Couverture forestière de l'Est du Cameroun
Couverture forestière de l'Est du Cameroun | |
Administration | |
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Pays | Cameroun |
Départements | Boumba-et-Ngoko Haut-Nyong Kadey Lom-et-Djérem |
Gouverneur | Grégoire Mvongo[1] |
Démographie | |
Population | 771 755 hab. (2005) |
Densité | 7,1 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 10 900 200 ha = 109 002 km2 |
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Le Cameroun est un pays d'Afrique subsaharienne caractérisé par sa richesse forestière, qui représente environ 43% de sa surface nationale selon la banque mondiale, soit 204 524,8 Km² en 2018[2] ; ce qui fait du secteur forestier un secteur très intéressant pour le développement économique du pays.
La richesse forestière de l'Est[modifier | modifier le code]
L’Est du cameroun est reconnu par sa situation géographique aux frontières de la république centrafricaine et de la république du Congo, ce qui signifie la richesse forestière de cette région[pas clair] ; qui dispose de grandes forêts intensives et humides, et de différentes races de mammifères[3]. De plus, elle rassemble des ressources naturelles diversifiées présentant des paysages spécifiques avec des zones de végétation, notamment la zone forestière, la zone de transition et la zone de savane[4].
La zone forestière de l'Est[modifier | modifier le code]
La zone forestière attire principalement les gens qui aiment découvrir la nature, elle est reconnue par les réserves comme la réserve de faune du Dja et par les parcs nationaux tel que le parc de Lobéké, celui de Boumba-Bek et celui de Nki[4].
Références[modifier | modifier le code]
- « Est : Grégoire Mvongo aux commandes », Camernews, [1]
- « Surface forestière (km carrés) - Cameroon | Data », sur donnees.banquemondiale.org (consulté le )
- Meirama Moussa, « Patrimoine, Tourisme et Développement à l'Est-Cameroun (1980-2010) », 1980-2010, (lire en ligne, consulté le )
- Meirama Garba Moussa, « Ressources patrimoniales et perspectives touristiques dans l’Est-Cameroun : potentialités et limites actuelles », Études caribéennes, nos 33-34, (ISSN 1779-0980, DOI 10.4000/etudescaribeennes.9453, lire en ligne, consulté le )