Discussion:Calètes

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Ne pas mentionner dans l'article ce que rappelle un des intervenants ci-dessous, à savoir les conclusions des archéologues ayant étudié le trophée du sanctuaire de Ribemont, me paraît fautif. Je ne les ai pas lues, juste entendues au cours d'une émission de télévision. Quelqu'un peut-il "sourcer"? Ces archéologues rapportent très clairement le trophée à une bataille établissant la suprématie d'envahisseurs Belges sur les Armoricains. Le trophée servait à justifier la soumission des Calètes aux Ambiens et la possession par ces derniers de la partie nord du territoire des premiers. L'Empire libérera les Calètes de la relation de clientèle imposée par les Ambiens en rattachant ceux là à la Lyonnaise Quatrième.

Nom des Caleti (Calètes)[modifier le code]

Il me semble raisonnable de rapprocher les étymons entre eux. Proche de Caleti, on trouve Caledonia. L'affaiblissement de t en d correspond bien à l'évolution de la langue. Caledonia est en effet un terme postérieur de plusieurs siècles. Il correspond non pas à calet, avec un a long, qui a donné kalet en breton, mais à cal avec un a court, qui a donné kelen en breton, "houx". Caledonia se dit en gallois Kelyddon. C'est donc bien un a bref, ce qui infirme toutes les interprétations d'éminents historiens invoquées. Le -et est un collectif qui se retrouve par exemple dans Namnètes. Le houx est une plante magique représentant une divinité. D'autres nations invoquent les plantes de la religion druidique dans leur nom: Lemovices, Arverni, et peut- être bien d'autres.

L'étymologie "Nous, on est des durs", plaît à ces indisciplinés de Gaulois mais convient mieux à une équipe de football qu'à un pouvoir aristocratique assis sur la religion. Quoi qu'il en soit, ledit "a" est bref.



'''" les Calètes, dont le nom viendrait du plateau sur lequel ils se sont installés, soit en raison du calcaire de son sous-sol, soit signifiant « froid, glacial » par allusion vents violents qui le balayent, faisaient partie de la Gaule belgique "

''Très intéressante étymologie d' un nom de peuple ....basée sur la géologie et la météorologie ... !''

Evidemment : car CAL...CAIRE ! = CA..LETES ! et le froid implique de : CAL...FEUTRER ! d' où CA..LETES  ! on dit ausssi quand il fait froid que ça CA...ILLE != d' où CA..LETES !à moins que " CA..LETES " vienne aussi d' une transformation du mot " CA...CAHUETE " ! sait on jamais ! et les BRE...TONS se nomment ainsi car leurs ancêtres disaient Brrrrrr ! Brrrrrr ! tant il faisait froid jadis en Bretagne insulaire !

(solution Calètes = Caleti = breton kalet = dur ; Calètes = Caleti = le peuple dur, hardi, courageux.voir page Armorique).

On retrouve le mot : caled : « dur » en gallois, calath : « héroïque » en gaélique et kalet : « dur » en breton, calad en gaélique irlandais.On retrouve la racine celtique CAL de CALETES dans les mots français CALE, CALEUX et CALLOSITE signifiant partie du corps devenue DURE et dans le breton KELL, pluriel KELLOU = testicules gallois CAILL , et en français populaire nous retrouvons un peu le celtique CAL de CALETES dans le mot COUILLES correspondant au breton KELL / KELLOU = parties dures du corps...du moins dans une "situation idéale" de bonne santé et de jeunesse.... ! breton CALLOC'H - KALLOC'H, cheval ou homme entier, non-châtré. , breton KELLEG, KALLEG = mâle.

Rappelons ici que les Bretons sont anciennement des Gaulois du nord de la Gaule ( Britanni, Parisi, Iceni, Morini, Atrébates, Brigantes, Belgae etc...) entre autres origines -. Nord de la Gaule où se situaient aussi les Caleti-Calètes - et que les Britanni se trouvaient près de l' embouchure de la Somme - et que ces mêmes Bretons sont donc issus avant de passer en Grande Bretagne de la partie nord de la dite Gaule depuis la Belgique jusqu'au bassin parisien,et que la langue bretonne est une cousine germaine de la langue gauloise - toutes deux faisant partie de la Celtique "P"' et qu'il n'est donc pas étrange de trouver des correspondances linguistiques entre des termes bretons et des noms de peuples gaulois.

 Pour dire les choses encore plus clairement les anciens Bretons étaient originaires des zones géographiques actuelles suivantes,  à savoir d' 'Ile-de-France, de Picardie, du Nord-Pas-de-Calais et de Belgique.

Il est d' ailleurs très curieux de constater la très bonne entente des Bretons continentaux avec les gens du nord de la France et les Belges et l' attirance de ces derniers vers la Bretagne armoricaine actuelle...notamment à cause de son accueil chaleureux...

En Bretagne armoricaine certains lieux se nomment : " LE CROISSANT " car il devait y avoir eu une boulangerie à cet endroit ou bien des Musulmans y avaient séjourné ! et d' autres lieux - gastronomiques sans doute ! - se nomment aussi " KERSAUCE " car des chefs cuisiniers réputés y avaient autrefois habité  !

(solution : Croazhent = Croaz Hent = KROAZ HENT = la Croix des Chemins, le Carrefour; KER SAOZ = le Village de l' Anglais).

Et PARIS signifie bien sûr " PAR YS " ville comparable à la ville d' Ys !

En Bretagne armoricaine, au XIXème siècle , à la période romantique, et même au XXème, nous avons eu notre lot de " savants fous " amateurs , u-lu-ber-lus "celtomaniaques " - Le Brigand de Pontrieux, Théophile Malo Corret de Carhaix plus connu sous le nom de La Tour d'Auvergne et bien d' autres véritables " allumés du cerveau " .... qui nous proposaient des étymologies et des explications linguistiques ou archéologiques, notamment autour du domaine mégalithique , toutes plus farfelues et délirantes les unes que les autres...Cette époque est heureusement révolue - du moins il faut l' espérer ! - par l' entrée en lice de chercheurs sérieux du monde entier issus de l' Université ou des Grandes Ecoles tels Henri d' Arbois de Jubainville qui fut élève de l' Ecole des Chartes et directeur de la Revue Celtique à la suite du regretté Henri Gaidoz directeur-fondateur de la Revue Celtique, ou bien Joseph Loth, Doyen de la Faculté des Lettres de l' Université de Rennes, Titulaire de la chaire de Celtique ou le Chanoine Fransez Falc'hun de l' Ecole Pratique des Hautes Etudes et Fransez Favereau actuel professeur de Celtique à l' Université de Rennes-Villejean auteur d' un remarqué et remarquable grand Dictionnaire Breton-Français et Français-Breton paru aux Editions " Skol Vreizh " de Morlaix, Finistère.

Lectures conseillées : collection de la Revue Celtique 1870-1934 puis Etudes Celtiques 1936-2006, François Falc'hun Les noms de lieux celtiques , 3 volumes in-8, Editions armoricaines, Rennes.

Nom des Caleti (Calètes) in Vocabulaire VIEUX- BRETON par Joseph Loth[modifier le code]

CALAT , dur. - Lux., p.2, 1.5, 364.- Gl. durili ; - Gallois moderne calet; catol. caledaff "endurcir" , calet; armoricain moderne kalet; irlandais ancien calath "dur", Wind., Wört., p. 412; irlandais moderne calad, O'Reilly; gaulois Calètes ? - Vocabulaire VIEUX- BRETON par Joseph Loth Elève de l' Ecole des Hautes Etudes Paris Honoré Champion éditeur , 1899 ?, nouvelle édition 1970.

Nom des Caleti (Calètes) in : I.C.Zeuss, GRAMMATICA CELTICA[modifier le code]

C. I. Particulae inseparabiles.

Possunt discerni particulae privativae, qualitatis, intensivae. Privativae particulae exemplum vetustum gallicum continet nomen Ancalites Caes., si confertur nomen Caletes (cf. AREM ; hod. kalet, kaled, durus, firmus, cambr. hod. caled, vet. calut, gl durili, Lxb.) fortasse Andarta (cf. tamen p. 867) Inscr. ; eodem pertinet ex- in nomine Exobnus, Exomnus, et fortasse in Excingilla, Exincomarus (pp. 47. 125).

I.C.Zeuss, GRAMMATICA CELTICA e monumentis vetustis tam Hibernicae linguae quam Britannicarum dialectorum Cambriacae Cornicae Aremoricae comparatis Gallicae priscae reliquis construxit I.C.Zeuss, Phil.Dr.Hist.Prof.,editio altera curavit .H.Ebel,.Ph.Dr.,Acad.Reg.Hib.Soc.Hon.,Acad.Reg.Boruss.Adi.Comm.Epist. Berolini,Apud Weidmannos MDCCCLXXI (1871).

Callosus, Callus, Callis in GRADUS AD PARNASSUM[modifier le code]

Pour aller plus loin encore il faut citer les mots latins suivants : callus = calleux, collosus = callosité.

Callosus, à, ùm. Dur, endurci.* Humida càllosà cùm pinseret hodea dextra. Ovid. PHR. Callis obductus, afper , rigens.

Callus, i. m. Cal, durillon, peau endurcie . SYN. Callum. EPITH. Rigidus, durus, afper, vetus, antiquus.

Callis, is. m. Chemin battu. (donc dur, comme un sol en "terre battue" ). Sentier.* Secreti celant calles, et myrtea circum.Virg. SYN. Semita, trames. EPITH. Angustus, occultus, herbosus, artus, ambiguus. V . Via. Iter.

GRADUS AD PARNASSUM sive novus synonymorum epithetorum, phrasium poeticarum ac versuum THESAURUS etc… in-8 de 976 pages. Vers 1805.

Il semble donc bien que cette racine CAL (cal = dur) soit commune aux langues celtiques et au latin et provient par conséquent du fond commun de l’ antique italo-celtique et même peut être aussi, plus loin, d’ une origine commune indo-européenne.

avis de NPOV d' un anonyme IP 132.162.142.54 prétexte d' une censure douteuse[modifier le code]

Exposer la signification du nom des CALETI / CALETES et écrire l' exacte vérité historique qui est que les CALETES étaient un PEUPLE CELTE et faisaient partie de la CONFEDERATION ARMORICAINE (mais aussi du "Belgium" et de la "Lyonnaise" ) ne constitue pas une non-neutralité de point de vue.

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Nom des Caleti (Calètes) in Indogermanisches Etymologisches Woerterbuch [Pokorny][modifier le code]

Indogermanisches Etymologisches Woerterbuch [Pokorny] : Query result English meaning: hard; blister = VN Caleti, Caletes; dazu gallo-rom. German meaning: `hart' Derivatives: kal-no-, kl•-no- `Schwiele, harte Haut' Material: Ai. ki´n•a- m. `Schwiele' (mind. aus *kr•n•a-s); µber ai. kat•hina-, kat•hora- s. unter kar-3; lat. callum n., callus m. `verb„rtete dicke Haut, Schwiele' (dazu calle¡, -ere `dickh„utig sein; gewitzigt sein', callidus `schlau'); alb. a-kul `Eis'; air. mir. calath, calad `hart', cymr. caled ds., gall. VN Caleti, Caletes; dazu gallo-rom.*cali¸o-, *cali¸au¸o- `Stein' (M.-L. 1519a), sowie gall.-lat. callio-marcus `Huflattich' (fµr*callio marci `testiculus equi'), epo-calium (leg. -callium), ebul-calium (fµr *epƒlo-callium, zu mcymr. ebawl, bret. ebol `Fµllen') ds., zu cymr. caill, bret. kell f. `Hode' (Dual *kalnai); ksl. kaliti `abkµhlen, h„rten (glµhendes Eisen)', serb. pri°kala `Reif'. References: WP. I 357, WH. I 139 ff.; 388. See also: Zusamenhang mit kel- `schlagen' w„re m£glich. Page(s): 523 – 524 _____________________________________________________________________

Nom des Caleti (Calètes) in Examples from the Celtic Core Vocabulary area for cereal[modifier le code]

[PDF] Examples from the Celtic Core Vocabulary area for cereal: (1 ... Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat (1) *kaleto- (PIE *kal-): Gaul Caletes, -caleti ‘hard’, EI calath ‘hard’, MW calet. ‘hard; rough, cruel’, ModW caled ‘id.’, OBret calut (r. calat) ‘hard’, ... www.wales.ac.uk/documents/external/cawcs/Britta.pdf - _____________________________________________________________________

CALETES : belges et armoricains[modifier le code]

En fait César n'arrive pas à les classer et en fait tantôt des Belges, tantôt des Armoricains, peuples de la mer, bien au delà de notre conception armoricaine actuelle.....

C'est vrai qu'il est très intéressant d'appréhender l'histoire des Gaules d'un point de vue régional ce qui permet de mesurer à quel point derrière l'apparence de l'unité se cache de très nombreux particularismes assez révélateurs.

Je reviens donc à la division de la Gaule en province administrative sous Auguste. Si l'Aquitaine a été alors considérablement agrandie, la Lyonnaise ne correspondait absolument plus à la Celtique de Cesar, quant à la Belgique elle a été étirée vers le Sud-Est.

Dans le cadre de ce redéploiement augustéen les cités des Calètes et des Veliocasses sont passées du Belgium en Lyonnaise. Je connais bien cet exemple qui correspond à l'idée que je vantais plus haut avec la création de parts à peu près égales mais aussi probablement à certaines réalités de terrain.

Quand César évoque ces cités, aujourd'hui le Pays de Caux en Seine Maritime, la région de Rouen et les Vexins Normands et Français, il les classe en Belgique et de fait ces peuples font partie de la première grande coalition Belge à se dresser contre les Romains sous le commandement Bellovaque en 57 av JC. On les retrouve dans un soulèvement du Sud Belgium en 51 av JC mais curieusement aussi dans l'armée de secours à Vercingetorix à côté des Lexoviens et Eburoviques dont César nous précise qu'ils ont massacré leur Sénat c'est à dire leurs dirigeants. C'est curieux parce que la grande nation Belge du Sud Belgium (les Bellovaques) ne tient pas du tout à participer à l'action de Vercingetorix....

En fait César n'arrive pas à les classer et en fait tantôt des Belges, tantôt des Armoricains, peuples de la mer, bien au-delà de notre conception armoricaine actuelle.....

En archéologie et ce sont les remarques de HB sur les Aquitains qui me l'ont fait rappeler, on a un classement tout aussi délicat tant les sites font apparaître une diversité tant au niveau de la céramique que de la monnaie laissant apparaître les deux influences Belge et Armoricaine...

L'histoire du Sud Belgium est peut-être un peu mieux connue que celle du Sud de l'Aquitaine grâce notamment à la fantastique découverte du sanctuaire trophée de Ribemont sur Ancre à côté d'Amiens révélant l'existence d'une très importante bataille vers 280 av JC entre Belges envahisseurs ou nouvellement implantés (les Ambiens) et armoricains (en l'occurrence Lexoviens et Aulerques) cherchant à récupérer une partie de leurs territoires.

Un affrontement terrible et considérable digne de grandes épopées antiques chez un peuple qui n'en a malheureusement conservé que des traces visuelles et évidemment aucune écrite.

Si j'évoque ici ce cas régional c'est pour montrer à quel point le peuplement des Gaules rencontré par les Romains n'est pas homogène et résulte de bien des mouvements, de guerres, de mixités et d'échanges (certainement majoritairement pacifiques)

Dans le cas des deux cités Calètes et Véliocasses, nous avons sans doute àffaire (même si ce n'est qu'un avis personnel) à un peuplement de deux origines, même si a priori, il existe ici une communauté ou en tout cas une proximité linguistique et matérielle incontestablement celte entre les deux.

Les "météorologues" et "géologues" "CALETES" sont-ils " malades " ?[modifier le code]

''''"les Calètes, dont le nom viendrait du plateau sur lequel ils se sont installés, soit en raison du calcaire de son sous-sol, soit signifiant « froid, glacial » par allusion aux vents violents qui le balayent, faisaient partie de la Gaule belgique "''''

En effet, nous sommes nombreux à être très inquiets concernant la santé des tenants de cette thèse reconnue par toutes les Académies des Inscriptions et Belles Lettres du Monde entier ... Allons ! un peu de courage ! les "météorologues" et "géologues" "CALETES" ! réagissez ! Ne vous laissez pas faire ! Réagissez ! Votre thèse est la meilleure ! Et la supprimer est du " VANDALISME " !! si ! si ! si ! c' est un Ado atardé "wiki" (kisê touh ! ) (typique - et boutonneux) de 25-29 ans qui me l' a certifié ! ____________________________________________________________________________________

dernière étymologie fantaisiste de Calètes : " la française "[modifier le code]

Calètes vient - parait-il - du français "cal" !

Comme les Francs étaient une nation germanique parlant une langue germanique c' est plutôt étrange d' y rechercher (dans la "culture française" ) la signification du nom d' une nation celtique.

Cela sent l' ethnocentrisme "français" populiste mal centré et pensé, le pan-germanisme, la Milice de Darnand, Pétain and co. et le III° Reich à plein nez...

Avant les Boches d' hier (1940-1944) et ceux d' avant hier (les Romains) il y a eu les Celtes Gaulois qui ont peuplé la Gaule.

Certains semblent ne pas vouloir l' admettre et aussi ne pas vouloir accepter le passé celtique et gaulois de la France actuelle et préférer le germanisme, la "Normandie nordique viking et germanique" ...faisant bon marché du passé celtique des peuples de France...

La culture celtique en dérange certains en France...semble-t-il ...

Arthur of Richemont

Pas d'accord, on fait aussi peu de cas du passé "germanique" de la France que de son passé "celtique", toute "culture" venant paraît-il de la Méditerranée, même les mégalithes, des romains et des grecs, .......Et c'est pas près de s'arranger....

Erroné certes, mais pas étrange car le terme "gaulois" contrairement aux apparences d'une forme assez proche, ne procède pas du latin gallus, comme l'ancien nom du coq gallus, qui aurait évolué régulièrement en jal puis jau (Cf. nom de famille Lejal = le coq ), mais du germanique (francique ) *walha désignant le pays des étrangers celtes ou romains comme Wales en anglais désigne le pays de Galles, d'ou est tiré l'adjectif *walhisk > wahlisk > gwauloès > gaulois, équivalent des anglais welsh "gallois" et allemand Welsche "romans". C. Cottereau (d) 6 octobre 2008 à 14:04 (CEST)[répondre]

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