Cité de la CECA
| Architecte |
W. Manhay |
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| Commanditaire |
Le Foyer marcinellois, agréé par la Société nationale du logement |
| Pays | |
|---|---|
| Province | |
| Commune | |
| Adresse |
Avenue de la C.E.C.A. 6001 Marcinelle |
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| Coordonnées |
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La cité de la CECA est une cité ouvriere situé à Marcinelle, Charleroi (Belgique). Elle a été construite dans les années 1960 par l'architecte W. Manhay pour la Communauté européenne du charbon et de l'acier (C.E.C.A.).
Elle est géré par la société de logement social La Sambrienne[1].
Histoire[modifier | modifier le code]
En 1958, le conseil d'administration du Foyer Marcinellois, sous la direction de l'Institut national du logement, s'associe au deuxième programme expérimental interdit par la C.E.C.A. L'objectif est d'améliorer les conditions de vie des travailleurs migrants et de leurs familles[2].
La rénovation des logements sociaux sera achevée en 2011[3],[4].
La CECA ainsi que la Cité Parc feront l'objet d'un plan d'arborisation. Seize nouveaux arbres sont prévus sur le site[5],[6],[7].
Architecture[modifier | modifier le code]
Le site de Marcinelle était l'un des trois sites belges avec Cuesme et Beyne-Huesnay qui faisaient partie du plan européen du "deuxième programme de construction expérimentale" de la C.E.C.A[8].
La cité est divisée en 7 bâtiments comprenant 17 unités de logement pour un total de 119 appartements[2].
Le système de construction est de type préfabriqué avec une structure porteuse en béton armé et des façades en murs-rideaux. Les panneaux préfabriqués opaques étaient en bois avec une finition en amiante-ciment émaillé à l'extérieur et un panneau en fibre de lin à l'intérieur. La partie transparente était à double vitrage. Le revêtement de sol pour les parties communes était en P.V.C. enduit sur feutre et pour les parties communes en carreaux de vinyle. Tous deux collés directement sur le béton. Le chauffage d'ilot était au charbon ou au mazout. L'eau chaude était chauffée par un chauffe-eau à gaz[9].
Avec les travaux de rénovation en 2011, l'indice d'isolation k est passé de 174 à 85. Une amélioration du confort de vie qui prend également en compte le remplacement du revêtement extérieur, la rénovation du toit, les menuiseries extérieures et la mise à jour des équipements internes[3].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « CECA », sur La Sambrienne (consulté le )
- « La Cité C.E.C.A. de Marcinelle des origines à la renaissance », La Sambrienne, no 04, , p. 18-19 (lire en ligne)
- DH Les Sports+, « 119 logements à la cité CECA », sur www.dhnet.be, (consulté le )
- « Bain de jouvence pour la cité CECA », sur www.lavenir.net (consulté le )
- « Marcinelle: 44 arbres plantés à la Cité Parc, le début d’une ère verdoyante », sur Édition digitale de Charleroi, (consulté le )
- « Des arbres vont être plantés en plein milieu d’une cité à Charleroi », sur 7sur7.be (consulté le )
- « Marcinelle: la Cité Parc n'aura jamais aussi bien porté son nom! », sur Ville de Charleroi (consulté le )
- M. Raedts, « QUESTION ÉCRITE no 171/69 », Journal officiel des Communautés européennes, , p. 4 (lire en ligne)
- C.E.C.A., Deuxieme programme de constructions experimentales = Second program of experimental building, Paris, , 390 p. (lire en ligne), p. 52-53
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Communauté européenne du charbon et de l'acier, C.E.C.A., Deuxieme programme de constructions experimentales = Second program of experimental building, 1962, (OCLC 841336575 lire en ligne).
