Discussion:Arthur Hugenschmidt

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Controverse sur la paternité d'Arthur C. Hugenschmidt[modifier le code]

Bonjour,

A partir du moment où elles s'appuient sur des références bibliographiques clairement identifiées, toutes les informations susceptibles de compléter (ou, de nuancer) le propos de l'article sont les bienvenues. Pour la partie que j'ai rédigée, j'ai indiqué toutes mes sources dans les notes et la bibliographie. Quand l'ouvrage que vous avez évoqué paraîtra, il pourra bien entendu être cité et utilisé.

Pour ce qui est du fond, à savoir la paternité d'Arthur Hugenschmidt, je constate, indépendamment de l'affirmation de Duroselle, plusieurs faits :
  • les relations amicales durables entretenues par cet homme avec l'épouse et la maîtresse de l'empereur (assez étonnantes s'il ne s'agissait que du fils d'un serviteur) ;
  • la formation (de chirurgien-dentiste) transmise par un proche de la famille impériale, Evans, considéré comme un homme de confiance ;
  • la ressemblance physique, manifeste sur la photographie.

Au vu des informations qui sont à ma disposition (et qui, effectivement, mériteraient d'être complétées), l'attribution de la paternité du personnage à Napoléon III me semble dépasser la simple « rumeur ». Quoi qu'il en soit, si vous disposez de livres ou d'articles remettant en cause cette attribution, leur mention sera la bienvenue.

Cordialement,

*joSpe* →me contacter 18 février 2011 à 08:34 (CET)[répondre]

Il n'y a aucune controverse au sujet de la paternité de Napoléon III. Je suis persuadé que la comtesse et l’Impératrice connaissaient les circonstances de la naissance d’Arthur Christophe HUGENSCHMIDT --83.198.106.40 (d) 23 janvier 2013 à 21:21 (CET)[répondre]

Dr Arthur C. HUGENSCHMIDT, maternité[modifier le code]

On ne peut se faire une idée exclusivement avec J-Baptiste Duroselle, il convient d’écouter Alain DECAUX et de suivre les investigations d’Eddie de Tassigny.

En 1938 déjà, dans son Volume 101, L'intermédiaire des chercheurs et curieux, posait l'équation : Existe-t-il des documents prouvant que le docteur était vraiment un fils de Napoléon III et de la comtesse Castiglione et non des époux Hugenschmidt-Hauger ?

Le 6/2/1989, j’ai contacté le QUID. Leur article a été modifié.

Dans son ouvrage « La comtesse de Castiglione » chez Emile-Paul Editeur 1912 ; Frédéric Lolliée nous révèle que la comtesse s’était entourée pour éviter les maternités.

En 1964, Alain DECAUX nous invite à faire connaissance avec La Castiglione, dame de cœur de l'Europe D'après sa correspondance et son journal intime inédits, Librairie Académique Perrin. Que nous apprend-t-il ?

La comtesse de Castiglione ne voulait pas de 2ème maternité.

D’autre part, en 1862 :

a) elle élevait Georgio

b) elle voyageait beaucoup (page 206 à 211)

c) elle recevait ses admirateurs.

Et il précise, page 389 « il me semble exclu que Hugenschmidt soit le fils de Napoléon III et de la comtesse de Castiglione ».

Alain DECAUX a fait un travail de bénédictin. Il faut le dire et le lire n’est-ce pas ?

De même, Jean AUTIN a été avisé le 30/6/1990, il venait de publier : l'impératrice Eugénie : ou l'empire d'une femme, Paris, Fayard, 1990, 1re éd., 420 p.

Et alors… sur l’écran du passé, Eddie de Tassigny dans la Descendance de Napoléon III, de 2011, a incorporé les documents sortis de l’obscurité où on les tenait caché. Il a révélé page 163 que la mère du Dr Arthur HUGENSCHMIDT était Elisabeth HAUGER :

- a) page 166, en 1893, le docteur a 30 ans, il a conçu une sépulture familiale, au Cimetière Montparnasse 11ème ligne, 10ème division. (documents déposés aux Archives Départementales 68 de Colmar)

- b) page 161, l’acte de baptême (déposé aux Archives Départementales 68 de Colmar)

- c) page 177 il a publié le testament qui comporte 3 passages indicatifs (déposé aux Archives Départementales 68 de Colmar)

- d) et page 165, aborde les conditions des obsèques en janvier 1915 soit l’acte de décès d’Elisabeth HAUGER, son rapatriement, son inhumation, ses funérailles (déposé aux Archives Départementales 68 de Colmar) voir :

1) Le Gaulois du 19/1/1915 page 3, 3ème colonne, rubrique « Nécrologie » 7ème paragraphe http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5364078/f3.zoom.r=hugenschmidt.langFR Nous apprenons la mort de Mme Hugenschmidt, qui est décédée à Bâle, le 10 janvier. Elle était la mère du docteur Hugenschmidt

2) Le Temps du 19/1915 page 3, 6ème colonne, rubrique « Nécrologie » 6ème paragraphe http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k242058n/f3.zoom.r=hugenschmidt.langFR Nous apprenons la mort de Mme veuve Hugenschmidt, mère du docteur Hugenschmidt, décédée à Bâle le 10 janvier.

3) Le Figaro du 18/1/1915 page 3, 4ème colonne, rubrique « deuil » 6ème paragraphe http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2905639/f3.image.pagination Nous apprenons la mort de Mme veuve Hugenschmidt, mère du docteur Hugenschmidt, décédée à Bâle le 10 janvier.

--Hannetelle (d) 29 avril 2013 à 15:27 (CEST)--Hannetelle (d) 20 février 2013 à 22:42 (CET)[répondre]

Arthur C. Hugenschmidt, la famille[modifier le code]

Eddie de Tassigny situe page 161, les origines de la famille à Schlierbach et dévoile les arbres généalogiques HUGENSCHMIDT page 184 et HAUGER page 185.

Christophe HUGENSCHMIDT a vraisemblablement quitté Schlierbach entre 1847 et le mariage d’A-Marie Hugenschmidt le 10/12/1851. A-t-il rejoint ou est-ce que Jacques MULLER de Sausheim l'a rejoint ?

- 1) En 1893, à 30 ans, Arthur érige une surprenante sépulture pour sa famille (page 166 La descendance de Napoléon III) et … 7 ans plus tard, la Comtesse a dû se contenter d'une simple tombe, certes au Père Lachaise.

- 2) Si Arthur n’était pas né dans le couple Elisabeth HAUGER - Christophe HUGENSCHMITT, il n'aurait pas été le compagnon de jeu du Prince Impérial, il n'aurait pas été en Angleterre, à la villa Cyrnos, il n'aurait pas connu l'Impératrice, le Dr Evans.

--83.198.180.110 (discuter) 10 août 2013 à 23:12 (CEST)--83.198.106.40 (d) 23 janvier 2013 à 21:31 (CET)[répondre]

Ineptie de Tassigny : il n'a jamais été le compagnon de jeu du Prince Impérial (bien plus âgé et dont la bande - restreinte - de camarades est connue).

Le Dr Arthur C. HUGENSCHMIDT et Clemenceau[modifier le code]

Mission du Président du Conseil M. Clemenceau à l’étranger en janvier 1918 (Angleterre).

"Le destin de l'Alsace a tenu à ce moment-là à la seule mémoire d'un dentiste parisien : le Dr Hugenschmidt ... " d'après Raymond Fischer dans son ouvrage de 588 pages paru en 2007 : L'Alsace De Bismarck, 1870-1918. Un Demi-Siècle D'Annexion Prussienne Ed Muller.

Pourquoi, Wikipédia relativise-t-il le rôle du Dr Arthur C. HUGENSCHMIDT dans l'interpellation de Clemenceau ? D'après "Lettres à une amie" Gallimard 1970, Clemenceau parle de HUGENSCHMIDT aux pages 202, 203, 204, 342, 343, 345, 346, 347, 452, 457, 462, 463, 464, 465, 466, 507, 546, 553 ,555, 557, 559, 560 et 561...

Page 183 de la Descendance de Napoléon III, Eddie de Tassigny a voulu indiquer que la dernière pensée du Dr Arthur HUGENSCHMIDT, dans son codicille du 4 sept. 1929, a été pour les sœurs de la clinique Bizet. En effet Clemenceau y a été soigné par sœur Theoneste (née le 26 sept. 1875 à Schaffhouse sur Zorn en Alsace sous le nom d'A-Marie HEIM) chevalier LH (JORF du 27/2/1924 page 2029)

Le quotidien l’Alsace du 13/1/2013 : http://www.lalsace.fr/actualite/2013/01/13/au-depart-il-s-agissait-d-un-passe-temps-genealogique, outre le portrait du Docteur Arthur C. HUGENSCHMIDT, publie sa photo en compagnie de Clemenceau.

Que faut-il retenir : Le Dr Arthur C. HUGENSCHMIDT n’a pas fini d’étonner, la science donnera un jour son avis. --83.198.106.40 (d) 23 janvier 2013 à 21:34 (CET)[répondre]

Le Dr Arthur C. Hugenschmidt et la Comtesse[modifier le code]

Dans son ouvrage « La comtesse de Castiglione » chez Emile-Paul Editeur 1912 ; Frédéric Lolliée divulgue la lettre suivante (le Dr Arthur C. Hugenschmidt a 37 ans) « A propos de notre pauvre Comtesse, de la marche de sa maladie, le pronostic est assez sombre. L’affection ne peut qu’être progressivement envahissante, sans grand espoir d’arrêt. Un déplacement de la colonne vertébrale qui peut survenir à l’occasion d’un brusque mouvement peut amener à tout instant, soit une paralysie de la moitié inférieure du corps ou sa mort subite. Son amaigrissement rapide survenu depuis quelques mois malgré une suralimentation (quoi qu’elle prétende ne rien manger) est très défavorable. Croyez cher Monsieur je vous prie à mes plus dévoués sentiments. »

Qu’est-ce qui justifie la proximité avec le Dr Arthur C. HUGENSCHMIDT « Lenfant » ?

1) : la comtesse était une cliente le Dr Thomas Wiltberger Evans.

2) : en 1964 dans La Castiglione, dame de cœur de l'Europe D'après sa correspondance et son journal intime inédits, Librairie Académique Perrin ; page 380, Alain Decaux nous rapporte « Son médecin, le docteur JANICOT, la faisait veiller chaque nuit par un interne. Longtemps, ce furent les docteurs Hugenschmidt et Sebileau » Wikipedia a d'ailleurs remarqué que l’acte de décès a été rédigé seulement le 29 novembre 1899, soit le lendemain du jour du décès, sur la déclaration des docteurs J.-Pierre JANICOT et Arthur Christophe HUGENSCHMIDT « amis » de la défunte.

3) : la correspondance de la comtesse, relative aux funérailles de Christophe HUGENSCHMIDT ; reflète une attitude empathique.

Qu’il me soit permis de signaler qu’Eddie de Tassigny parle de la comtesse de la page 278 à 280. Si Wikipédia n’a pas lu Eddie de Tassigny, il ne faut pas dissuader nos lecteurs de le lire.

Dans Clemenceau, Librairie Arthème Fayard, 1988 ; au vu des œuvres précédentes, on peut s’interroger pourquoi, J-B Duroselle - sans y ajouter des justifications - colporte une rumeur de l'entourage de Clemenceau ? Ne soyons pas étonnés : pendant et après la guerre franco-prussienne, la comtesse s’est plutôt préoccupée de l’Ermitage de Passy, que… d’Arthur C. HUGENSCHMIDT !

Nicole G. Albert dans La Castiglione Vies et Métamorphoses Ed Perrin, 2011 précise page 232 « Robert de Montesquiou, l’adulateur transi que la comtesse avait baptisé « Hortensia bleu », ne l’aura pas vue vivante mais, grâce au Dr Hugenschmidt, est introduit pour la contempler morte, avant la mise en bière. Se trouvent là une dizaine de personnes : un représentant de l’ambassade italienne, maître Desouches-l’avoué de la Castiglione qui se révélera pour Montesquiou un utile auxiliaire dans ses futures glanes et recherches-, le financier Alfred Mayrargues, Braquessac, hôtelier et propriétaire de Voisin, quelques fournisseurs et domestiques. Dans son recueil les Paroles diaprées (1910), Montesquiou composa en guise de dédicace des poèmes personnalisés destinés aux exemplaires de ceux qui jouèrent un rôle dans son admiration et ses recherches sur la Castiglione. Me Guillaume Desouches, qu’il rencontra à cette occasion, le Dr Hugenschmidt (« Je vous dois d’avoir vu la Morte/Dont me subjuguèrent les traits/Sans que j’aie ou franchi sa porte/Ou contemplé que ses portraits… » --Hannetelle (d) 29 avril 2013 à 15:39 (CEST)[répondre]

La Comtesse appelait Arthur Hugenschmidt "l'enfant". Petit Saxe désigne son ami le Dr Fernand Widal (1862-1929) dont le père était originaire de Wintzenheim (68). Baby, c’est ainsi que la Comtesse appelait bien son fils Georgio, qui devait décéder à 24 ans.

Il ne s'agissait que du fils de serviteurs (valet de pied et lingère). Arrêtons-nous un instant sur leurs origines. Comment aurait-on pu désigner Arthur, autrement dans ce milieu de laquais, domestiques, valets (dont certains étaient alsacien-lorrains)? Arthur est bien né chez eux, ou parmi eux ! Enfin, pourquoi oubliez-vous qu’il se prénomme Christophe, comme son père. --Hannetelle (d) 29 avril 2013 à 15:43 (CEST)[répondre]

Le destin de mère[modifier le code]

Au décès de Christophe HUGENSCHMIDT, sa veuve a tout quitté et, à 89 ans, le 19 sept. 1914, elle s’est réfugiée des revers de l'histoire, à Bâle. (Archives Départementales 68 de Colmar). Les circonstances auraient plaidé pour des obsèques en catimini. Le rapatriement de la dépouille s'est réalisé avec célérité. Décédée en pleine guerre, le 10 janvier derrière la frontière bouclée par les hostilités, à plus de 500 km, elle est inhumée le dimanche 17 janvier1915. Sollicitude sans commune mesure avec le 28/11/1899 (décès de la comtesse de Castiglione) "La descendance de Napoléon III" d'Eddie de Tassigny nous en dit d'avantage page 165.

Alain Decaux précise page 389 Je me bornerai à conclure par une constatation que me fit pour moi Me Kandelafe : « Le docteur Hugenschmidt, me dit-il, porta toujours le plus grand respect et la plus vive affection à Mme Hugenschmidt, sa mère légale. Bien des bruits circulaient à son égard. Il ne les a jamais démentis, quels qu’ils fussent et m’a déclaré en propres termes que cela l’amusait » Pour être « amusé » encore davantage, le docteur Hugenschmidt n’aurait-il pas brouillé volontairement les pistes qui conduisaient au secret de sa naissance.

Nous avons perdu la trace d’Elisabeth HAUGER de 1893 à sept. 1914. Une piste semble s’ouvrir en Haute Alsace avec son amie Hortense ERNST. --83.198.106.40 (d) 23 janvier 2013 à 21:43 (CET)[répondre]

Les cabinets dentaires[modifier le code]

Arthur C. HUGENSCHMIDT était docteur en médecine bien avant 1894 où il était élève à l’Institut Pasteur jusqu’en1896.

Les termes « successeur du Dr Thomas Wiltberger Evans «  ont été hâtivement compris par certains dans le sens que le Dr Arthur C HUGENSCHMIDT aurait repris le cabinet dentaire situé 15 rue de la Paix !

Consultons et constatons qu’il ne s’est jamais établi au 15 r Paix ; démonstration :

EVANS (TW) 1888 Guide Rosenwald : Page 82 : 15 r Paix ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57523956/f99.image.r=evans.langFR

1893 Guide Rosenwald : page 67 : 15 r Paix ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5752034g/f73.image.r=evans.langFR

HUGENSCHMIDT 1893 Guide Rosenwald : page 47 odontologie 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5752034g/f53.image.r=hugenschmidt.langFR et page 72 mal de la bouche 23 bd Malesherbes ; voit : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5752034g/f78.image.r=hugenschmidt.langFR

1894 Guide Rosenwald : page 46 odontologie 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5752084c/f55.image.r=hugenschmidt.langFR et page 73 mal de la bouche 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5752084c/f84.image.r=hugenschmidt.langFR

1895 Guide Rosenwald, page 47 odontologie 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57500269/f51.image.r=hugenschmidt.langFR et page 73 mal de la bouche 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57500269/f78.image.r=hugenschmidt.langFR

1896 Guide Rosenwald, page 74 mal de la bouche 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57521839/f78.image.r=hugenschmidt.langFR

1897 Guide Rosenwald, page 213 mal de la bouche 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5749978n/f223.image.r=hugenschmidt.langFR 1898 Guide Rosenwald, page 45 odontologie 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5752062s/f54.image.r=hugenschmidt.langFR

1900 Guide Rosenwald, page 45 odontologie 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5748374m/f49.image.r=hugenschmidt.langFR

1901 Guide Rosenwald, page 46 odontologie 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57521461/f55.image.r=hugenschmidt.langFR

1904 Guide Rosenwald, page 129 odontologie 23 bd Malesherbes ; voir : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5749958w/f142.image.r=hugenschmidt.langFR

Le 10/1/1929 dans le testament, il est question du cabinet 23 bd Malesherbes.

Et, le Dr Léon Monier est cité à la page 183 dans la La descendance de Napoléon III --Hannetelle (d) 24 janvier 2013 à 16:06 (CET)--83.198.106.40 (d) 23 janvier 2013 à 21:47 (CET) --83.198.106.40 (d) 23 janvier 2013 à 22:08 (CET)[répondre]

J-B Duroselle[modifier le code]

Clemenceau, Librairie Arthème Fayard, 1988

1) Page 904 paragraphe Belébat

Clemenceau accueillait aussi… Venait aussi le docteur Badolec, qui l’avait soigné au Caire, ainsi que son dentiste Hughenschmidt, qu’il tenait en très haute estime pour sa science et qui se trouvait être le propre fils naturel de Napoléon III et de la comtesse de Castiglione.

2) J-B Duroselle a été contacté le 31/7/1990, voici sa réponse : "Monsieur, je vous remercie vivement des documents que vous m'avez envoyé sur Arthur Hugenschmidt. J'ai rapporté dans mon texte ce que tout le monde disait dans l'entourage de Clémenceau ..." cette correspondance a été déposée au CDHF de Guebwiller.

3) J-B Duroselle relate l’entourage « journalistique » de Clemenceau. Comme lui, bizarrement, cet entourage n’a pas lu la presse de janvier 1915 (nécrologie).

4) J-B Duroselle nous donne un cours sur les noms page 12 : "l'orthographe des noms propres ne s'est vraiment fixée qu'après 1850" Sans justification, J-B Duroselle malmène le nom Hugenschmidt en l'affublant d'un 3ème h : Hughenschmidt.

a) paradoxe, Clemenceau en dédicaçant sa photo, utilise l’orthographe usuel « Au docteur Hugenschmidt amical souvenir ». (Archives Départementales du Ht-Rhin à Colmar)

b) nous savons tous que Arthur C. avait rédigé des ouvrages médicaux qu'il signait, qu'il figurait fréquemment dans le Figaro, enfin sa tombe comporte une épitaphe.

5) J-B Duroselle n'a pas lu l'article du 3 octobre 1931 dans le quotidien "Colmarer Neueste Nachrichten"

--83.198.180.110 (discuter) 10 août 2013 à 23:20 (CEST)[répondre]

Texte en gras== Les élucubrations d'un ouvrage fort cher, pour un simple "annuaire" ==

D'un autre côté, Tassigny (qui ne s'est pas gêné de repomper, sans le citer, le travail d'autrui ...) indique que le corps d'Elisabeth Hauger a été ramené à Paris en passant la frontière à Hésingue... en 1915. Hésingue est en Alsace, donc côté allemand. En pleine guerre de tranchées... C'est donc un non-sens historique qui donne pour le moins à son récit un certain manque de crédibilité !

De même, il écrit que la photo du soi-disant enfant du Prince Impérial en Suisse ressemble fortement au portrait du Prince Impérial, alors qu'au contraire c'est plutôt l'inverse : point de ressemblance du tout.

Enfin il se trompe sur l'identité de l'un des valets de Napoléon III, qu'il confond avec son fils (qui lui aurait alors été en fonction ... alors qu'il est encore enfant, ispo facto). Cela n'est pas très sérieux ...

Permettez-moi de vous dire : je ne vous suis (suivre) pas : Le sujet de Wikipédia est Arthur Christophe Hugenschmidt (1862-1929) et non un ouvrage qu'on a mal compris. Dans ce cas il est possible de relire ou de contacter l'auteur. Celui-ci vous y invite à la page 388.

Sépulture de la famille Hugenschmidt[modifier le code]

Etant intéressé par la discussion, et afin d'y voir plus clair, je m'interroge sur ce qu'était vraiment la sépulture de la famille Hugenschmidt, du cimetière du Montparnasse. Certains parlent d'une épitaphe. Pourriez-vous donnez, s'il vous plait, le texte exact de cette épitaphe. Une photo du monument serait également appréciable afin que les lecteurs puissent se faire une idée. L'ensemble des différentes argumentations me paraissant pour le moment bien léger, si vous consentiez à éclairer ma lanterne avec ces quelques éléments, vous m'en verriez fort aise. Je vous remercie.

Montparnasse[modifier le code]

La sépulture de la famille Hugenschmidt a été édifiée par le Dr Arthur Christophe Hugenschmidt en 1893. L’épitaphe est la suivante : - Famille Hugenschmidt - Christophe Hugenschmidt 1826-1893 - Mme Vve Hugenschmidt née Elisabeth Hauger 1825-1915 - Docteur A Hugenschmidt 1862-1829 Explication : Hugenschmitt J-B (ancien cuirassier de la Garde Impériale et oncle d’Arthur C. Hugenschmidt) est décédé à Mulhouse en février 1893. Christophe Hugenschmidt (1826-1893) employé de la Maison de l’Empereur, est décédé en mai 1893 à Paris. Le grand-père Christophe Hugenschmidt (1803-1878) est décédé à Mulhouse. L’arrière-grand-père Christophe Hugenschmidt (1774-1830) est décédé à Ottmarsheim.--83.205.171.160 (discuter) 5 novembre 2016 à 23:46 (CET)[répondre]

la lingére la comtese et l'impératrice l'enfantpar Sampiero Sanguinetti 1 volume edition le Charmoiset[modifier le code]

Dans cet opuscule, illustré de nombreuses photographies prises par Arthur Hugenschmidt on ne peut qu'être intrigué par la ressemblance entre Arthur et le Prince Impérial. L'argumentaire développé concerne autant la paternité de Napoléon III que la maternité, moins argumentée, de la Comtesse de Castiglione. L'auteur, dans son avant propos, semble avoir eu accès à des archives "jusque là inconnues des historiens". Dans le chapitre des remerciements apparait le nom de André Hugenschmitt " pour les nombreux et précieux renseignements qu'il m'a fournis à la suite de ses propres recherches". La seule certitude serait de pouvoir faire une recherche ADN... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A01:CB06:3FB:6100:5C29:F22B:D06F:76C (discuter), le 26 février 2018 à 18:47 (CET)[répondre]

Réponse : l'analyse ADN est l'ultime processus. En effet nous savons que ce n'est que la rumeur qui colporte que la comtesse est la mère (sans être enceinte et sans avoir accouchée) D'autre part l'ouvrage L'Enfant nous indique qu'Elisabeth Hauger épouse Hugenschmidt qui avait eu 2 enfants, était interdite à la cour. Pourquoi ? Une autre approche, nous indique que seul Arthur Christophe Hugenschmidt parmi les descendants de Napoléon III, a bénéficié de la proximité de l'Impératrice. Vous qualifiez l'ouvrage d'opuscule ; vous auriez sans doute souhaité y découvrir les deux mères. Tout le monde connait la comtesse sauf sa supposée maternité clandestine. La disparition d'Elisabeth Hauger figure dans 3 journaux de janvier 1915 et personne ne l'a remarquée. --2A01:CB0D:2A:9600:1498:1247:73B2:BC3E (discuter) 13 mars 2018 à 21:27 (CET)[répondre]