Discussion:Bernard Pivot

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2 octobre 2004[modifier le code]

S'agit-il bien de Jean-Jacques Servan-Schreiber (groupe Express) ou bien plutôt de son frère Jean-Louis Servan Schreiber (groupe Expansion) ? François-Dominique 2 oct 2004 à 03:39 (CEST)

Il s'agit bien en effet de Jean-Louis dixit le site du magazine : "C'est à l'initiative de Bernard Pivot et de Jean-Louis Servan-Schreiber que fut créé LIRE en octobre 1975."

Retrait de la mention « critique littéraire »[modifier le code]

Qualifier Bernard Pivot de critique littéraire semble aller à l'encontre de la définition que donne l'intéressé de son métier :

« C'est parce que j'ai une très exigeante idée du métier de critique que je ne me suis jamais considéré comme tel. Un critique littéraire, c'est une mémoire livresque considérable plus une culture tous azimuts plus l'esprit de découverte plus un fort pouvoir d'analyse plus un vrai talent d'écrivain. Etant loin de réunir tout cela je n'aurai jamais accepté de tenir un feuilleton, pas même une modeste rubrique régulière de critique. J'estime posséder en revanche les qualités d'une variété de journaliste, moins cotés que les critiques. »

Source : Bernard Pivot, Le Métier de lire. Réponse à Pierre Nora, Paris, Gallimard, coll. « Le Débat », 1990, p. 49.

Il semble ainsi que la qualification de journaliste soit la seule à conserver. Je supprime donc la mention critique littéraire... à moins qu'un contributeur ne s'y oppose Émoticône ?

--VincentDDD (d) 5 février 2012 à 15:41 (CET)[répondre]

Je suis surpris de ne voir aucune mention de ses fameuses dictées ailleurs que dans la bibliographie. C'est normal ou un oubli ? 88.164.157.140 (d) 10 octobre 2012 à 00:53 (CEST)[répondre]

Bonjour. Sur Wikipédia, tous les articles sont perfectibles. Vous pouvez-donc le compléter en mentionnant les sources. --Michel Barbetorte (d) 10 octobre 2012 à 11:56 (CEST)[répondre]

Polémiques autour de l'enfance[modifier le code]

Le 26 novembre 1973, il invite l'auteur pédophile Tony Duvert dans son émission Ouvrez les guillemets, qui décline préférant laisser ses éditeurs et défenseurs, Jérôme Lindon et Alain Robbe-Grillet le représenter[1].

Le 30 mai 1975, il reçoit Vladimir Nabokov, l'auteur de Lolita dans Apostrophes ; le 14 octobre 1983, Renaud Camus, défenseur de la cause pédophile[2] ; le 23 avril 1982, Daniel Cohn-Bendit décrivant des relations ambigues avec des élèves de maternelle[3] ; le 2 mars 1990, Gabriel Matzneff dont le livre, Mes amours décomposés déclenche une polémique[4] ; le 23 février 2001, Catherine Dolto sur la dépénalisation de la pédophilie, dans Bouillon de Culture ; et en 2005, Michel Tournier, dont l'imaginaire pédophile traverse l'oeuvre publiée dans la Pléiade en 2017[5].

Le 17 mars 2013, il défend le livre d'Alexandre Postel, Un homme effacé, sur un homme accusé à tort de consulter des images pédophiles[6] puis, le 30 octobre 2016, La Mauvaise vie de Frédéric Mitterand, comme un "livre courageux, très courageux, une sorte de confession laïque dont chaque aveu, à l'instar de "Je me souviens…" de Georges Perec, commence par "Je regrette…"[7].

En 2017, le neuropsychiatre, Louis Masquin, décrit dans la revue catholique La Croix, ces apparitions dans les émissions de Bernard Pivot comme le reflet de "l'aventure pédophile", "ce qu’on trouvait à peu près normal"[8].

En septembre 2019, il déclare sur Twitter: "Dans ma génération, les garçons recherchaient les petites Suédoises qui avaient la réputation d'être moins coincées que les petites Françaises. J'imagine notre étonnement, notre trouille, si nous avions approché une Greta Thunberg (militante suédoise écologiste)". Julien Bayou, porte-parole d'Europe Écologie-Les Verts, lui répond: « Vous parlez d'une mineure » et la militante féministe Caroline de Haas lui demande de supprimer son post[9] ce qu'il refuse de faire[10]. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Skantik (discuter), le 29 septembre 2019 à 22:05 (CEST) Skantik (discuter) 30 septembre 2019 à 07:07 (CEST)[répondre]

Évoquer Maso et Miso vont en bateau[modifier le code]

Peut-on rajouter dans la partie "Autre émissions" qu'il a présenté le 30 décembre 1975 sur Antenne 2 l'émission intitulée Encore un jour et l'année de la femme, ouf ! C'est fini. Reconnu pour son caractère misogyne, celle ci fera l'objet d'une réponse du collectif féministe Les Insoumuses par le film : Maso et Miso vont en bateau.

Pour la source : 1975, année de "la" femme, émission Affaire Sensible, 22 mars 2022, France Inter


Bonne journée 188.224.43.197 (discuter) 7 mai 2024 à 01:47 (CEST)[répondre]