Discussion:Asger Jorn

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Entre autre, une figure fondatrice de l'Art urbain[modifier le code]

Du coté de l'oeuvre, les compositions d'affiches lacérées dont : Roi nègre tirant la langue devant les Pas-de-Calais, décollage, 1968, Nationalgalerie, Berlin On ene va évidemment pas l'intégrer au nouveau-réalisme ! En revanche, impossible de ne pas le mettre, en avant de l'IS, au premier plan de ce qui se définit comme art urbain. --Franck Slama (d) 1 février 2011 à 10:17 (CET)[répondre]

L'orientation dans la pensée de Jorn[modifier le code]

Dans le numéro 5 d’Internationale situationniste (décembre 1960) Asger Jorn fait une critique intransigeante de son œuvre picturale propre. Pour dépasser l’éclectisme de son époque, il fait valoir le recours à la topologie, «Ce qui manque aujourd’hui c’est une pensée, une philosophie et un art qui se conforment à ce qui est projeté dans la topologie…». En référence à L’art et l’Homme de René Huygues,  il reprend l’opposition entre la pensée géométrique de la Grèce antique et celle topologique des anciennes Scandinavie et Irlande (dont la source est en fait dans la thèse de Worringer). A partir de là, il établit une généalogie entre l’entrelacs viking et Finnegans wake de James Joyce.

Ainsi, d’intuition il préfigure les cogitations de Lacan en son Séminaire sur Joyce, Le sinthome ( 1975-1976), et ce qui s’en suivit, sa préface au catalogue de l’exposition Rouan du musée Cantini de Marseille (1978), puis le texte de Hubert Damisch La penture est un vrai trois (1983) .

88.180.123.12 (discuter) 11 mai 2024 à 14:52 (CEST)[répondre]