Discussion:Benoît-Joseph Marsollier

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Base César et date de création de Nina[modifier le code]

Bonjour,
les écrits de la base César concernant les représentations de Nina ou La Folle par amour sont énigmatiques :

  1. à Dijon, la référence (pour partie erronée) donne l’année 1786 qui doit être retenue, mais rien n’est précisé quant au mois[1]. Ainsi bien que Dijon figure en tête de la liste des lieux ayant accueillis cette pièces rien n'indique qu'il y ait eu création dans cette ville.
  2. à Rouen, la base ne donne aucune référence quant mois de « mars » (1786) qui est retenu. Ceci ferait de cette date celle de la création de l’œuvre – des représentations privées à des dates antérieures sont connues et la représentation au public parisien est seulement du 15 mai 1786 - Or tous les ouvrages retiennent pour Rouen une première représentation le 15 octobre 1786[2].

Ainsi, la note concernant Nina

« Représentations antérieures probables à Dijon et Rouen selon la base César. »

portée sur une édition de cet article est supprimée, jusqu’à référence lui donnant crédit.

Cordialement. 6PO (discuter) 19 novembre 2013 à 02:29 (CET)[répondre]

  1. L. Lex, « Les premières années du théâtre de Mâcon : 1772 - 1782 », Annales de l'Académie de Mâcon : société des arts, sciences, belles-lettres et d'agriculture de Saône et Loire, Mâcon, Académie de Mâcon, 3e série « tome 6 »,‎ , p. 69 (ISSN 09806032[à vérifier : ISSN invalide], lire en ligne).
  2. Peut ainsi être cité : Joann Élart, Catalogue des fonds musicaux conservés en Haute-Normandie : Bibliothèque municipale de Rouen, vol. 1, t. 1 : Fonds du Théâtre des arts (XVIIIe et XIXe siècle), Rouen, Publications de l'Université de Rouen, coll. « Patrimoine musical régional » (no 323), , LXXII-465 p., 1 vol. ; 30 cm (ISBN 2-87775-333-6), « 558 [Nina ou la Folle par amour », p. 246.

Marsollier : « avocat au Parlement » ?[modifier le code]

Bonjour,
parmi les fonctions de Benoît-Joseph Marsollier il est écrit sur l’article de Wikipédia : « Il aurait été par ailleurs avocat au Parlement. ».
Cette assertion ne semble présente que sur l’ouvrage de Pierre Boulanger[1]. Il est possible que cet auteur ait souhaité « simplifier » la fonction exacte de Marsollier « Conseiller à la Cour des Comptes, Aides et Finances de Montpellier[2] ».
Toujours à propos de cette même expédition, l’auteur emploi le mot « pétard[1] », qui ne figure pas dans le compte-rendu de l’expédition[2], plutôt que « mine » employé par Marsollier.
Il semble donc que Boulanger ait voulu simplifier le récit de l'exploration pour le rendre intelligible même aux non initiés au risque de quelques approximations incluant une fonction non établie.
Sauf référence contraire, cette fonction est supprimée de Wikipédia.
Cordialement. 6PO (discuter) 23 novembre 2013 à 17:23 (CET)[répondre]


  1. a et b Pierre Boulanger (préf. Guy de Lavaur), Grottes et abimes : ou les ténèbres conquises, Paris, Nouvelles Éditions latines, , ,223, In-16° (19 cm) (BNF 32930206), partie 1, « Quelques étapes », p. 27.
  2. a et b Benoît-Joseph Marsollier des Vivetières, Description de La Baume ou Grotte des demoiselles, à Saint-Bauzile, près de Ganges, dans les Cévennes, s.l., s.n., , 24 p., In-8° (BNF 30891438, lire en ligne).