Discussion:Affaire de Solages

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J'ai lu quelque part qu'il s'agirait (peut-être) d'un problème d'inceste entre le frère et la soeur...--Parisette 1 octobre 2006 à 00:08 (CEST)[répondre]

Titre de l'article[modifier le code]

Auguste Puis a dénommé cette affaire de lettres de cachet : Affaire de Solages.

H. Guilhamon, lui, l'a nommée "Affaire de Solages - N..." vraisemblablement par discrétion devant la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron où la famille de Barrau (de Carcenac-Salmiech) semble connue.

Sous l'Ancien Régime, Auguste Puis dit que cette affaire était connue sous le nom suivant "Dossier sieur et dame de Barrau née de Solages 1776-1782".

Cordialement. Iyy (discuter) 27 mai 2014 à 10:10 (CEST)[répondre]


=> Je voudrais faire remarquer qu'il y a une contradiction dans l'article : on apprend dans la biographie de Pauline qu'elle serait née en 1740 puis mariée en 1759 soit vers 19 ans et non 15 ans comme spécifiée un peu plus loin !


= "Subordination" de "filles et de femmes" : un terme discret,voire pudibond, pour (ne pas) dire "viols" ?

Il serait intéressant de connaître les sources de l'ouvrage de Nicole Castan car Auguste Puis et Gabriel Bernet s'appuient, eux, sur les archives de la Haute-Garonne et du Tarn. Aveyr12 (discuter) 1 septembre 2016 à 14:13 (CEST)[répondre]

L'origine de cette affaire[modifier le code]

Gabriel Bernet dans La dame de Barrau aux tiercerettes et le 14 juillet du comte de Solages écrit que le départ de cette affaire de lettres de cachet est la demande de madame de Barrau, à son frère le comte Hubert de Solages, de l'aider à quitter son mari. Ceci est la preuve que le mari de cette dame est à l'origine de son départ du domicile conjugal. Puis il est établi par les écrits d'Antoine Paulin de Solages, père de Pauline de Solages, que son gendre est bien à l'origine de l'arrestation de sa fille. Aveyr12 (discuter) 12 avril 2018 à 13:28 (CEST)[répondre]

Plus exactement Gabriel Bernet écrit que Pauline de Solages déterminée à fuir son mari dont elle se dit « victime de ses imaginations outrageantes » fit appel à son frère Hubert de Solages qui accourt, et trouve le moyen, au mois de mai 1765, de faire sortir sa sœur du château de Carcenac et qu'indigné de la conduite du comte, le marquis de Solages obtient du roi une lettre de cachet contre son fils qui est arrêté à Toulouse le 26 mai 1765. Il écrit aussi que le marquis de Solages "mettant à profit une lettre écrite par Charlotte au curé de Carcenac, parvient à obtenir un ordre du roi, à l'encontre de sa fille" et que deux ans après sa fugue elle est enfermée au couvent des religieuses de l'Isle sur le Tarn [1]. Voilà ce qu'on peut reporter sans travail inédit et sans interprétation personnelle. --Articleandrault (discuter) 17 avril 2018 à 00:15 (CEST)[répondre]

Preuve que cette affaire est dû à un membre de la famille de Barrau est que la dame de Solages a voulu fuir son mari à cause de son comportement et que ce dernier a circonvenu son beau-père. Aveyr12 (discuter)

Remaniement de l'article, phrases en double ou triple supprimées, cohérence de l'article revue[modifier le code]

J'ai revu l'article qui répétait plusieurs fois certaines informations, j'ai aussi revu la classification des causes et le RI qui était beaucoup trop important. Aveyr12 (discuter) 15 avril 2018 à 21:21 (CEST)[répondre]

Castan est de 1980 et Bernet de 1989. Aveyr12 (discuter) 17 avril 2018 à 13:05 (CEST)[répondre]

Suite remaniement de l'article[modifier le code]

J'ai complété par une synthèse plus compréhensible : posé les faits tels qu'indiqués précisément par les sources, fait la différence entre le fait déclencheur donné par les sources (l'enlèvement par Hubert de Solages de sa sœur Pauline de Solages) et les motifs officiels des lettres de cachet donnés par les sources : « pour cause connue au roi » pour Hubert de Solages et "lettre au curé de Carcenac qui sert de base à l'accusation" pour Pauline de Solages, ainsi que les motifs supposés également donnés par les sources. J'ai retiré des doublons et apporté des compléments sur l'épilogue. --Articleandrault (discuter) 16 avril 2018 à 22:01 (CEST)[répondre]

J'ai mis dans le RI la source la plus récente car les autres datent du début du 20e siècle ... J'ai d'autres corrections à faire Aveyr12 (discuter)

On ne met pas en exergue auteur spécifique dans un résumé introductif (et un interprétation de ses propos) Un résumé introductif doit résumer l'ensemble de l'article. --Articleandrault (discuter) 17 avril 2018 à 18:03 (CEST)[répondre]


Guerre d'édition non pertinente pour faire valoir un point de vue inédit[modifier le code]

Aveyr12 vos reverts à répétition dans le résumé introductif pour faire croire qu'un membre de la famille de Barrau serait à l'origine des lettres de cachet en plus d'être une interprétation erronée des sources est une guerre d'édition pour faire passer un point de vue inédit. Merci de cesser ce comportement non constructif.

Si vous avez un désaccord merci maintenant de passer par la PDD pour en discuter --Articleandrault (discuter) 17 avril 2018 à 18:39 (CEST)[répondre]

Bravo encore une GE !! Vous êtes content de vous j'imagine !! Aveyr12 (discuter) 17 avril 2018 à 19:53 (CEST)[répondre]

Ouvrage d'Auguste Puis[modifier le code]

Ce n'est pas parce que Bernet est le plus récent que l'on ne peut pas mettre d'autres sources. Il y en a d'autres et des plus légères comme Castan et les autres qui parlent d'une hypothèse d'inceste qui n'est ni mentionnée par Puis ni par Bernet (ça fait plus sensationnel). Je vous rappelle que vous avez mis une citation d'Auguste Puis dans l'introduction de l'article ... Merci donc de respecter mes sources pour éviter l'intervention des administrateurs contre nous deux. Aveyr12 (discuter) 2 juin 2018 à 22:28 (CEST)[répondre]

  • Votre report des informations données par A Puis ne pose pas de problème tant qu'il n'est pas erroné : A Puis n'écrit nulle part qu'une lettre de cachet fut obtenu par le marquis de Solages et son gendre mais que Pauline de Solages "est arrêtée en même temps que son frère sur l'ordre de son père et de son mari". D'après G Bernet Pauline de Solages qui avait trouvé refuge dans le château de son père en Albigeois, est enfermée à son tour en 1767, deux ans après son enlèvement, dans un couvent de religieuses à L'Isle-d'Albi, à la suite d'un ordre du roi obtenu par son père le marquis de Solages.
  • Merci à vous de ne pas continuer à contribuer sur cet article sous plusieurs identités.
--Articleandrault (discuter) 2 juin 2018 à 23:24 (CEST)[répondre]

J'ai mis la citation de Puis comme ça pas de soucis. Merci à vous de ne plus supprimer mes sources (j'ai bien remarqué que vous ne disposez pas de la source Auguste Puis). Aveyr12 P. S. : C'est moi et moi seul, je n'ai aucun problème avec cela car c'est public. Aveyr12 (discuter) 2 juin 2018 à 23:44 (CEST)[répondre]

Revue L'Auta[modifier le code]

L'Auta n'est pas le nom d'un ouvrage ou d'un article mais celui de la "revue" d'une société toulousaine : "Les toulousains de Toulouse et amis du vieux Toulouse". Aveyr12 (discuter) 8 juillet 2018 à 15:02 (CEST)[répondre]

Affaire familiale[modifier le code]

J'ai écrit "mettant en scène deux familles " car il me semble bien que cette affaire dépasse le frère et la sœur de Solages. Celui qui semble "tirer les ficelles" de cette machination est Jean Antoine de Barrau, c'est lui qui circonvient le marquis et même le chevalier de Solages. Auguste Puis fait mention d'un conseil de famille, d'héritage, de revirements (le marquis et le chevalier de Solages). Aveyr12 (discuter) 25 octobre 2018 à 13:17 (CEST)[répondre]