Discussion:Cécile Furtado-Heine

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Marguerite Heine nièce de Cécile Furtado-Heine ou non ?[modifier le code]

D'après ce site : http://www.genea-bdf.org/BasesDonnees/genealogies/heine.htm, consulté le 23 novembre 2008, III.1.1 - Marguerite Laure Juliette HEINE dite Paule est née le 28.10.1847 à Paris 3ème, 12 rue de Thorigny, de parents inconnus. Le 09.08.1866, à Rocquencourt (78), elle épouse Michel Aloys NEY, Duc d'ELCHINGEN, né le 03.05.1835 à Paris 2ème ancien. Michel décède le 23.02.1881 à Fontenay-aux-Roses (92). Elle est adoptée par arrêt de la Cour d'Appel de Paris du 27.08.1881 par Cécile FURTADO-HEINE. Les 14 et 18.10.1882, à Paris 8ème, en secondes noces, elle épouse le Duc François Victor MASSÉNA de RIVOLI, né le 14.01.1836 à Paris 1er ancien. Paule décède le 19.09.1903 à Bellagio (I) et Victor le 28.10.1910 à Paris 8ème. J'ai donc retiré la mention « une de ses nièces ». Ordifana75 (d) 23 novembre 2008 à 20:21 (CET)[répondre]

Le passage ci dessous est littératlement copié-collé du site [1]

« Cécile Furtado-Heine n’oublie pas ses coreligionnaires. Elle soutient plusieurs œuvres de bienfaisance israélites et contribue à l’édification de nouvelles synagogues en France et en Belgique. La plus belle de ces synagogues est sans doute celle de Versailles où deux plaques de marbre rouge rendent hommage, en français et en hébreu, à sa fondatrice : « Ce Temple dédié à l’Éternel a été édifié par Madame Cécile Furtado-Heine. Que son nom passant de génération en génération soit béni. Septembre 1886. »

Ses activités caritatives et sa générosité lui valent d’être promue au grade d’Officier de la Légion d’honneur en 1896, sept ans après sa coreligionnaire Coralie Cahen*. Il est encore très rare à cette époque qu’une femme accède à un tel honneur. Les journaux ne manquent pas de le souligner, comme Le Petit Journal du 21 juin 1896 qui consacre sa couverture illustrée à la cérémonie de la remise de la Légion d’honneur à Madame Furtado-Heine. Quelques semaines après sa nomination, Cécile Furtado-Heine s’éteint le 10 décembre 1896 dans son château de Rocquencourt. Sa fille adoptive, la duchesse de Rivoli, son gendre et sa petite-fille, la princesse Murat sont auprès d’elle. Les rabbins Moïse Bloch de Versailles et Emmanuel Weil de Paris l’assistent pendant ses derniers jours. Sa mort est marquée par un deuil public auquel s’associent le Président de la République, Félix Faure, les ministres, et la municipalité de Paris. Zadoc Kahn, grand rabbin de France, prononce l’éloge funèbre de cette grande dame qui consacra son temps et sa fortune à aider autrui. »

Le reste de l'article est à l'avenant. Laissez-vous passer une démarche aussi honteuse ?--82.123.120.108 (d) 1 octobre 2009 à 00:30 (CEST)[répondre]

image sur Gallica[modifier le code]

image ici : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k716179f

Kilom691 (d) 22 novembre 2009 à 12:09 (CET)[répondre]