il logeait à l’hôtel des Monnaies au premier étage où il accueille sa mère et son oncle. Etienne Cardot le suit à Paris. Antoine Cardot frère d’Etienne vient les rejoindre et entre au service de la famille.
Étienne Cardot travaille le soir pour Condorcet qui le fait nommer commis aux écritures à l'Académie des Sciences, dont Condorcet est Secrétaire perpétuel et correspond avec l'Europe entière. Il devient ensuite chef du secrétariat de l'Académie et le reste jusqu'à sa mort en 1847.
En 1793, lors de la Terreur Condorcet est mis hors la loi et se cache chez Madame Vernet. Il part déguisé à Bourg-la-Reine et y meurt en 1794 sous le nom de Pierre Simon.
Les deux frères Cardot ont reconnu l’écriture de Condorcet et ont corrigé l’acte de décès à la mairie de Bourg-la-Reine, devenu Bourg-Égalité.
Sophie de Grougy, veuve de Condorcet, est alors sans ressources. Elle monte une boutique de lingerie à l'enseigne « à la fidélité »près de la place Vendôme, rue Saint-Honoré, avec l’aide des Cardot.
Après la Terreur, Etienne Cardot redevient chef du secrétariat de l'Académie. À ce titre, il connait toutes les célébrités du monde scientifique et littéraire : Antoine Lavoisier, Pierre Daunou, Pierre Jean Georges Cabanis, François Arago, Jean le Rond D'Alembert, La Fayette, Benjamin Franklin etc. En 1840, il demande sa retraite. La famille de Condorcet lui verse alors une rente. Cet homme discret, resté célibataire et travailleur acharné, est toute sa vie au service des autres[34].
  • Frédéric Viefville, natif et bienfaiteur de la commune, est le notaire de Napoléon III. En 1850, après un terrible incendie qui réduisit en cendres plus des deux tiers du village, il fait construire à ses frais une nouvelle école, puis, en 1865, il fait don à la commune du bâtiment qui est devenu la mairie. Il a également financé la maison de retraite situé dans la rue principale. Il est enterré chapelle Saint-Frédéric[23]. Une rue de la commune porte son nom.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • M. Mauclaire, « Notice historique sur Monceau-le-Vieil et ses seigneurs », Bulletin de la Société historique de Haute-Picardie, t. VI,‎ , p. 7-29 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 NE, Laon [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Chevresis-Monceau et Aulnois-sous-Laon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Aulnois-sous-Laon » (commune d'Aulnois-sous-Laon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Aulnois-sous-Laon » (commune d'Aulnois-sous-Laon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », sur Gallica, (consulté le ).
  14. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », sur Gallica, (consulté le ).
  15. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1979, p. 463b
  16. a b c et d « Viefville le bienfaiteur », L'Aisne / Le magazine de notre département, no 206,‎ , p. 21 (lire en ligne, consulté le ).
  17. Les Sucreries françaises, raffineries et râperies, par départements, noms des fabricants et noms des localités, : vec une carte de France coloriée indiquant l'importance des installations dans chaque région et 18 cartes de détails, Paris, Le Moniteur de la sucrerie, , 77 p. (lire en ligne), p. 9, lire en ligne sur Gallica.
  18. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  19. « communauté de communes du Val de l'Oise - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  20. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Chevresis-Monceau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  22. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  23. a b et c « La chapelle de Frédéric Viefville inaugurée après sa rénovation », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'inauguration de la chapelle Saint-Frédéric a eu lieu ce samedi dans le cimetière de Chevresis-Monceau. En présence du sous-préfet de l'Aisne, Jean-Jacques Boyer, et de Michel Potelet, conseiller général et maire de Ribemont, François Brazier, maire de Chevresis-Monceau, a présidé l'inauguration après rénovation de la chapelle dans laquelle repose Frédéric Viefville, natif et bienfaiteur de la commune, qui fut le notaire de Napoléon III ».
  24. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  25. « Sébastien Solari poursuit l'aventure à Chevresis-Monceau », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Monceau-le-Vieil », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  31. « Le mémo du patrimoneur » [PDF], Journées européennes du patrimoine, Communauté de communes du Val de l'Oise, (consulté le ), p. 11.
  32. « Chevresis-Monceau (02270) », France (Aisne), sur monumentsmorts.univ-lille.fr, Les monuments aux morts - France - Belgique - Autres pays (consulté le ).
  33. Acte de décès d'Antoine-Gabriel Demonceaux, cité par Mauclaire, art. cit. en Bibliographie, p. 10.
  34. Laffitte-Larnaudie (Anne-Marie), « Le secrétaire de Condorcet : Etienne Cardot », dans Condorcet. Homme des Lumières et de la Révolution, Fontenay-aux-Roses, ENS éditions, 1997, p. 37s.