Discussion:Église du Sacré-Cœur de Tsedjrong

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Anachronisme[modifier le code]

En 1952, il est un peut tôt pour la révolution culturelle, qui ne commence que 14 ans plus tard, alors comment peut-on lire ceci sans sourciller :
En 1952, de jeunes religieuses tibétaines sont forcées à se marier[1].

  1. Le Figaro magazine, numéros 1106 à 1113, 2002 : « Des religieuses obligées de se marier En 1952, à Tsé Zhong, de jeunes Tibétaines qui avaient pris le voile ont été pourchassées par les gardes rouges au moment où la Chine revendiquait sa souveraineté sur le Tibet. Forcées de se marier, certaines d'entre elles - comme Ma Li Maria, 82 ans, ci-dessus avec son mari - sont aujourd'hui arrière-grands-mères. »

Des gardes rouges en 1952, c'est un scoop ! (ou des voyageurs spatio-temporels...).--Elnon (d) 11 décembre 2012 à 17:02 (CET)[répondre]

La source est neutre. Il s'agit très probablement d'une confusion entre les gardes rouges de la révolution culturelle et les soldats de l'armée populaire de libération. J'ai supprimé du texte ce qui me semble être des points de vue, pour ne laisser que les faits dont il est question. --Rédacteur Tibet (d) 12 décembre 2012 à 12:13 (CET)[répondre]
C'est extraordinaire, vous prenez ce qui vous arrange et vous laissez le reste. Et vous transformez les prétendus gardes rouges en soldats de l'armée populaire de libération ! Sans commentaire. --Elnon (d) 12 décembre 2012 à 13:03 (CET)[répondre]
Selon l'article du Figaro, il s'agit d'un témoignage sur 1952. Il n'y avait plus de religieuses durant la révolution culturelle, comme en atteste le reste de l'article. En 1952, comme vous le sous-entendez vous-même, il n'y avait pas de garde rouge. Il s'agit donc de soldats de l'APL, je crois que la confusion existe. Remarquez qu'une adresse IP qui a peut-être l'article semble compléter ce témoignage. Je ne vois pas bien que faire d'autre que de supprimer ce qui n'est pas neutre, comme je l'ai fait. Que proposez-vous ? --Rédacteur Tibet (d) 12 décembre 2012 à 18:34 (CET)[répondre]
Sans réponse de votre part, et devant votre attitude de blocage imposant un tag "problème", j'ai recherché d'autres sources. Elles confirment ce que je dis ici. J'ai supprimé votre tag, qui semble vouloir imposer la suppression de cette source. Je trouve cela des plus étonnants, surtout quand on ne daigne pas s'expliquer en page de discussion... --Rédacteur Tibet (d) 12 décembre 2012 à 22:05 (CET)[répondre]
Je n'ai pas à discuter ad vitam aeternam avec vous sur ce photographe qui voit des gardes rouges en 1952, 14 ans avant la Révolution culturelle, et imagine que la Chine, la même année, cherche à établir sa souveraineté sur une province qui est déjà chinoise. On ne peut rien en faire (sinon peut-être rigoler un bon coup). C'est étonnant que cela ne vous apparaisse pas. La légende succincte et évasive de la photo que vous avez trouvée (Ma Li Maria, aged 82, and her husband Xu She Jen José, aged 81, in their home in Tse Jhong. A former nun, Marie was forcefully defrocked by the communist regime) n'est pas en mesure de faire avancer les choses. Il faut trouver une autre source qui donne la période exacte où ces nonnes ont été obligées de renoncer à leur vœux et à se marier. --Elnon (d) 13 décembre 2012 à 00:00 (CET)[répondre]
Sans source contradictoire, votre obstination pose problème, car ce témoignage rapporté par ce photojournaliste est en accord avec la page. J'ai neutralisé le propos en ne conservant que les faits. On peut aussi donner le nom du photojournaliste en claire, et le nom de la Tibétaine. Cela vous conviendrait-il ? Merci d'adopter une attitude plus conciliante. --Rédacteur Tibet (d) 13 décembre 2012 à 11:54 (CET)[répondre]
N'inversez pas les rôles.
Maquiller les sources n'est pas une solution. La date qui est donnée est 1952, les responsables sont tantôt les gardes rouges (qui dans la réalité n'apparaissent pas avant 1966) tantôt le gouvernement communiste, il y a là des incompatibilités fondamentales qui font que l'on ne peut utiliser les affabulations d'un photographe qui se vautre dans l'anachronisme ou qui a mal interprété ce que lui ont dit les grands-mères tibétaines.
Pourquoi exclure 1966 au profit de 1952, pourquoi exclure les gardes rouges locaux (forcer des nonnes à quitter l'habit n'est-ce pas dans les cordes de ce gendre de révolutionnaires ?) au profit du régime communiste ? Dans le doute on s'abstient et on cherche une autre source, n'importe quel historien rejetterait des affirmations aussi farcies de contradictions et d'incertitudes. --Elnon (d) 13 décembre 2012 à 22:02 (CET)[répondre]
Comme vous y allez... Vous montez en épingle une "histoire" autour d'une banale erreur. Il me semble pour ma part que cette source est incontournable, car c'est l'un des rares reportages de journaliste sur les chrétiens oubliés du Tibet. La source comporte de plus un témoignage. --Rédacteur Tibet (d) 13 décembre 2012 à 22:46 (CET)[répondre]
Je ne mets en question qu'une phrase qui accumule quelques perles notables et ne vous suggère rien d'autre que de mettre prudemment cette phrase en suspens jusqu'à ce que d'autres sources permettent de tirer l'affaire au clair. Mais vous tergiversez et le résultat est là, une interminable page de discussion. Pour moi, cela suffit. --Elnon (d) 14 décembre 2012 à 00:10 (CET)[répondre]