Cottenchy

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Cottenchy
Cottenchy
Saint-Marcel.
Blason de Cottenchy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Jérémy Gawlick
2020-2026
Code postal 80440
Code commune 80213
Démographie
Gentilé Cottenchynois
Population
municipale
570 hab. (2021 en diminution de 2,06 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 36″ nord, 2° 23′ 00″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 112 m
Superficie 10,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cottenchy
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Cottenchy
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Cottenchy
Liens
Site web http://www.mairie-cottenchy.fr/

Cottenchy est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

À une dizaine de kilomètres au sud-est du centre d'Amiens, Cottenchy est desservie par les routes départementales 75 et 116.

La commune est traversée par le méridien de Paris.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est limitée à l'est par la Noye, sous-affluent de la Somme par l'Avre.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 646 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cottenchy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,1 %), forêts (17,2 %), zones urbanisées (3,4 %), zones humides intérieures (3,4 %), prairies (1,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 41, Montdidier - Ailly-sur-Noye - Amiens)[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Costenceium (1069.) ; Costencey (106..) ; Costeney (1105.) ; Costenciolum (1140.) ; Costenci (116..) ; Costenceul (1164.) ; Costencol (1164.) ; Costencheul (1166.) ; Costencuel (1176.) ; Costenchi (1245.) ; Costenchuel (1247.) ; Costenchy (1301.) ; Constanchuel (1337.) ; Cotenchi (1345.) ; Cotherity (1487.) ; Cotency (1507.) ; Cotenchy (1507.) ; Contenchy (1507.) ; Cottensy (1579.) ; Cothenchy (1657.) ; Conterchy (1657.) ; Cournechy (1710.) ; Contenchi (1733.) ; Cottenchy (1757)[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Grâce à la photographie aérienne, Roger Agache a découvert des substructions d'une villa gallo-romaine au Bois de Cottenchy[15].

Au XVIe siècle, les artisans du village réparent la flèche de la cathédrale d'Amiens après un incendie[16].

En 1653, lors de la Fronde, les Espagnols ravagent le village et le détruisent presque complètement[16].

Des pèlerinages sont organisés vers l'église Saint-Marcel pour vénérer saint Druon qui accomplit régulièrement des miracles[16].

Première Guerre mondiale

Le village a subi des destructions durant la Première Guerre mondiale[17].

La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

Deuxième Guerre mondiale

Hébérgé par le docteur Antonin Mans, résistant, Jean Moulin réside à Cottenchy en mai 1941[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait de 1793 à décembre 2016 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme[20], date à laquelle elle a été rattachée à l'arrondissement de Montdidier[21]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Boves[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Noye.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [22], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[23], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[24],[25]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[26] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[27] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[28], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988   André Coquel    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Daniel Cotrel   Enseignant retraité[29]
mars 2008[30] juillet 2020 Marie-Christine Maillart   Vice-présidente de la CC Avre Luce Noye (2019 → 2020)
juillet 2020[31] En cours
(au 13 juillet 2020)
Jérémy Gawlik   Expert construction

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 570 habitants[Note 4], en diminution de 2,06 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
495551575621727732760712678
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
672638615532520467463455441
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
394414404350360322339368361
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
292296341368385372453439571
2018 2021 - - - - - - -
573570-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire locale fait partie du Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) constitué des communes de Cottenchy Dommartin, Fouencamps, Guyencourt-sur-Noye, Remiencourt. L'aspect financier est géré par un SISCO (syndicat scolaire intercommunal)[35].

L'école maternelle établie à Cottenchy compte 22 élèves pour l'année scolaire 2016-2017[36].

La commune abrite le lycée professionnel d'enseignement agricole du Paraclet[37].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'Échaut à Pont-d'Grès.
  • Monument aux morts : le nom de 18 soldats tués y est gravé.
  • Église Saint-Marcel[38], du XVe siècle. C'était un lieu de pèlerinage à saint Druon que l'on invoquait pour la gravelle et les maladies des intestins. Dans le chœur, se trouve une dalle en mémoire de Louis Cardon, charpentier de Cottenchy qui réalisa la première flèche en bois de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens[39].
  • Si le village a compté jusqu'à quatre moulins sur la Noye, il n'en compte plus qu'un, le moulin du château, de la fin du XIXe siècle, situé rue de l'Abreuvoir[40],[41],[42]. Seize charpentiers ont été dénombrés dans le village, par le passé[16].
  • Ferme du Paraclet. C'est à l'origine l'abbaye du Paraclet des Champs fondée en 1219 par Enguerrand II, seigneur de Boves[43]. Elle est abandonnée en 1648, à la fin de la guerre de Trente Ans devant la menace des Espagnols. Elle est détruite en 1714 et reconstruite après la Révolution française pour devenir une école d'agriculture en 1886[44]. La Vierge à l'enfant en pierre date du XIVe siècle. Elle est classée monument historique[45].
Le Paraclet comprend une zone humide de 28 hectares dont 20 ont été classés Natura 2000, avec une trentaine d’étangs alimentés par un canal de dérivation de la Noye. Il abrite un centre de formation technique pour les professionnels de l’environnement et de la nature[46].
Le lycée agricole a ouvert en 2015 une boutique qui distribue ses productions, ainsi que celles de 3 autres établissements et de 23 producteurs locaux[47].
  • Chapelle Sainte-Ulphe[48], sur l'emplacement d'une source, détruite en 1756, restaurée en 1989-1991 par les élèves du lycée[44].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cottenchy Blason
Écartelé : aux 1er et 4e de gueules au chevron d'argent accompagné de trois besants d'or, aux 2e et 3e d'azur à la fasce d'argent chargée de trois hures de sanglier de sable, accompagnée de trois étoiles d'or ; à la crosse d'abbesse d'or brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Il s'avère que le conseil municipal n'a pas connaissance de ces armoiries, et envisageait d'en faire composer (entretien avec un adjoint).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Sébastien Boucher, porcher de la commune, a effectué ses campagnes de guerre avec l'empereur Napoléon Ier[16].
  • Henri Magny (1910-1944), officier de la France Libre, mort au combat en Italie, y est inhumé

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Cottenchy et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 262 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. « Photographie aérienne de Roger Agache : Sur la lèvre du plateau, villa gallo-romaine à cour rectangulaire orientée au sud-est. La maison du maître, de dimensions modestes (26 x 16 m), a un plan très simple, avec une enfilade de pièces précédées d'une galerie de façade. De grands bâtiments sur semelle de craie sont visibles sur l'aile nord, tandis que l'aile sud, plus floue, présente des bâtiments sur semelle de craie ou sur solins de silex sur une longueur d'environ 200 m. Au sol, tuiles, scories de fer et de plomb. Occupation : début Ier-milieu du IVe s », notice no ARR22_sd803193ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  16. a b c d et e « L'adjoint passionné assure les visites guidées du village », Le Courrier picard, édition maritime, 1er octobre 2015, p. 19.
  17. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  18. Journal officiel du 4 novembre 1920, p. 17349.
  19. Site de la commune, section Histoire.
  20. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  23. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  24. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  25. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  26. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  27. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  28. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  29. « Profil Copains d'Avant », (consulté le ).
  30. Le Courrier picard, édition Région d'Amiens du 29 mars 2008.
  31. « Jérémy Gawlik succède à Marie-Christine Maillart à la mairie », Courrier picard,‎ , p. 12.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Site communal, section « écoles ».
  36. L'école sur le site de l'éducation nationale.
  37. La ferme du Paraclet.
  38. Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Eglise de Cottenchy, d'après nature, avril 1870 B) Cottenchy. Chapiteaux de l'ancienne église (Extrait de "La Picardie historique et monumentale") », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  39. « Cottenchy », sur valdenoye.com (consulté le ).
  40. « Moulin à farine dit Moulin du Château », notice no IA00076449, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Photographie de Thierry Lefébure (1989) : Moulin du Château, Vue générale, flanc nord-est », notice no IVR22_89800289V, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  42. « Photographie de Thierry Lefébure (1988) : Vue du bâtiment d'eau et de la roue hydraulique verticale », notice no IVR22_89800290X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  43. C. Pinsard. Lithographie J. Moncourt, Amiens, « Aquarelle : Boves et ses seigneurs : Abbaye du Paraclet des champs - Carrelage de l'église, XIIIe siècle (au quart) », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  44. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 201 (ASIN B000WR15W8).
  45. « Statue : Vierge à l'Enfant, dite du Paraclet », notice no PM80000499, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  46. Émilie Da Crux, « Un site unique à découvrir à Cottenchy : Une partie du site du Paraclet, à Cottenchy, a été classée Natura 2000. Des opérations de sensibilisation vont être lancées pour le grand public. De quoi admirer des espèces rares », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. Audrey Genjusz, « Le lycée agricole de Cottenchy sait se vendre : Ouvert il y a près d’un an et demi, le magasin de produits locaux du lycée agricole le Paraclet, veut voir plus loin », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. Oswald Macqueron, « Aquarelle : A) Cottenchy. Chapiteau transformé en pied de croix (Extrait de "La Picardie historique et monumentale") B) Chapelle de Cottenchy, d'après nature, 19 avril 1870 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).