Discussion:Électronégativité

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je ne le sais pas mais j'aimerais bien qu'il soit question de l'unité ou de son abscence.Ca me parait important. [De Volthertz le 18 janv 2009]

Ce site est extremement merveilleux [De 69.158.79.136 le 26 oct 2004]

Merki ! Stéphane 13 décembre 2005 à 09:56 (CET)[répondre]

Déplacement de la demande de fusion.

À fusionner dans la page électronégativité, transformer électronégatif en redirect. Les deux articles sont assez courts. K!roman | ☺‼♫♥☻ 8 décembre 2005 à 20:00 (CET)[répondre]

Voila, c'est fait. Stéphane 13 décembre 2005 à 09:57 (CET)[répondre]

Il m'a paru intéressant de donner les différentes définition (Pauling, Mulliken, Allred et Rochow, Par) ainsi que d'évoquer le principe d'égalisation des électronégativité (Sanderson, Science 1951). --Silvi 4 janvier 2006 à 19:00 (CET)[répondre]

échelle de Mullikan[modifier le code]

soit l'électronégativité d'un atome X.

avec [De Electonet le 17 nov 2006]

Je ne comprends pas[modifier le code]

"En chimie, l'électronégativité d'un élément est une grandeur qui caractérise sa capacité à attirer les électrons lors de la formation d'une liaison chimique avec un autre élément (À titre d'exemple, le fluor est l'élément le plus électronégatif tandis que le francium est le moins électronégatif). La différence d'électronégativité entre ces deux éléments détermine la nature de la liaison chimique : covalente lorsque la différence est faible (inférieure à 1,7), ionique lorsque cette différence est plus importante." C'est moi qui ai rajouté le francium dans la phrase. Il n'y avait donc qu'un seul élément, alors la phrase était " La différence d'électronégativité entre ces deux éléments détermine...". Je ne sais pas de quels deux éléments il est question. Merci de corriger, c'est important car même corrigé comme je l'ai fait, ces 2 phrases ne sont pas compatibles, mais dénuées de sens. [De Amoceann le 22 nov 2007]

Electronégativité et affinité électronique[modifier le code]

Je retire la phrase suivante de l'article (diff du 29 octobre 2006 à 19:17 Rixlaxtro) :

"Les gaz inertes n'ont pas d'électronégativité"

Car elle est erronée. D'une part l'appellation gaz inerte est désuète. Mais surtout il y a confusion entre électronégativité et affinité électronique. Les gaz rares n'ont pas d'affinité électronique, mais ils peuvent avoir une électronégativité (par exemple le Xénon et le Krypton figurent dans le tableau de ce même article) à partir du moment où ils forment des composés. Historiquement, on ne parlait pas d'électronégativité des gaz rares car on ne connaissait pas de composés chimiques de ces éléments. Aujourd'hui on connait certains de ces composés, il est donc licite de parler d'électronégativité, et de la mesurer. -- PetitDej (d) 10 novembre 2009 à 01:03 (CET)[répondre]

Electronégativité de PArr[modifier le code]

En fait ce n'est pas vraiment l'électronégativité de Parr. x=(-dE/dN) est 'électronégativité d'Izkowski et Margrave. Parr qui travaillait sur la signification d'un multiplicateur de Lagrange en DFT s'est apercu que ce multiplicateur était l'opposé de l'électronégativité de Izkowski et Margrave. [De 134.214.188.164 le 24 nov 2016]

Electronégativité de Parr, d' Izkowski et Margrave, et de Mulliken[modifier le code]

Il est à remarquer que l'électronégativité de Parr, x=(-dE/drho) avec rho la densité électronique, celle de Izkowski et Margrave x=-dE/dN et celle de Mulliken, x=0,5(I+A) avec I le potentiel de 1ere ionisatino et A l'electroaffinité sont reliées. En effet, l'application des différences finies sur celle d'Izskowski et Margrave donne celle de Mulliken. [De 134.214.188.164 le 24 nov 2016]

Egalisation de l'électronégativité[modifier le code]

A noter qu'il existe un principe d'égalisation de l'électronégativité. Lorsque deux atomes d'électronégativités différentes forment une liaison chimique, le plus électronégatif attire les électrons de la liaison à lui. Le moins électronégatif perd "ses" électrons. Durant ce processus, le plus électronégatif gagnant des électrons diminue son électrongativité. (dans un cas extrême on peut le considérer comme un anion moins électronégatif que l'atome neutre). Le moins électronégatif voit son électronégativté augmenter (cas extrême, on peut le considérer comme un cation). On obtient un équilibre ou les électronégativités sont égalisées. [De 134.214.188.164 le 24 nov 2016]

ːEn effet ce principe est la méthode de Sanderson, qui est déjà mentionné à l'article en deux lignes comme suitː Les électronégativités des atomes impliqués dans une liaison tendent à être égales (principe d'égalisation des électronégativités de Sanderson, 1951). L'égalisation des électronégativités est réalisée par le transfert de densité électronique vers l'atome le plus électronégatif. On pourrait aussi traduite la version plus détaillée avec références qui se trouve à l'article anglais - voir la section Sanderson electronegativity equalization. Dirac66 (discuter) 24 novembre 2016 à 15:25 (CET)[répondre]

La phrase suivante me semble incomplete. L'interêt principal de l'échelle de Mulliken s'est qu'il s'agit d'une échelle absolue alors que celle de Pauling est relative. En effet, pour établir l'échelle de Pauling, il faut donner à priori une valeur d'électronégativité à un atome et calculer les électronégativités par rapport à cette référence. L'intérêt de l'échelle de Mulliken, par rapport à celle de Pauling, est d'utiliser des grandeurs atomiques, indépendant de l'environnement chimique. Elle permet ainsi de déterminer l'électronégativité des gaz nobles, ce que Pauling n'avait pu faire. [De 77.204.154.171 le 26 nov 2016]

Contradiction voire erreur[modifier le code]

« La différence d'électronégativité entre ces deux atomes détermine la nature de la liaison covalente : liaison apolaire lorsque la différence est nulle ou faible, liaison polaire quand la différence est moyenne, et ionique quand la différence est tellement forte qu'un des atomes a attiré complètement, ou presque, les électrons de la liaison : les atomes sont devenus des ions et portent des charges électriques entières, ou presque. »

Ceci fait de la liaison covalente éventuellement une liaison ionique ! Pourtant les deux types de liaison sont différents et c'est bien d'ailleurs ce que l'on retrouve dans l'article sur la liaison covalente :

« Une liaison covalente est une liaison chimique dans laquelle deux atomes se partagent deux électrons (un électron chacun ou deux électrons venant du même atome) [...] »

« Au contraire des liaisons ioniques où les atomes sont liés par attraction coulombienne non-directionnelle, les liaisons covalentes sont fortement directionnelles. »

« Une liaison covalente est une liaison dans laquelle deux électrons de valence sont partagés entre deux non-métaux. »

Cet article n'est vraiment pas clair !

JPhR (discuter) 2 mai 2022 à 18:10 (CEST)[répondre]

@JPhR: Oui, vous avez raison, merci. J'ai maintenant refait la phrase à l'introduction pour préciser que seuls les 2 premiers types de liaison sont en effet covalentes. Dirac66 (discuter) 27 mai 2022 à 01:37 (CEST)[répondre]

La formule d'Allred-Rochow semble éronnée.[modifier le code]

Je n'ai pas fait de cours sur cette formule et je ne possède pas de livres qui en discute, mais d'autres sites affirment qu'elle a une autre forme. Voir https://en.wikipedia.org/wiki/Electronegativity#cite_note-18 et https://chemistnotes.com/inorganic/electronegativity/. J'ai l'impression que la formule donnée est en réalité celle de la force entre un électron et l'atome et non pas l'électronégativité. VincentG1624 (discuter) 9 avril 2024 à 03:59 (CEST)[répondre]