Conservatoire libanais national supérieur de musique

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Conservatoire libanais national supérieur de musique

Histoire et statut
Fondation 1930
Type École supérieure de musique
Administration
Directeur Bassam Saba
Études
Formation Musique
Localisation
Ville Beyrouth
Pays Drapeau du Liban Liban
Site web http://www.conservatory.gov.lb/

Le Conservatoire libanais national supérieur de musique a été fondée dans les années 1930 par Wadia Sabra, également connu pour être le compositeur de l'hymne national du LibanKoullouna Lilouataan Lil Oula Lil Alam»). Sabra avait pour objectif d'établir un institut d'enseignement supérieur de musique. Le Conservatoire, qui est en 2017 dirigé par le compositeur et chef d'orchestre Walid Gholmieh a plus de 4 800 étudiants et 250 professeurs[1]. Le Conservatoire, dont le siège est à Beyrouth, a des annexes à Tripoli, Jounieh, Dhour El Choueir, Zahlé, Aley et Sidon.

Depuis 1999, le Conservatoire comprend deux orchestres, l'Orchestre philharmonique du Liban l'Orchestre national de musique arabe-orientale. Ce dernier a été créé en et se compose de près de 50 musiciens[2],[3],[4].

Parmi les professeurs réputés du Conservatoire figure Badia Sabra Haddad ; de très nombreux chanteurs et chanteuses qui ont été ses élèves ont aaccompli ensuite de grandes carrières internationales[5]. Elle est la fille du fondateur du Conservatoire Wadia Sabra[5].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. BBC NEWS | Programmes | le Croisement des Continents | Site web Exclusif: Beyrouth Reconstruit une Culture (23 décembre 1998) (Extrait 20 décembre 2016
  2. « National Oriental-Arabic Orchestra conducted by Dr. Walid Gholmieh in Abu Dhabi Music & Arts Foundation (ADMAF) Concerts/Lectures 2006 (Archived copy) » (consulté le ) Récupéré Le 20 Décembre 2016
  3. Libanais, Oriental Orchestre (L. O. O.) de la page à beirut.com Consulté le 30 décembre 2016
  4. Page d'accueil pour les Libanais, Oriental Orchestre (L. O. O.) à loo.gov.lb Consulté le 30 décembre 2016
  5. a et b (ar) Zeinab Merhi, « من ينقذ «مدام بديعة» من براثن النسيان؟ », al-akhbar,‎ (lire en ligne)