Discussion:Carte à puce

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Inventeur[modifier le code]

Commentaire de Gehel le 15/08/2005 : je ne sais pas quel est le sens du mot 'inventeur' ici, mais pour moi Roland Moreno ne l'est clairement pas. C'est un Allemand en 1967, puis deux Japonais en 1970 qui en sont les inventeurs. Ils ont juste eu le tort de ne pas breveter l'idée un peu partout, comme Moreno l'a fait.


Humm oui, je pense que tu as raison, mais l'article a maintenant une touche un peu trop personnelle, Il est quand même "concideré" comme l'inventeur de la carte à puces, même si il n'en est pas l'inventeur technique avéré. C'est quand même lui qui a inventé sa forme et son utilisation actuelle, on peut quand même lui donner ça. Donc, dans le principe je suis d'accords, mais l'article fait agressif dans son état présent. Bactisme


Comme toutes les inventions, il s'agit d'améliorations successives. Il convient de distinguer plusieurs notions: 1) mettre une puce dans un autre support que ce qui se faisait à l'époque : une clef en plastique,... 2) sur un carte au format cartes bancaires 3) Le fait que la carte se protège elle même

Roland Moreno a breveté le fait que la puce de la carte vérifie elle même le code confidentiel qui est inclut dans la puce. Ce brevet est celui de mars 1974. Avant, le code confidentiel était chiffré et inscrit sur la piste magnétique. Bruno M


Je suggère d'ajouter un commentaire sur l'événement du premier paiement en magasin avec la carte à puce. Cela a été fait par Louis Mexandeau, ministre des PTT, à Caen en 1982, avec le matériel de la société Philips. Voir sur ce site pour avoir plein de détail : http://amitrtlu.free.fr/vraivie/cartepuce/cartepuce.htm


Autre petite remarque... les 2 derniers liens de la section "Références" me semblent (fortement) être de bêtes liens commerciaux. Si ils ne le sont pas, faudrait voir pour les faires pointer vers un contenu un peu plus explicite. MRN

Lien externe mort[modifier le code]

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 30 janvier 2006 à 23:01 (CET)[répondre]

Entreprises dans le domaine de la carte à puce[modifier le code]

Comme Wikipédia n'est pas un annuaire professionnel et les liens externes à vocation commerciale ou encore non en étroite relation avec l'article ne sont pas conformes aux recommandations, ne peut-on se limiter dans cette partie à citer les trois leaders ? Ceci dit, je suis partisan d'enlever cette liste d'entreprises. Laurent N. [D] 11 juin 2007 à 18:03 (CEST)[répondre]

Tout à fait d'accord.--Roland Moreno (d) 17 mai 2010 à 02:02 (CEST)[répondre]


Proposition de sélection de cet article pour Portail:Informatique[modifier le code]

Cet article est proposé pour faire partie de la sélection Wikipédia:Sélection/Informatique. Cette page permet d'afficher aléatoirement un article parmis la sélection sur Portail:Informatique. Les articles sélectionnés représentent la vitrine du projet.

Vous êtes invités à vous exprimer sur la page suivante : Wikipédia:Sélection/Informatique/Carte à puce. Toutes les remarques d'amélioration sont les bienvenues, mais notez que puisque c'est un vote interne au projet, seuls les votes des participants déjà inscrits sur le projet informatique seront pris en compte. --T (d) 11 décembre 2007 à 13:26 (CET)[répondre]

Mise à jour de l'article[modifier le code]

Cet article mériterait bien une bonne mise à jour : les cartes bancaires B0' n'existent plus depuis au moins deux ans, semble un poil promotionnel, etc...

En revanche, il est agréable à lire ! :)

Zeugma fr (d) 26 janvier 2010 à 13:56 (CET)[répondre]


Expertise[modifier le code]

Un statut dont je revendique le bénéfice pour cette page.

Page dont l'existence même est 100% redevable à ma trouvaille de janvier 74.

J'ai consacré plusieurs heures la semaine dernière à perfectionner la page, notamment sur des points très techniques tels que :

— technologie fine de la CAP

— brevets relatifs à la CAP.

"Esprit fugace" ayant trashé tout cela et même ré-introduit de grosses anomalies, j'ai dû consacrer ce w-e une bonne heure à l'engueuler (sur sa page utilisateur).

Enfin, j'ai ce matin annulé pendant deux heures, maladroitement, toutes les annulations d'"Esprit fugace".


Qu'on se rende compte que Wikipedia étant devenu ce qu'il est (un des cinq sites les plus visités), tout ce qui y figure est repris à qui mieux mieux par des journaux, des chercheurs, des biographes, etc.

TOUT, y compris les pires bêtises, les jugements les plus péremptoires ou les moindres approximations.

Évident que l'expert de la page Patrick Bruel, c'est Patrick Bruel, que celui du Sida c'est Montagnier (ou Gallo), je propose donc un mécanisme simple pour les "experts" :

  •  tout amendement à la page pourrait être soumis à l'Expert, ne serait-ce qu'au titre de la bienséance.

Ainisi, une opposition virulente aurait-elle une chance d'être entendue.

J'insiste pour préciser que cette soumission serait consultative. (L'Expert n'aurait évidemment pas de pouvoir de censure.)--Roland Moreno (d) 17 mai 2010 à 08:50 (CEST)[répondre]

... et l'Expert (avec un E majuscule) serait... ?
Je vous dénie ce statut d'expert auto-proclamé.
La colère est, dit-on, mauvaise conseillère.
D'un tempérament habituellement calme et pondéré, je me suis retenu d'écrire sous le coup de la colère, et j'ai laissé passer une nuit et un jour. Cette prose est donc édulcorée.
Après votre intervention auprès d'Esprit Fugace, il m'est bien difficile de vous répondre avec tact et circonspection.
Vous vous êtes montré injurieux, odieux, voire infect, auprès d'un administrateur qui depuis des lustres fait preuve d'un dévouement sans pareil à la cause encyclopédique.
Vous n'êtes pas un gentilhomme (un gentleman).
Votre attitude est révoltante.
J'essaie de me garder du même genre de remarques désobligeantes, mais soyez certain que pas une de vos lignes ne soit sujette à critique.
Vous devriez aller tailler vos rosiers au lieu d'importuner une communauté avec votre "renommée" (sujette à caution) du siècle dernier.
Je conçoit tout à fait que vous contestiez le nom de Geoffrey Dummer sur l'article 'Carte à puces', ou tout autre mention maladroite ou erronée.
Mais il y a la manière.
En tant qu'administrateur, Esprit Fugace ne fait que son boulot. Il n'a pas besoin d'être expert en DPA pour révoquer des modifications, souvent maladroites, qui ne font que satisfaire votre ego.
Vous vous êtes construit votre page à votre gloire. Restez en là.
Inutile d'encombrer l'article 'Carte à puce' de vos divagations et de références inopportunes à vos écrits.
Si vous avez des critiques constructives sur un article, elles sont bienvenues, pourvu qu'elles soient courtoises.
Si vous n'avez que de la mauvaise bile à dispenser, épargnez nous.
D'avance, merci de vous excuser auprès d'Esprit Fugace, ou de vous faire oublier.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Papardelle (discuter)


== Du siècle dernier ?==
C'est justement toute ma fierté. Citez-nous donc des innovations majeures du siècle dernier qui rendent encore service trente-cinq ans plus tard.
. . .
Allez, allez, un petit effort, n'attendez pas qu'on vous souffle.
Voyons, le walkman ? Perdu !
Le minitel ? Raté !
Prestel (le minitel anglais) ? BTX, l'allemand ? NAPLPS, l'américain ? Raté, raté, raté.
Le magnétoscope, le DAT ? Encore raté !
L'Apple II ? La montre numérique à diodes rouges ? Le SECAM ? La cassette VHS ? La disquette 5 pouces ? La disquette-tout-court ?
Tout au contraire de la futilité, la carte à puce est, elle, utile. Elle dépanne, elle aide — il lui arrive même d'être indispensable (téléphonie mobile, TV payante) : bref, on l'aime.
Sans avoir changé de forme, sans être devenue plus chère ou plus lourde. Il y en a simplement de plus en plus : vous connaissez des objets de super-haute technologie qui sont utilisés par milliards, sans être le moins du monde démodés, sans qu'on en puisse ni de près ni de loin prévoir l'obsolescence ?
Je vous aide finalement, je vous en donne un (qui résiste au temps) : c'est mon chouchou le post-it.
(Mais ce ne serait pas vraiment à armes égales.) --Roland Moreno (d) 12 juin 2010 à 18:26 (CEST)[répondre]

en vrac en jetant un oeil autour de moi : le code-barre sur mes céréales, la lampe à incandescence halogène qui m'éclaire, les transistors dans l'ordinateur où j'écris ceci, l'écran à cristaux liquides sur lequel je vois ce que j'écris ainsi que la souris avec laquelle je vais cliquer sur "publier" dans un instant :) Ceci dit, la carte à puce est indéniablement une très bonne invention, au delà des querelles de paternité (toujours difficile à trancher, tant il est vrai que créativité et émulation vont généralement de pair) ! Levochik (d) 7 août 2010 à 11:47 (CEST)[répondre]

Administrateur[modifier le code]

Si "Fugace" est administrateur de WP, alors nous touchons au comble, compte-tenu des dégâts qu'il a commis.

Et qui est donc l'amateur anonyme qui courageusement ne signe pas ?--Roland Moreno (d) 18 mai 2010 à 04:25 (CEST)[répondre]

Je fais effectivement partie des quelques 180 administrateurs de Wikipédia en français (administratrice dans mon cas). Je constate que l'attaque est facile lorsque courageusement on signe... fustiger ainsi un malencontreux oubli... Esprit Fugace (d) 18 mai 2010 à 07:57 (CEST)[répondre]

Bague de Roland Moreno ???[modifier le code]

Excusez-moi mais quel intérêt ? Sur l'article carte à puce, on met des puces et des cartes à puce, pas des bijoux, fussent-ils "high tech". Mettez-là sur l'article de Moreno si ça vous fait plaisir, je retire l'image de l'article carte à puce. Esprit Fugace (d) 24 mai 2010 à 09:38 (CEST)[répondre]


Le comble, c'est bien ce que je disais.
Dépêchez-vous, indispensable administrateure, d'aller alléger pas mal d'articles dans cette encyclopédie.
• télévision : le noir & blanc (quel intérêt ?), la TV c'est en couleurs
• informatique : quel intérêt de se souvenir des cartes perforées ? Un ordinateur ça se commande avec une souris.
• banques : les guichets, quel intérêt ? C'est au DAB/GAB qu'on retire ses billets
• les téléphones c'est dans la poche qu'ils logent, pas au coin des rues dans des cabines en verre
• sur l'article imprimerie on met de l'offset et de la photocomposition, pas du plomb, épicétou.
(...)
Le principal contributeur français au domaine de la carte à puce, Bull (1200 brevets) n'a d'ailleurs pas passé plus de vingt années à lutter contre la forme bague de la puce. Voir Liens externes VBA.
En toute futilité (« Je retire l'image, Na ! » — on se croirait dans les pages shopping de VSD), Esprit Fugace doit se demander quelle mouche piqua Claire de Narbonne-Fontanieu, auteure de la première histoire de la carte à puce (De la puce à l'oreille, First, 1989), de consacrer dix pages à la forme initiale de cette technique : de 39 à 49. --Roland Moreno (d) 26 mai 2010 à 04:08 (CEST)[répondre]
Cette bague est un bijou avec une mémoire programmable, ce n'est pas une carte à puce, ce n'est même pas l'ancêtre d'une carte à puce, ou la première, ou une carte à puce en cours de développement, ou une machine à faire des cartes à puce : c'est un souvenir sentimental. Elle n'illustre pas l'article et n'a d'autre propos que de satisfaire votre vanité. Ce n'est même pas que moi, simple amatrice, qui le dit : les deux contributeurs qui se sont offensés comme moi de votre ajout sont, comme vous prétendez l'être, experts dans le domaine de la carte à puce, comme une brève recherche suffit à le savoir. Vous déformez mes propos en les assimilant à un refus d'illustration de l'historique de la carte à puce : c'est la pertinence de cette image-là en particulier, photo en basse résolution d'un bijou, que je conteste. Il y a des milliards de cartes à puce dans le monde, mais vous voulez illustrer l'article non pas avec une carte à puce d'intérêt historique indéniable (comme la CP8), mais avec votre bague. Et votre argument pour la remettre serait mon "dépit" ? J'ai dépassé 7 ans d'âge mental, merci. En attendant, lisez donc Wikipédia:Guerre d'édition, ici je suis l'experte en règles de Wikipédia - expertise qu'il ne tient qu'à vous d'acquérir.
Si vous voulez discuter, merci de présenter vos arguments sans les attaques personnelles lassantes qui les accompagnent. Esprit Fugace (d) 27 mai 2010 à 10:01 (CEST)[répondre]

Réf nécessaires[modifier le code]

« En 1969, les Américains [...] contribuent à la genèse de la mémoire portative[réf. nécessaire] »

Je crois qu'il serait matériellement impossible de fournir des références pour cette liste de sept antériorités (il y en a bien davantage, mais j'ai limité l'énumération aux inventeurs qui ont été le plus sur la sellette, de 1978 à 1990, lors des très nombreux procès qui se sont tenus à Munich et Tokyo, pour les principaux, Washington pour le reste).

Les "Références", s'il devait y en avoir, ne pourraient pas consister en autre chose que les jugements finaux qui ont confirmé Moreno=inventeur malgré Halpern, malgré Castrucci, malgré Ellingboe, etc.

Soit, pour une dizaine de cas (refus de délivrance du brevet en Allemagne au Japon et aux USA, mais surtout oppositions de Siemens, Philips, IBM), une bonne dizaine de pages par cas : je ne pense pas que Wikipedia doive à ce point aller jusqu'au fond du sourcing (d'autant qu'à ma connaissance, rien de tout cela ne sera disponible en ligne : il faudra donc renvoyer à d'obscures jurisclasseurs papier que personne évidemment n'ira jamais consulter).

Je pense donc, pour conclure, que ce Réf nécessaires peut sauter. --Roland Moreno (d) 26 mai 2010 à 05:32 (CEST)[répondre]

Merci de lire Wikipédia:Citez vos sources (recommandation de Wikipédia) et Wikipédia:Vérifiabilité (règle) pour comprendre pourquoi je m'empresse de rétablir cette demande de référence. Soir une référence existe et on peut la mettre, soit elle n'existe pas et l'information mise en doute n'a pas à figurer dans l'article. Esprit Fugace (d) 26 mai 2010 à 23:56 (CEST)[répondre]


Occupez-vous donc s'il vous plaît de supprimer are-dare tout ce qui concerne l'Emprunt russe, la Guerre d'Algérie, l'afffaire Dominici, Monica Lewinsky, ainsi que la Saint-Barthélémy. « Soit une référence existe et on peut la mettre, soit elle n'existe pas et l'information mise en doute n'a pas à figurer dans l'article. » (Esprit Fugace, début XXIe siècle) --Roland Moreno (d) 27 mai 2010 à 10:01 (CEST)[répondre]
Quel rapport entre la Guerre d'Algérie et l'absence de référence d'une information dans l'article carte à puce ??? Vous croyez qu'il n'y a pas de sources pour les informations des articles que vous citez, que personne n'a écrit sur Monica Lewinsky et la Saint Barthélémy ? Me renvoyer mes propos vous dessert : je n'ai fait que citer l'une des règles élaborées collectivement par tout les contributeurs de Wikipédia. Votre dédain les vise autant que moi. Esprit Fugace (d) 27 mai 2010 à 11:36 (CEST)[répondre]

Ajout et soustraction d'information - Anonymat[modifier le code]

Je souhaitrais vous soumettre quelques réflexions.

Les unes me concernent, certes, mais adressent par ricochet la problématique générale de l'Histoire des sciences.

La seconde concerne Wikipedia en général, et j'espère que vous lui réserverez toute votre attention.

___________


Comment faire comprendre à une poignée d'internautes que l'Histoire des sciences et techniques ne s'improvise pas au gré des sensations des uns et des autres. Que cela fasse ou pas démodé n'a aucune importance : « Quel intérêt ? » ose demander "Esprit Fugace", mais enfin : avant l'offset il y eut le plomb, avant la souris il y eut les cartes perforées et avant la couleur nous regardions la tv en noir & blanc. L'Histoire est utile non seulement pour se complaire à apprécier le présent, mais aussi pour l'enseignement, l'initiation, la formation, l'éducation. (Je me sens à l'instant un peu ridicule d'avoir à enfoncer de telles portes ouvertes.)

Pendant plus de vingt ans Bull m'a combattu au motif que je n'avais inventé rien de plus que la bague à puce, toute cette période est décrite en détails dans nombre de publications, dont l'excellent De Narbonne (First, 1989). Le fait que je sois sorti gagnant de tous ces affrontements montre assez que si la forme préférée de mon tout premier brevet était bien une bague, cela n'empêche pas les cartes en plastique de rentrer à 100% dans cette lignée industrielle.

Je me suis donné beaucoup de mal pour importer dans Wikipédia cette image (plusieurs heures de travail méticuleux, passage fastidieux par Commons, etc.), il n'est pas normal qu'un wikinaute lambda puisse en un claquement de doigts défaire cette initiative (dont on devrait, au nom de WP, me remercier), sans consulter qui que ce soit d'autre.

J'ai donc défait à son tour la révocation de "Parpadelle", mais j'ai détesté faire cela, c'est un geste très moche.

Comme je m'apprête à incorporer prochainement une autre image historiquement très importante (la figure 4 et le fusible 21, toujours en service sur toutes les cartes du monde), mais que cette image est imprimée sur une carte téléphone (télécarte 50), je crains que "Parpadelle", ou "Globule Tiède" ou "Neurone Bienveillant" ne défassent ce travail au motif que les cartes pré-payées sont de moins en moins utilisées en raison de la concurrnce que leur font les téléphones portables.

Enfin, tout ceci me conduit à aborder un point sans doute plus délicat. Celui de l'anonymat.

Je comprends dans leurs grandes lignes les principes qui ont conduit Wikipédia à privilégier les pseudonymes.

Disons qu'il y a deux façons de contribuer : en ajoutant ou en soustrayant de l'information.

Dans l'adjonction, j'ai observé un cas dans ma propre boutique, jugez plutôt (juin 2005) :

206.165.83.208 (discuter)
On voit aussi Roland Moreno faire une brève apparition dans le film Les Choses de la vie, où il joue un peu son propre rôle (Boby Lapointe, à l'esprit aussi délié, est également figurant dans ce film).he sucked his mum every day who was a dad while cooking bacon with his feet he also fucked his dog!!!!!!!!!!!!!

Je trouve raisonnable de postuler que l'information présente à un instant T dans Wikipédia est présumée bonne (plutôt que présumée mauvaise ou même suspecte).

Ce présupposé a un corollaire : c'est que doit être présumée suspecte toute soustraction d'information.


Pour cette raison, le processus contributif devrait être asymétrique, selon qu'on ajoute ou que l'on enlève des données.

Un cas s'est présenté il y a quelques jours, un wikinaute ayant supprimé sans préavis un paragraphe où il est question de ma proximité avec Boby Lapointe. Or ce texte n'est pas récent : il a été introduit il y a de cela six ans (par un contributeur signant "François-Dominique") : est-il honnête (au sens wikipédien) d'annuler une information aussi ancienne ?

Le wikinaute censeur, "Lgd", a ainsi décidé de flusher le 23 mai 2010 une information vieille de six années, en documentant juste (je cite) : « Bobby Lapointe (HS). »

Mais ça veut dire quoi "hors sujet" ? C'est QUOI, le sujet ?

En tous cas, "Lgd" a estimé toutes affaires cessantes que Boby Lapointe y était étranger.

[Je rappelle que n'est pas en cause ici la page Carte à puce, ni la page Innovatron : non, c'est la page Roland Moreno. Je suis donc un SUJET, dont aux yeux de "Lgd" Boby Lapointe ne fait pas partie.]

À Lgd : L'immortel auteur de Ta Katie t'a quitté[1] figure sur cette page depuis plus de six ans (installé par un érudit wikinaute dit "François-Dominique") en raison sans doute des nombreuses connexions : Claude Sautet, Michel Piccoli, François Truffaut, Jean Yanne, sans compter le Radoteur (cf Onomastique annoté par l'excellent Felix potuit[2]), et aussi vingt et une années d'inscripion au Who's Who.
Finalement je m'aperçois que ce point mérite la page de discussion (ou plus utilement l'article, qu'en pensez-vous ?)--Roland Moreno (d) 24 mai 2010 à 04:02 (CEST)
Boby Lapointe : j'y reviendrai, car je trouve inexplicable qu'on efface une indication pertinente en place depuis six ans. (Pertinente ? Le Radoteur, onomastique, Les choses de la vie, numération Bibi, Léon Brillouin, etc.)
Cordialement, --Roland Moreno (d) 26 mai 2010 à 04:45 (CEST)

Et pour attaquer par le vif ce sujet "délicat" dont je parlais, il y a un instant, voici ce que je suggère :

défaire le mardi une contribution X entrée le lundi s'analyse en geste hostile (à tout le moins). Surtout quand, dans mon cas et je suppose forcément des milliers d'autres, la contribution X était le fait de la personnalité elle-même à laquelle est consacrée la page. (A priori peu suspecte donc, de vandalisme.)

Il serait donc normal à tout le moins que cette action hostile soit une agression à visage découvert, non sous protection (de type corbeau) de l'anonymat.


PS - Je constate au moment de poster ce topo qu'"Esprit Fugace" a de nouveau censuré -- il n'y a pas d'autre mot -- l'image de la bague. Pire, l'administrateure soustrait aussi trois références documentaires essentielles à ce débat. Sans l'ombre d'une justification. (Alinéas @112,13 - @1124 - @112,2 VBA, décembre 2009)

Ils sont "branchés" (administrateurs sur Internet, ça jette un max) et n'ont manifestement aucune idée de ce qu'est le progrès des techniques : ne soupçonnent même pas que, s'il n'y avait pas eu la bague en janvier-février 1974, ils seraient encore à lécher leurs petites vignettes pour coller les feuilles de maladie.


C'est un peu volumineux, mais il fallait, à la fin, que ces choses soient dites.

Et que les deux ou trois qui ont pu se sentir froissés veuillent bien agréer mes sincères excuses. --Roland Moreno (d) 27 mai 2010 à 10:01 (CEST)[répondre]

Et le même jour, tu viens salir d'invectives ma page utilisateur? C'est quoi cette duplicité?
Ce n'est pas à ton honneur.
Papardelle (d) 30 mai 2010 à 09:31 (CEST)Papardelle[répondre]


Je suis connu pour ma duplicité. On dit « Moreno-le duplice » (11 juin = gémeaux)
Mais il ne suffit pas de pirouettes, il faut répondre quand on est accusé.
Rappel des accusations :
1. Effacement d'informations importantes, enrichissant un article de Wikipedia
1.1 Références bibliographiques 1er cru (l'une très ancienne, l'autre très récente)
1.2 Iconographie précieuse d'une étape de la technologie à laquelle des dizaines de pages sont consacrées dans la biblio la plus autorisée
2 Soustraction désinvolte — ça n'est pas très fatiguant pour la tête — de matière encyclopédique substantielle
3 Commentaires désobligeants et inautorisés, sous anonymat (Attention ! très mal vu dans la vraie vie)
4 Dans l'ensemble : amateurisme parasitaire, nuisance obstinée, puisque réitérée malgré les avis d'une des meilleures sources sur le sujet controversé.
Plutôt rigolard d'habitude, ce silence m'ôte le sourire. Ça passera.--Roland Moreno (d) 30 mai 2010 à 15:53 (CEST)[répondre]
Je réitère, une dernière fois et en soupirant « hélas », l'avertissement qui vous a déjà été donné sur la nécessaire courtoisie exigée de tous les contributeurs. Pour ce qui est des différentes questions sur le contenu de l'article : vous n'avez aucune prérogative sur celui-ci, et devez vous soumettre aux règles et usages en matière de pertinence qui sont celles de ce projet (aussi déroutant puisse-t-il être) . Je souhaite ne pas avoir à intervenir en tant qu'administrateur de manière plus contraignante par la suite. Cordialement, --Lgd (d) 30 mai 2010 à 16:05 (CEST)[répondre]


Soustraction[modifier le code]

J'ai consacré 1100 mots à EXPLIQUER ce qu'est la logique d'entrée et de sortie des informations.

Rien que du bon sens, mais il y a visiblement besoin ici qu'on dise des choses élémentaires (qui pourtant devraient être des évidences dans un milieu tel que Wikipedia).

En résumé c'est simple : on ne doit pas soustraire de l'information selon le même processus qui caractérise l'ajout.

C'est comme ça.

Par exemple (sans m'y connaître le moins du monde) j'observe que Wikipedia a prévu des controverses possibles au sujet de la suppression d'images.

Nous ne sommes dans aucun des cinq cas (A) recopiés plus bas.(http://commons.wikimedia.org/wiki/Commons:Guide_de_suppression)

Il est anormal qu'administrateur ignore des règles aussi claires, dans un cas aussi évident.

Deuxièmement, rien ne justifie que soit censurée une bibliographie. Celle-ci est en l'occurence de premier ordre (et je m'y connais), au coeur du sujet.(B)

Troisièmement, rien n'autorise un wikinaute quel qu'il soit à trouver hors-sujet un paragraphe sur Boby Lapointe, un compositeur-poète-comédien-mathématicien présent dans l'article depuis 6 ans et sourcé à l'extérieur depuis 21 ans. (C)

Je répète que ce lieu n'est pas la page carte à puce, ni Innovatron : il s'agit donc d'ingérence (toujours sous anonymat)..

Je ne revendique aucune prérogative sur une quelconque de ces trois pages : simplement celui de source référentielle, dont le plus élémentaire bon-sens supposerait la consultation en cas de controverse.

A, B, C : je peux prouver ces trois propositions, et mets au défi quiconque de les contredire. --Roland Moreno (d) 30 mai 2010 à 17:33 (CEST)[répondre]


Il y a en principe cinq cas possibles (voir plus bas pour les détails) :
1. Pas d'informations légales : si un fichier ne possède d'information légale sous forme d'un bandeau de licence adéquat, un bandeau « absence de licence » est placé, l'auteur est averti et dispose de 7 jours pour régler le problème. Après cette période, le fichier peut être supprimé sans autre avertissement par un administrateur. Les images marquées ainsi se trouvent dans Category:Missing legal information.
2. Suppression rapide : si vous êtes absolument sûr que la suppression d'un fichier rentre dans les critères de suppression rapides (par exemple : une erreur de votre part, une violation de copyright flagrante, le fair-use, non-commercial...), le fichier est listé en « suppression rapide ». Ces fichiers se trouvent dans Category:Candidates for speedy deletion.
3. Suppression normale : s'il y a besoin d'un débat ou d'une discussion avant la suppression (cas recommandé en cas de doute, si vous êtes nouveau sur Commons ou si la licence n'est pas claire), le fichier ou la page sont placées sur les demandes de suppression. Utilisez cette procédure en cas de doute. Pour cela, placez le bandeau {{delete}} sur la page de l'image, ajoutez une motivation et informez l'auteur.
[...]
  1. Commons:Guide de suppression concerne la suppression d'une image de l'hébergement sur Commons, et non son inclusion dans un article d'un projet. En tant que contributeur novice, on ne peut vous reprocher de ne pas avoir saisi immédiatement la différence, mais dans le contexte de vos contributions, ceci invite clairement à un peu d'humilité de votre part à l'avenir.
  2. Vous êtes justement aux prises avec un problème très familier aux administrateurs de wikipédia : lisez, si vous l'avez déjà fait, Wikipédia:Autobiographie. Je ne remets pas le couplet sur l'humilité, mais il en va de même.
  3. Vous n'avez toujours apporté aucune source faisant état du rapprochement entre le sujet de l'article Roland Moreno et Boby Lapointe. C'est une exigence élémentaire ici. Un article n'est pas un essai personnel rédigé par les contributeurs, quels qu'ils soient. C'est une simple redite des sources externes sur le sujet. Idem.
Enfin, il y a manifestement un malentendu de fond: vous n'êtes pas, en tant que contributeur, une « source référentielle » dans ces articles. Vous êtes plus simplement un contributeur placé dans une situation délicate, qui nous est familière car elle se produit de temps à autre : celle où l'on connaît mal les spécificités de Wikipédia et où on souhaite cependant intervenir sur des articles dont on est le propre sujet. Cela demande beaucoup de prudence. Les liens donnés ci-dessus vous aideront à le comprendre, je l'espère, et devraient faciliter vos contributions par la suite. --Lgd (d) 30 mai 2010 à 17:54 (CEST)[répondre]


Accord/désaccord[modifier le code]

Je suis bel et bien novice, vous faites bien de le souligner, relativement au véritable (et admirable) maquis créé par les architectes de WP dans le souci, unique et irréductible, de garantir les droits : je veux parler du processus démentiel d'insertion d'une image dans l'encyclopédie.

Pourtant, mon initiation il y a quelques années (accrochage du Jardin des délices, Bosch, dans l'article triptyque) ne m'avait pas pris les cinq ou six heures que j'ai consacrées à la bague. Consacrées pas pour rien, j'en fais ici le pari ;-) : Exemple [modifier] - Ce format trouve un de ses aboutissements les plus connus avec le Jardin des délices, de Jérôme Bosch.
[J'ai raconté cette péripétie à cent personnes et à pas mal de journalistes, ce qui a dû valoir à Wikipédia quelques nouveaux contributeurs.]
À popos, pas moyen de remettre la main sur cette modif dans l'Historique de triptyque, qui s'interrompt en déc 2009. Une idée ?

J'ai déjà trois fois fourni tous les arguments qui justifient la place de la bague dans la rubrique HISTORIQUE de la page Carte à puce. Je ne réitère donc pas ce matin. Mais par pitié ne touchez plus à cette image, et cessons cette "guerre d'édition".

Ne tirez pas trop argument de mon noviciat : sûr que je peux vous en apprendre[1], sur Wikipédia. Demandez à Adrienne Serein.

« C'est une exigence élémentaire ici » : cette rigueur, si justement chère à Wikipédia, est superfétatoire dans la plupart des cas de la vraie vie (in et out Wikipédia), ainsiq que je le démontre immédiatement. Ne sont sourcés :

 ni ma fréquentation du lycée Condorcet
 ni mon divorce avec Stéphanie
 ni l'adresse, 1 rue Danton, de ma société
 ni mon Radoteur
 [...]
 ni la licence NOMEN
 ni [c'est grave] la qualification de NOMEN "leader international du nommage"
 ni ma parentèle avec Marcel Botton
 ni ma rencontre avec Jean-Pierre Leroy
 [...]
 ni le secrétariat de rédaction, ni même Chimie-actualités
 ni Les choses de la vie (je suis pourtant au générique), alinéa 54 [2]
 [...]
(Par contre ne sont cités ni Les parapluies de Cherbourg ni Les demoiselles de Rochefort : au générique duquel je suis pourtant crédité depuis la remasterisation en 32 bits (1999)[3] par Agnès Varda.[4]. J'essaierai de remédier à cette lacune — préjudiciable à la réputation (exactitude, complétude) de Wikipedia ;-))

Alors à propos d'exigences élémentaires : de ma rencontre avec Boby Lapointe (1969 [5] date on le sait ma collection de ses oeuvres, documentée depuis 21 ans au Who's Who[6].

« Vous n'avez toujours apporté aucune source » : et vous, avez-vous sourcé le subtil distinguo entre :

On voit aussi Roland Moreno faire une brève apparition dans le film Les Choses de la vie, où il joue un peu son propre rôle (Boby Lapointe, à l'esprit aussi délié, apparaît également dans ce film).

et

On voit aussi Roland Moreno faire une brève apparition dans le film Les Choses de la vie, où comme fils de Michel Piccoli il joue un peu son propre rôle.


C'est bien vous, Lgd, qui avez écrit « comme fils de Michel Piccoli » ?

Avez-vous une source quelconque (ne serait-ce qu'un article paru dans la presse) pour enrichir Wikipédia avec cette indication ?--Roland Moreno (d) 31 mai 2010 à 03:33 (CEST)[répondre]

N'hésitez pas à compléter l'article en apportant des sources sur les éléments que vous mentionnez ci-dessus, ou à les retirer le cas échéant (Je n'ai rigoureusement rien à voir avec la mention concernant ce film).
Un détail: il est inutile de créér une nouvelle section à chaque réponse. La lecture sera facilitée si vous respectez l'usage de répondre dans la même section en indentant votre message à l'aide du signe : répété.--Lgd (d) 31 mai 2010 à 06:57 (CEST)[répondre]
Sinon votre modification sur Tryptique est , mais un contributeur a changé l'article en page d'homonymie sans utiliser l'onglet renommer. Esprit Fugace (d) 31 mai 2010 à 07:44 (CEST)[répondre]


Merci Lgd, merci Esprit Fugace
• Triptyque : ça m'embêtait de passer pour un mythomane avec cette contribution introuvable.
• Je comprends vos conseils, Lgd, à propos des Nouvelles sections, mais c'était de ma part un choix de créer un développement propre.
Je tenais en effet à introduire, après l'asymétrie des contributions positives/négatives (ajout/effacement), cette idée de sourcing superfétatoire (pardonnez ce moche mot) avec les exemples
— Condorcet,
— Montaigne,
— divorce,
— 1 rue Danton,
— cousin,
— Chimie-actualités,
— "leader international", etc.
J'espère vous avoir convaincu.
• À propos :
Les contributeurs sont tenus de ne pas participer à une guerre d'édition sous peine de blocage.
Cet article a subi récemment une guerre d’édition au cours de laquelle plusieurs contributeurs ont mutuellement annulé leurs modifications respectives. Ce comportement non collaboratif est proscrit par la règle dite des trois révocations. En cas de désaccord, un consensus sur la page de discussion doit être obtenu avant toute modification.
Il s'agit sans doute de l'image de la bague (celle qui m' a donné tant de mal à installer via Commons).
À lire Lgd (« N'hésitez pas à compléter l'article en apportant des sources sur les éléments que vous mentionnez ci-dessus, [...]  »)
je reçois une claire invitation à compléter les articles avec les sources que j'y ai mentionnés.
C'est donc ce que je (re) fais ici ce soir, avant d'aller greffer tout ça sur la page Carte à puce, à côté de l'image, une fois que vous m'aurez donné votre imprimatur, c'est-à-dire dès qu'un consensus aura été trouvé en page de discussion.
(Rappel) - Une phase pionnière de la carte à puce a donc tout lancé, très exactement du 25 janvier au 9 mars 1974. (Et non pas, comme cela été écrit ici, à tort, « [un bijou] ce n'est pas une carte à puce, ce n'est même pas l'ancêtre d'une carte à puce, ou la première, ou une carte à puce en cours de développement, [...]  : c'est un souvenir sentimental.  ».)
Pendant toute cette période mon projet de paiement électronique s'est appelé BB (pour Bague Bancaire), le bébé — la gestation — d'un gros-gros projet en perspective.
À titre de compléments documentaires voir aussi :
— le disque audio (qui dans sa brève période pionnière fut un cylindre de cire)
— le pass Navigo, qui à l'origine de sa conception (mi-90') était proposé par le binôme RATP/Swatch sous forme d'une montre-bracelet. (Un autre genre de "bijou".)
Toute cette phase initiale abondamment décrite ici :
• Claire de Narbonne (De la puce à l'oreille, First 1989) : dix pages à partir de 39 (ISBN 2-87691-062-4)
• moi-même (La Carte à puce - Histoire secrète, L'Archipel 2002) : dix pages à partir de 28 (ISBN 2-84187-348-X)
• idem plus récemment (décembre 2009)[7] Victoire du Bordel Ambiant en ligne alinéas @106,3 - @112,13 - @112,2 - @112,4 - @129.    (Voir aussi [8] mêmes alinéas.)

Malgré le n'hésitez pas de Lgd, et dans l'angoisse de subir le redoutable R3R, j'attends donc le feu vert d'un administrateur avant de publier l'image dûment documentée. (Courageux mais pas téméraire.)

Il ne s'agit pas (uniquement) d'auto-promouvoir ma littérature (mon âpreté au gain est bien connue) : il faut savoir que sur mille personnes rencontrées, 999 demandent comment j'ai eu l'idée, et qu'il en reste 990 pour demander : c'était comment au début, c'était pas une bague ou quelque chose ?
--Roland Moreno (d) 1 juin 2010 à 04:47 (CEST)[répondre]
La bonne démarche est en effet de discuter ici des points contestés avant de modifier l'article. Pour le détail:
  • « sourcing superfétatoire »: le problème des informations triviales et de l'utilité de les sources est... vieux comme Wikipédia. Je n'ai pas le temps de vous chercher de passionnant débats sur la question (ils sont nombreux), mais une attitude prudente me semble (je n'ai qu'un avis personnel de vieux contributeur sur la question) que le contributeur tenant à l'ajout d'une information réponde positivement à une demande de source, aussi singulière semble-t-elle. Cela met de l'huile dans les rouages.
    Ma recommandation de ne pas hésiter signifiait simplement : n'hésitez pas à apporter des sources précises à toutes les informations de ce type. Aucun contributeur/administrateur n'est cependant autorisé à « donner son imprimatur » : l'idée générale est uniquement de collaborer entre gens civilisés.
  • La bague : la question a déjà été soulevée et reste pour l'instant sans suite bien constructive : cela a-t-il sa place sur l'article Roland Moreno ou sur Carte à puce ? Dans les deux cas, une simple illustration (allusive) ne suffira pas : un minimum d'explication devrait être donnée au lecteur sur ce point que l'image ne suffit pas à comprendre. Côté choix de l'article, cela me semble somme toute annexe dans le thème « carte à puce », malgré les 999 demandes évoquées ci-dessus. Par ailleurs, je vous avouerai qu'en tant que lecteur, le rapport en l'image très précisémment utilisée et cette question de la bague me semble curieux : il me semble que l'image ne représente pas, par exemple, un prototype ou une preuve de concept, mais plutôt un souvenir personnel en forme de clin d'oeil ? Dans ce cas (je peux me tromper, n'hésitez pas à développer), sa place serait à la rigueur sur l'article Roland Moreno, avec un peu complaisance autobiographique. Pour en rester au contenu essentiel, cela n'exclue absolument pas (au contraire) un développement textuel précis sur cet épisode de l'idée initiale « bague », appuyé sur les sources que vous avez apportées.
Sinon, au jeu un peu puéril de qui se moque gentiment de l'autre incidemment, je pense que nous avons tous deux fait nos preuves, et que nous pouvons à présent nous en tenir à ce qui concerne la rédaction des articles, ce qui est l'unique objet de la présence de tout contributeur Émoticône. (écrire en plus petit est ici une forme d'incise autorisant un commentaire humoristique ou personnel, dans les limites de la bienséance, ou encore une manière de régler rapidement un point sans grand utilité). Cordialement,--Lgd (d) 1 juin 2010 à 10:37 (CEST)[répondre]
Le détail a immédiatement frappé mon oeil* : quelle est la syntaxe pour écrire en petit corps ?
(Je reviendrai ce soir sur vos autres réponses, dont je vous remercie sans plus me moquer de vous.)
______________
(*) Pourtant usé par des nuits entières passées à vous écrire. Vous et aussi Felix  --Roland Moreno (d) 1 juin 2010 à 12:27 (CEST)][répondre]
L'astuce réside dans la fenêtre d'édition, sous le formulaire, sous la forme d'un lien qui a l'apparence de <small></small>, sur lequel cliquer après avoir sélectionné le texte auquel l'appliquer. Sinon, vous pouvez plus directement écrire <small> au début du texte concerné, et </small> à la fin (regardez ce message en mode édition pour voir un exemple). En cas de besoin, pour les multiples détails pratiques d'édition dans Wikipédia (junglesque), vous pouvez poser la question sur ce que l'on appelle la guilde, ou plus directement sur ma page de discussion. --Lgd (d) 1 juin 2010 à 12:40 (CEST)[répondre]
Parfait, j'apprécie votre tuyau la guilde (où j'observe en un bref coup d'oeil quelques amorces de débats théoriques) j'ai en outre appris ce soir le smiley (ça m'étonnait aussi, depuis le début, que cet INDISPENSABLE accessoire fasse défaut dans la jungle des Pages de discussion Wikipédia).
Et revenons à la bague.
Votre indétermination entre Roland Moreno et Carte à puce est justifiée, je la comprends. Mais elle tient au sentiment qui est le vôtre « plutôt un souvenir personnel en forme de clin d'oeil ».
Moi, je vous le dis tout de suite, je n'ai aucune inclination pour l'une ou l'autre page. Pourvu que la bague soit représentée, telle quelle, sans quoi je mange mon chapeau d'encyclopédophile, et j'abjure Wikipédia.
— Pour la page CÀP : c'est vraiment en tant que bague [9]que cette invention a séduit, affolé, mobilisé 35 personnalités du monde bancaire, du 25 janvier au 9 mars.
  • C'est sûr que le projet 'BB' (bague bancaire) a été tout-à-fait pris au sérieux par lesdites personnalités (plusieurs sont revenues aux réunions suivantes) qui ont souvent fait des rapports positifs à leur hiérarchie.
• Un détail qui n'est pas mince : c'est en tant que BB que l'invention a été brevetée gatuitement par Francis Marquer (ça n'arrive JAMAIS qu'un conseil en propriété industrielle s'investisse financièrement dans un dossier au point de miser ses propres sous (disons : 10.000€).
Sans cet inespéré coup de pouce, il n'y aurait pas eu de brevet fondateur, donc pas de projet industriel ; quelqu'un d'autre aurait sans doute inventé un truc comparable quelques (semaines ? mois ? années ?) temps après. Mais ça c'est une autre histoire. Alinéas @106,3 - @112,2 - @112,4 - @129
  • C'est bien à la BAGUE que l'industriel Bull a fait la guerre vingt ans durant. Si vous ne devez lire qu'une seule biblio, offrez-vous L'Affaire Barjavel (alinéa 112,13), c'est pas long et ça permet de bien comprendre comment et pourquoi Bull n'a finalement jamais terrorisé IBM ni Microsoft ni quiconque.
— Pour la page RM : c'est vrai que le personnage est un mystificateur, permanent faiseur de canulars, décalé à plein temps, consommateur de substances (légales en Hollande) et que la puce de 1024 bits est grossièrement ficelée sur la chevalière avec du fil de fer — d'où les guilllemets du mot 'sertie'. Ça c'est pour la « complaisance autobiographique ».


Imprimatur : je savais bien sûr que ce n'était pas le bon mot, au sens premier, mais j'entendais : un administrateur constate qu'un consensus est intervenu. (Comme ce soir — je crois— —sur la bague.)


« De l'huile dans les rouages » : vous êtes sage de parler ainsi, mais on se heurte au mur de l'insourçabilité :
 — nulle part n'existe un topo certifiant que mes brevets se sont imposés, après 19 années de procédure, contre Philips, Siemens et IBM
 — pour autant, serait-il encyclopédique de ne pas mentionner (effacer) cet affrontement historique ? (Ce n'est pas par hasard si je suis élu au National Museum of American History.)
Pardonnez cette inévitable auto-promotion, cet exercice obligé de nombrilisme : si nous échangions au sujet de Stanley Kubrick, du gigot, ou de la candidature turque à l'Union européenne, — sans doute ne parlerais-je pas de moi.Émoticône --Roland Moreno (d) 2 juin 2010 à 05:55 (CEST)[répondre]
Parfois c'est une affaire de formulation, par exemple s'il est délicat de sourcer "brevet qui s'est imposé", faute de référence, il serait peut-être possible d'écrire "brevet qui a été attaqué, mais n'a jamais été invalidé" (si vous pouvez sourcer qu'il a été attaqué - ça ne devrait pas être trop difficile). On ne pousse pas le vice, usuellement, jusqu'à demander des sources pour des trucs qui ne se sont pas produits, comme l'invalidation de votre brevet. Enfin bon. Si vous pouviez avoir un point de vue un peu plus global sur cet article, moins personnel (plus objectif), il me semble que l'on avancerait mieux. Esprit Fugace (d) 2 juin 2010 à 06:24 (CEST)[répondre]
Je vais essayer d'avoir un point de vue un peu plus global. (Vous êtes diplômée au moins bac +5, mais ce n'est pas si facile pour un autodidacte comme moi.)
En attendant, j'ai mis en ligne une des bibliographies que je citais ces derniers temps La carte à puce - Histoire secrète (L'Archipel, 2001).
Vous pourriez critiquer cette source[10] — une synthèse écrite par moi-même — mais personne ne l'a fait depuis neuf ans, et ces adversaires dont nous parlons (Bull, Philips, Siemens, IBM) n'ont ni contesté judiciairement, ni même démenti.
Pour les besoins de cette discussion avec vous, j'ai inséré tout en tête du volume quatorze liens qui, à des degrés divers, pointent tous sur la question clé de la dépendance : le brevet est-il valable, est-il nouveau et d'une hauteur inventive suffisante, s'impose-t'il contre l'art antérieur, et enfin l'industriel qui fabrique les objets inventés dépend-il de ce brevet ?
Vous pouvez consulter les références à Philips, IBM, Siemens, et Bull en cliquant sur les chiffres soulignés. --Roland Moreno (d) 4 juin 2010 à 05:53 (CEST)[répondre]


Moyens inhibiteurs[modifier le code]

Suis allé faire une synthèse sur les Moyens inhibiteurs.

Cela s'imposait, après une esquisse dans Analyse de consommation (cryptographie).

Deux développements restent nécessaires (contrôle parental, clés USB), mais ce qui m'embête le plus est que pour insérer l'illustration, je n'ai pas trouvé d'autre instruction que gallery, d'où une image illisible à force d'être minuscule. Sauf à cliquer dessus, ce qui agrandit bel et bien (trop) mais nettement moins élégant que le petit ergot "agrandir".

D'où la présente demande d'aide : si quelqu'un veut bien s'y coller — je suis sûr qu'il n'y en a pas pour plus de cinq minutes. Merci d'avance.--Roland Moreno (d) 8 juin 2010 à 05:39 (CEST)[répondre]


Justification de la demande :

  • citée par l'article : Arts & Métiers [11]
  • autre source : état des quatre inventions sur la page officielle :[12]
  • publication officielle des 5 brevets Moreno où sont décrits depuis 35 ans le plus élaboré des moyens inhibiteurs : [13]
  • les brevets carte à puce pour illustrer la Notion de brevet : [14]
  • au XXe siècle, attaques contre les brevets Moreno, dont chaque échec renforce l'autorité (14 index en tête de volume) : [15]

Objection à la suppression d'image[modifier le code]

Je ne souhaite pas participer à une guerre d'édition, et donc ne pas rétablir aussitôt l'article à sa version antérieure (revert?) mais...

Le profil de la carte ne présente pas d'intérêt.

Le verso, par contre, indique le nom de la société et la date de copyright (sans mentionner, oubli fâcheux hélas, notre cher Roland).

Est-ce cela qui dérange? En quoi cette suppression fait-elle progresser l'encyclopédie? L'image a certes un intérêt limité, mais quelle est la raison légitime de la suppression?

Y a t-il un avis impartial sur cette épineuse question?

Merci de vos commentaires.

Papardelle (d) 14 juin 2010 à 00:02 (CEST)Papardelle[répondre]


Merci de t'être aperçu que la vue de profil ne présentait pas d'intérêt. (Je craignais que, signée par moi, cette observation ne fût mal reçue : mon patrimoine, ma gloire, etc.)
Le nom de la société ? Mais il est en énormes caractères au recto (et il manque d'ailleurs le Registre du commerce ainsi que le numéro SIRET si l'on a des exigences de précision).
Une illustration particulièrement utile représenterait le lecteur capable de lire cette carte. Et, assurément, une photo du dessous de l'appareil ferait « progresser l'encyclopédie » : normes électriques et électromagnétiques respectées, réf. du contrat de maintenance (toujours la précision).
Je t'invite à regarder le texte à gauche des images : on est dans l'historique, dans les concepts fondateurs (comme dit le CNAM[16]) :
  * couplage életcromagnétique, futur "sans contact"
  * Brevets Dethloff puis Ugon
  * Moyens inhibiteurs en logique câblée (1982) ou programmée (1983) enseignés par le même Ugon
  * changement de fonction par changement de masque.
  [...]
Et en plein historique, un administrateur efface purement, simplement et sans sommations l'unique photo de la BB (bague bancaire à mémoire), au motif qu'« un bijou, ce n'est pas une carte à puce » ?
La voilà, la « raison légitime de [sa] suppression ».
Quant à la légende de l'image principale : Carte à microcalculateur CP8 - Première carte à puce commercialisée. (Je dirais plutôt : Carte à microcalculateur CP8 - Présentation de la première carte à puce monochip. La "commercialisation" a toujours été hautement suspectée. Par contre, le monochip (monopuce, plutôt que 2716+3870) est un authentique breakthru dans l'histoire de la carte.
Merci de pardonner l'anglophonie ambiante, toujours de règle dans les semi-conducteurs ;-).
J'en profite pour te rappeler deux sources parmi N[17] relativement à la bague :
  •   Claire de Narbonne-Fontanieu - De la puce à l'oreille, First, 1989, (ISBN 2-87691-062-4), pages 39 à 49
Merci de ton attention, j'espère t'avoir convaincu.--Roland Moreno (d) 14 juin 2010 à 04:58 (CEST)[répondre]


Finalement, j'ai tenu à préciser "carte à microprocesseur" (plutôt que "carte à puce"), puisque Schlumberger et Thomson (futur ST) avaient déjà sorti la future télécarte à logique câblée (fig 4 & 3 des Moyens inhibiteurs[19]) en 1982.
Microprocesseur est un poil trop vulgarisé, mais mieux compréhensible que microcontrôleur ou microcalculateur. (Aucune nuance relevante entre ces trois appellations : ni commerciale ni technique.)--Roland Moreno (d) 14 juin 2010 à 18:48 (CEST)[répondre]


Typologie[modifier le code]

Le distingo entre logique élémentaire et logique intensive est trop important pour qu'une typologie à l'ancienne (synchrone/asynchrone) suffise encore. Nous sommes en 2010.

Considérer par exemple les très importants produits Mifare et Atmel, respectivement 1S50 et AT88SC1608.[20][21][22]

Voir aussi China ID card[23][24][25].

Et puis Picsi [26] qui introduit une quatrième appellation : les cartes à mémoire personnalisée.

C'est décidément le cours de S. Bouzefrane au CNAM qui (me) semble offrir aujourd'hui la meilleure synthèse, presqu'exhaustive, en langue française sur les CÀP.

Enfin, méditer cette proclamation de Philips/NXP : « Mifare 1S50 is a true multi-application smart card IC with the functionnality of a microprocessor realised with hardwired logic ».

Et en plus ce sont ici des cartes RFID, ce qui ne simplifie décidément pas la classification. (Surtout si, outre l'antenne, elles ont aussi des contacts galvaniques ;-).)--Roland Moreno (d) 19 juin 2010 à 12:04 (CEST)[répondre]

Le support de cours de Samia Bouzefrane ne peut à mon sens être pris comme article de référence.
Il fait certes une synthèse fort honorable de la carte à puce, mais les informations datent un peu (par ex. Vcc = 3 ou :5V ou RFU pour C4 et C8) et sont parfois entachées d'erreurs (p 82: "Les cartes dialoguent à 9600 bits/s pendant :l’ATR").
La distinction entre cartes asynchrones (qui échangent des APDU - 7816-3 et -4) et cartes synchrones est facile à faire. :Ancien, peut-être, mais efficace. (Faut-il rappeler que la sécurité des cartes Mifare a été battue en brèche, suscitant pas mal de remous dans l'industrie et beaucoup de communication de la part de NXP?)
La différenciation entre cartes à mémoire simple ou complexe est beaucoup plus floue (50 portes ? D'où vient ce :distinguo? Qui compte les portes ?)
Je serais bien incapable de trier les cartes à mémoire (qui se raréfient d'ailleurs d'année en année) selon de tels :critères.
La distinction synchrone/asynchrone me semble la mieux justifiée, la plus facile peut-être, tout autre étant sujette à caution et difficulté d'interprétation.

Papardelle (d) 27 juin 2010 à 23:37 (CEST)Papardelle[répondre]

PS Quelqu'un (Parpadelle peut-être ?) peut-il m'aider à sortir les liens externes du cache (wikiwix.com/cache) où ils désormais nombreux à être placardisés ? (Je ne comprends pas la page d'aide Pmartin/Cache.)

Pour les trucs qui concernent les cartes à puces, demandez à Papardelle, pour les trucs qui concernent Wikipédia, demandez-moi. On ne peut pas "sortir" les liens du cache : ce cache est là pour conserver les pages vers lesquelles pointent un lien externe, même lorsque le site originel n'est plus accessible. Seuls les liens externes déjà existant sont mis en cache, je ne comprends ce que vous voulez dire par "placardisés". Les liens vers le cache sont juste à côté des liens normaux. Esprit Fugace (d) 19 juin 2010 à 12:57 (CEST)[répondre]


Vous avez raison, et je m'en aperçois à l'instant, juste vous ayant lu.
Je n'avais pas observé que trois régions étaient cliquables : gauche centre et droite (numéro, icône, archive). Et c'est la région droite, seule, qui fait apparaître "wikiwix.com/cache". Si on survole la gauche (c'est à dire le numéro ou l'icône) seul l'url direct est visible.
Si je vous ai compris, cette technique devrait éviter les cauchemardesques (et surtout anachroniques) erreur 404, au moins sur Wikipédia. Exellente nouvelle.
À la place de "placardisés" j'aurais donc dû écrire mis en sécurité. Dont acte à "Pmartin".
Merci en tous cas, le problème est réglé pour moi.--Roland Moreno (d) 20 juin 2010 à 09:11 (CEST)[répondre]


Et puisque vous m'y invitez :
j'ai deux question à poser à Parpadelle (demain).
Oui???
Et j'en ai une pour vous : lire d'abord le bas de la PD Carte à puce, ensuite m'aider à expliquer à "jmax" ce qu'est un "article personnel" (tel que Roland Moreno) à la différence d'un article technique ou économique tel que Carte à puce ou Innovatron.
Il affecte de ne pas la comprendre, cette différence, et efface les justifications d'un lien qui pointe vers 23 de mes inventions gratuites (justement).
Il affecte aussi ne pas comrendre ce qu'est gratuit, et efface dans l'urgence un lien qui pointe sur une page d'Apple où Apple ne vend rien. Il y voit de la publicité.
Il affecte enfin ne pas voir deux références qui sont sous ses yeux (note 5 et note 6)
Enfin, il prend le risque de relancer une guerre d'édition. (J'essaierai de vous en dire plus.)--Roland Moreno (d) 20 juin 2010 à 09:11 (CEST)[répondre]


Électrodes et galvanique[modifier le code]

"électrodes de cuivre" : ce ne sont pas des électrodes, et les contacts ne sont pas en cuivre. Même chose pour galvanique.

(Vaut mieux justifier la moindre modification, non?) Papardelle (d) 24 juin 2010 à 21:09 (CEST)Papardelle[répondre]



Carte à puce : son principe[modifier le code]

Il est souhaitable que les "compléments sur la carte à puce" apparaissent en plein texte et non pas en note, sous-note, annexe surtout accompagnée de l'infâmante mention "pub diverses". L'article qui décrit ce principe a été détruit mi-90, pour des raisons qui restent encore obscures [à mes yeux] : 'travail inédit'. Soucieux que l'information du wikinaute soit la plus exhaustive (surtout s'agissant du coeur de l'invention), je me suis alors permis d'aller l'enregistrer sur EncycloNova, puis de là un lien externe a rétabli la connexion avec la carte à puce proprement dite.

--Roland Moreno (d) 12 avril 2011 à 01:50 (CEST)[répondre]

Article "pourri"[modifier le code]

Deux mauvaises raisons de recourir à un vocabulaire si peu ...correct :

1. En matière de brevets, le mot grand public "validité" est explicité le cas échéant par deux critères déterminants :

  • nouveauté
  • inventivité

Quiconque ne connaît (ni ne maîtrise) ces notions doit s'abstenir d'intervenir dans le champ des brevets, auquel appartient le texte controversé.


2. Le "brevet Moreno" n'a jamais été vendu à qui que ce soit, pour quelque montant que ce soit.

Les PTT n'ont jamais acheté quoi que ce soit à Innovatron, ni matériel, ni logiciel, ni services, matériel ou immatériel.

Celui qui écrit « acquiert le brevet de la carte à puce déposé par Moreno, transfert de propriété qu'elle ne rendra public qu'en 1991, et » fait oeuvre de vandalisme, exactement comme s'il écritvait Chabada bada.


Question importante à ce stade : "Parpadelle" (celui qui écrit) est-il ou non administrateur de Wikipédia ?


Aucune "guerre d'ego" donc (ni dans le premier cas ni dans le second), simple routine fastidieuse d'élimination de telles et telles anomalies, — ici endogènes. --Roland Moreno (d) 23 avril 2011 à 07:09 (CEST)[répondre]

Réfutation de "vandalisme" allégué les 12 et 23 avril 2011.[modifier le code]

Je rappelle que la source secondaire d’informations, publiée en 1991, que constitue le livre de l’historienne Chantal Le Bolloc’h-Puges, intitulé « La politique industrielle française dans l’électronique », a déclaré en page 84, s’agissant de la carte à mémoire permettant le paiement électronique : «la DGT décida de prendre les choses en main, acquit le brevet, puis organisa la mise au point des prototypes en instaurant une collaboration entre elle et les principaux intéressés, les établissements financiers : un GIE fut constitué regroupant les PTT et dix banques françaises. Elle alla plus loin encore, en organisant la réalisation des cartes et des terminaux point de vente» .

Sur la base de ce document, j’ai notamment formulé dans le corps de l’article que, en 1978, la DGT acquiert le brevet et que cela n’a été rendu public qu’en 1991 (par la publication du livre précité) et j’ai rapporté textuellement l’extrait du livre en bas de page de l’article.

Roland Moreno ne partage visiblement pas cette vue des évènements donnée par l’historienne, mais cela n’est pas une raison pour faire croire aux internautes que j’aurais dénaturé ce qui est écrit, que je me serais comporté en vandale, c’est au contraire si je n’avais pas repris le verbe ‘acquérir’ que j’aurais dénaturé le texte.

Je ne partage pas personnellement la vue des évènements donnée dans le livre, cependant l’article s’enrichit de présenter les différentes versions telles qu’elles sont, comme Wikipédia le préconise.Daniel Vesque (d) 30 avril 2011 à 17:24 (CEST)[répondre]

Cartes à puce et systèmes d’exploitation.[modifier le code]

L’introduction des microprocesseurs a eu lieu dans la carte de paiement dénommée populairement ‘carte à puce’, de même qu’elle a eu lieu partout ailleurs à partir de la même époque, par exemple dans les avions, et même plus récemment dans certaines bicyclettes. Il convient de faire attention à ne pas dévaloriser, faire régresser techniquement, les inventions qui ont précédé l’évolution technologique amenant les microprocesseurs. Il est exagéré d’écrire que la carte à puce n’aurait été qu’une ‘simple mémoire’, de même qu’il serait exagéré d’écrire que Concorde, qui ne comprenait pas de microprocesseurs non plus, n’aurait été qu’un simple monoplan ou que la bicyclette ne serait qu’une simple draisienne quand elle ne comporte pas de microprocesseur.Daniel Vesque (d) 25 juin 2011 à 12:14 (CEST)[répondre]


Contestation de paternité[modifier le code]

M. Daniel VESQUE a introduit depuis 1994 une procédure pénale en contestation de la paternité de l'invention de la carte à puce. Sa demande a été plusieurs fois rejetée, par différentes juridictions, et en dernier lieu par un arrêt de la Cour de Cassation du 9 mars 2011. En effet la Cour suprême s'est très clairement prononcée : "les énonciations de l'arrêt attaqué mettent la Cour de cassation en mesure de s'assurer que, pour dire n' y avoir lieu à suivre contre quiconque, la chambre de l'instruction, après avoir analysé l' ensemble des faits dénoncés dans la plainte et répondu aux articulations essentielles des mémoires produits par la partie civile appelante, a exposé les motifs pour lesquels elle a estimé qu'il n'existait pas de charges suffisantes contre quiconque d'avoir commis les délits reprochés, ni toute autre infraction". Il s'agit là d'une décision de renvoi après cassation à laquelle M. Daniel VESQUE était partie civile. La décision est accessible sur LEGIFRANCE : [[27]] Compte tenu de cette décision, le débat par lequel M. Daniel VESQUE contestait ma qualité d'inventeur est définitivement clos ; je supprime donc le paragraphe correspondant dans WIKIPEDIA, qui n'y a jamais eu sa place. --Roland Moreno (d) 27 juillet 2011 à 08:31 (CEST)[répondre]


Droit de réponse de Daniel VESQUE

■ M. Roland MORENO a supprimé toutes les informations de l’article relatives à la contestation de paternité de l’invention de la carte à puce, or les wikinautes ont le droit de s’intéresser, de vouloir comprendre et d’être informés, même si M. MORENO pense le contraire. J’ai moi-même le droit de répondre à celui-ci et de renseigner l’encyclopédie en relatant les thèses soutenues par les uns et les autres dans le procès ainsi que son déroulement, de manière suffisamment détaillée pour que cela soit compréhensible, et toujours selon une formulation qui respecte le principe de présomption d’innocence.

Tout d’abord, pour les wikinautes qui ne liraient que cette partie de la discussion, je rappelle que M. Roland MORENO n’est pas la seule personne soupçonnée dans mes deux plaintes contre X de mai 1995 et de novembre 2000, relatives à l’invention de la carte de paiement s’autocontrôlant et s’inhibant après quelques tentatives d’utilisation avec un code confidentiel erroné, dénommée populairement ‘carte à mémoire’ puis ‘carte à puce’, plaintes dont les chefs d’incrimination sont notamment « d’usurpation de la qualité et du titre d’inventeur de la carte à puce, de complicité, ainsi que de recel en commun ». Sont soupçonnées également certains dirigeants de mon ancien employeur public, maintenant dénommé FRANCE TELECOM, et certaines personnes de sa filiale CII-HB devenue BULL par la suite ; Il s’agit donc d’une affaire ‘sensible’ et non pas d’une simple affaire entre deux particuliers, comme le porte à croire notamment M. Roland MORENO.

■ Dans ma plainte, j’ai exposé que M. Roland MORENO et mon employeur FRANCE TELECOM ont pris connaissance en même temps de mon invention, en novembre 1973 lors d’une communication téléphonique de l’association INNOVATRON se disant en quête de travaux de sous-traitance. Je soutiens dans ma plainte que, à partir de là, M. MORENO a « usurpé » la qualité d’inventeur et que parallèlement mon employeur l’a usurpée lui aussi, discrètement par l’intermédiaire de sa filiale CII-HB interposée; Que la filiale ayant été battue de vitesse dans la course au brevet par M. Roland MORENO (25 mars 1974 contre 31 décembre 1975), mon employeur a alors « dicté » à celle-ci en septembre 1976 de s’entendre avec M. MORENO et de signer avec lui une licence d’exploitation; Qu’en agissant ainsi, par filiale interposée et par « prête-nom », mon employeur public, qui s’était mis immédiatement et ouvertement à exploiter mon invention et à qui incombait donc de faire le nécessaire pour sa protection industrielle et de respecter mes droits, opérait en fait en usurpation pure et simple de ceux-ci car il s’agissait d’une invention indépendante et non pas d’une invention de service. La plainte, que j’ai déposée lorsque j’ai pu enfin voir clair dans ce jeu de dupes, comporte un faisceau d’indices et plusieurs éléments de preuve matériels. J’ai sollicité en outre auprès du juge d’instruction puis de la chambre de l’instruction de la Cour d’appel, des auditions ou confrontations ainsi qu’un certain nombre d’autres actes d’investigations s’il en était besoin, mais toujours en vain à une exception près dont je vais parler ci-dessous.

La plainte de mai 1995, qui portait sur des faits réitérés du 25 mars 1974 au 11 janvier 1995, a été rejetée par un arrêt d’octobre 2000 au motif critiquable de prescription, non cassé. J’ai alors introduit une nouvelle plainte en novembre 2000 dont les chefs d’incrimination étaient les mêmes, qui a décrit que M. MORENO s’était présenté de nouveau plusieurs fois au public comme étant l’inventeur ; qu’il avait conforté son allégation en faisant intervenir notamment divers bricolages, entre autres une ‘machine à tirer à pile ou face’ mécanique subrepticement devenu électronique ensuite, et en alléguant nouvellement qu’il avait eu l’idée de la carte à puce après avoir fumé un joint, ajoutant « c’est la réalité, je ne peux pas mentir ». La chambre de l’instruction a jugé cette nouvelle plainte irrecevable par arrêt du 5 décembre 2001, déclarant en substance que M. MORENO pouvait maintenant se déclarer inventeur sans commettre de délit dès lors que les faits initiaux, ayant existé ou non, étaient prescrits ; mais la Cour de cassation a approuvé mon pourvoi et a cassé cet arrêt le 17 septembre 2002 en qualifiant les motifs de « motifs inopérants » (cet arrêt de cassation); Un nouvel arrêt de non-lieu a été rendu le 12 septembre 2008 qui a également été cassé en ma faveur par l’arrêt du 28 avril 2009 de la Cour de cassation, en raison cette fois de la participation prohibée d’un magistrat ayant participé précédemment à l’arrêt cassé (cet arrêt de cassation).

En quinze ans, un seul acte d’investigation a été effectué en tout et pour tout : l’audition le 12 mai 2006 de M. Michel UGON, ingénieur de BULL qui a travaillé dans le domaine des cartes de paiement depuis 1976, que je suis allé voir à BULL-CP8 en juin 1990, dont je déplorais qu’il sous-estime le brevet de la carte à puce mais dont j’ai demandé l’audition en raison notamment de ce qu’il avait remarqué que BULL avait reçu l’ordre de signer « en 15 jours » la licence d’exploitation précitée de septembre 1976 du brevet déposé par M. Roland MORENO, cela avant même que le service de brevets interne ait eu le temps de se faire une opinion. Pourquoi la chambre de l’instruction a-t-elle enjoint au juge d’instruction de n’entendre que cet ingénieur M. UGON, à l’exclusion de toutes les autres auditions ou confrontations sollicitées, notamment l’audition du fonctionnaire et ancien collègue de bureau, ayant grade d’inspecteur principal au CNET, dont j’ai demandé l’audition pour la raison que c’est par lui que mon employeur a pris connaissance de mon invention, en novembre 1973, et qu’il fut chargé ensuite, m’excluant ouvertement, de démarrer l’exploitation de celle-ci ? et l’audition également du chef du service des brevets du CNET de l’époque, devenu conseiller technique ministériel et également président de la société INNOVACOM  ? et l’audition du directeur de banque qui s’est montré disposé à témoigner pour exprimer que, après avoir reçu M. Roland MORENO en 1974 avant le dépôt du brevet, il ne croyait aucunement qu’il était l’inventeur de la carte à puce ? Et, qu’a bien pu déclarer M. Michel UGON lors de son audition ? Je ne sais répondre factuellement qu’à la dernière question. D’abord, il n’a nullement été interrogé sur l’injonction sous quinzaine qui avait motivé ma demande d’audition, ensuite, il a simplement exprimé son opinion selon laquelle les brevets de 1974-75 déposés par M. Roland MORENO auraient été antériorisés par l’américain M. ELLINGBOE, et, pour étayer son allégation, il a joint un article publié en janvier 1997 par M. Jean MOULIN dans le magazine ‘CENTRALIENS’, n°482 (consultable en bibliothèque et à l’Ecole Centrale).

M. Jean MOULIN, ingénieur-conseil en propriété industrielle, a été le prestataire choisi par M. MORENO pour réaliser la protection industrielle de l’invention de la carte à puce. Mes plaintes les ont soupçonné d’avoir breveté mon invention, « maquillée » dans un premier temps le 25 mars 1974 sous la forme d’une variante bague, avant de la breveter dans un deuxième temps sous sa forme de carte au 1er semestre 1975.

■ Ma lettre de réfutation détaillée du 15 septembre 2006 adressée au juge d’instruction a notamment répliqué que, d’une part, l’article de M. MOULIN avait été écrit après le dépôt de ma plainte de mai 1995, et après qu’il ait recueilli les royalties d’un grand nombre de licenciés dans le monde entier ; Que d’autre part cet article est contradictoire car il porte à croire à l’antériorisation de l’invention de la carte de paiement s’autocontrôlant et s’inhibant, en citant les brevets « Castrucci, Halpern, Ellingboe, Gretag, Dethloff, Arimura,.... » alors que ces brevets ne sont que des antériorités partielles, et alors que l’auteur se loue dans le même article d’avoir su extraire et rédiger « les concepts inventifs de la carte à mémoire, sous une forme telle que, vingt ans après, ceux-ci sont toujours reconnus » et d’avoir ainsi été victorieux dans ses « combats décisifs contre Philips et Siemens » qui alléguaient précisément l’antériorisation de l’invention pour échapper au versement de royalties ; Que d’autre part encore l’article présente une figure du brevet CASTRUCCI faisant croire, par sa légende comparant une phrase de ce brevet avec une phrase du brevet du 25 mars 1974, que les deux brevets s’équivaudraient, alors qu’ainsi M. MOULIN semble oublier qu’il a opposé lui-même par écrit, en mars 1978 auprès de l’INPI, que le brevet CASTRUCCI ne précise pas les moyens et modalités de transfert des informations contenues dans la mémoire et n’enseigne pas les moyens inhibiteurs qui coopèrent avec les précédents, et il semble oublier également qu’il ne peut revenir sur ce relevé dès lors qu’il est matériel, factuel (brevet Castrucci) ; Que les mêmes moyens manquants ont été relevés par lui à l’encontre des autres brevets antérieurs, et s’il n’a rien écrit sur le brevet ELLINGBOE (brevet Ellingboe) c’est tout simplement qu’il n’avait pas lieu d’en parler dès lors qu’il n’était pas cité dans les Avis documentaires établis; Qu’enfin, si les droits des prédécesseurs précités dans ce domaine avaient été piétinés, il y a lieu de penser que ceux-ci n’auraient pas manqué de les faire valoir ; qu’en particulier IBM qui était le déposant du brevet CASTRUCCI n’aurait pas signé une licence d’exploitation, ce qu’elle a fait. (extraits de l’article de M. Jean MOULIN)

Concernant l’allégation d’antériorisation de M. Michel UGON, ma lettre de réfutation précitée a exprimé que d’une part son opinion m’était connue mais que je n’y avais pas attaché une importance extrême sachant qu’il était un inventeur en position de concurrence, de rivalité même, du fait de ses brevets qui ont microprocessorisé la carte à puce quand son exploitation sous cette forme est devenue technologiquement possible, ceux du 26 août 1977 et du 25 avril 1978 en particulier, qu’ainsi son opinion n’était nullement avis d’expert indépendant ; Que d’autre part son opinion n’était nullement corroborée par les décisions judiciaires rendues, évoquées par M. Jean MOULIN pour s’en féliciter, décisions dont le Livre mondial des inventions de l’année 1992 de Valérie-Anne Giscard d’Estaing s’est également fait l’écho en ces termes :

« Face aux plus grands Moreno gagne son procès. Fin 1990, la Cour fédérale allemande des brevets a rejeté les appels formés par Philips et Siemens et confirmé la portée des inventions de Roland Moreno : pratiquement toutes les applications des cartes à puce. Sa société Innovatron compte aujourd’hui 120 sociétés licenciées dans le monde, dont IBM, Canon, Bull, ou encore Mitsubishi. »

■ Le procureur de la République a émis un réquisitoire de non-lieu le 26 février 2008 qui accorde crédit à l’allégation de M. Michel UGON de mai 2006 et qui masque ma réfutation de septembre 2006. On peut y lire que «... cette carte n’avait pas été brevetée par M. MORENO, ni par Daniel VESQUE mais par un américain, M. ELLINGBOE qui avait déposé le brevet le 19/10/1970 aux Etats -Unis (D48). » (ce réquisitoire)

Ce réquisitoire a été suivi d’une ordonnance de non-lieu qui, pour toute motivation, s’est bornée à joindre ce réquisitoire. Puis, par un arrêt du 12 mai 2010, la chambre de l’instruction a accordé crédit elle-même à l’allégation d’antériorisation de l’invention de la carte à puce, sans même répondre à mon mémoire d’appel, s’accrochant ainsi à ce motif d’antériorisation, déterminant, et qui dispense d’instruire puisqu’alors il ne saurait y avoir usurpation ; puis elle a rejeté encore une fois l’ensemble de mes demandes d’investigations et notamment d’expertise formulées pour le cas où l’opinion d’antériorisation persisterait, puis elle a conclu au non-lieu. (extraits de cet arrêt)

■ Relater les points-clefs que j’ai soulevés pour combattre l’évolution de cette procédure équivaut à rapporter les moyens de cassation que j’ai invoqués. Ils ne sont pas exposés de manière concrète par l’arrêt de cassation du 9 mars 2011 (cet arrêt), mais ils sont un peu plus explicités par le rapport du conseiller-rapporteur (extraits de ce rapport). Ils sont essentiellement : Incompétence de la cour d’appel de Versailles en matière de brevets d’invention et, à plus forte raison, sur la question d’antériorisation qui est au cœur même de cette matière dont la compétence exclusive appartient au TGI et à la cour d’appel de Paris depuis le 1er novembre 2009; Violation du principe de prohibition des injonctions au juge d’instruction ; Instruction presque inexistante équivalente à un refus d’instruire ; Défaut de réponse aux articulations essentielles des mémoires déposés ; Examen d’une affaire simplette étrangère à l’affaire ; Violation de l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme ; Contradiction des motifs de l’arrêt qui, d’une part, a entériné que l’invention de la carte à puce n’a été brevetée ni par M. MORENO ni par M. VESQUE mais par M. ELLINGBOE en 1970, et qui, d’autre part, a considéré que M. MORENO est l’inventeur de la carte à puce ; l’arrêt ne pouvant sans contradiction notoire, à la fois entériner que c’est M. ELLINGBOE qui est l’inventeur de la carte à puce et à la fois considérer M. MORENO comme l’inventeur de cette invention.

■ A la lecture de l’arrêt de cassation du 9 mars 2011, qui rejette mon pourvoi à l’encontre de l’arrêt de non-lieu du 12 mai 2010 de la chambre de l’instruction et qui énonce que celle-ci « a estimé qu’il n’existait pas de charges suffisantes contre quiconque d’avoir commis les délits reprochés, ni toute autre infraction », chacun pense, comme c’est le cas ordinairement, que des charges suffisantes n’ont pas été trouvées bien que recherchées, alors que dans cette affaire elles n’ont pas été recherchées, il y a eu un refus d’instruire au-delà de la première audition. L’estimation des charges a ainsi été faite sur la base d’une instruction quasi-inexistante puisque limitée à l’audition d’une seule personne, celle précitée, et cet embryon d’instruction a été mené uniquement à décharge.

J’estime que ce procès est inéquitable et partial, partial en premier lieu en faveur des quelques dirigeants soupçonnés de mon employeur FRANCE TELECOM, dirigeants et employeur totalement invisibles dans les décisions rendues ; Il me semble aussi qu’un tel arrêt, qui se prononce sans instruire et qui me rejette en déclarant gratuitement une chose et son contraire, ne donne pas à M. Roland MORENO de quoi pavoiser. Et les salariés inventeurs potentiels, ainsi que les 200 sociétés industrielles licenciées du monde entier qui ont été contraintes de verser des royalties pendant des années, ne penseront-ils pas que la notion d’antériorisation d’une invention n’est pas fiable, est à géométrie variable selon les besoins de la cause ? ce qui est fâcheux tant pour l’inventivité que pour l’industrie.

Contrairement aux allégations de M. Roland MORENO, le débat n’est pas définitivement clos ; Cet arrêt de non-lieu du 12 mai 2010 de la juridiction d’instruction n’a autorité de chose jugée à l’égard de personne car personne n’a été ‘mis en examen’, ni même mis sous statut de ‘témoin assisté’ (cf. JurisClasseur fasc. 20, n°26). Cet arrêt, qui a annulé l’ordonnance de non-lieu mais a continué à accorder crédit à l’allégation d’antériorisation et à exclure notamment l’expertise demandée, a prévu comme d’ordinaire « reprise en cas de survenance de charges nouvelles » ; Le procureur général peut donc, quand il estime cela nécessaire ou lorsque son supérieur hiérarchique l’estime ainsi, reprendre l’instruction effleurée: avant, pendant, ou même après la procédure devant la Cour européenne des droits de l’homme que j’entends saisir, et j’ose espérer qu’elle fera son travail.

En somme, il n’est nullement justifié de supprimer de l’article de Wikipédia le paragraphe de quelques lignes concernant la contestation de paternité ; Celle-ci est inséparable de l’histoire de l’invention de la carte à puce et de l’histoire de toute personne qui se présente comme étant son inventeur. Je réinstalle donc le paragraphe supprimé sans raison valable par M. Roland MORENO.Daniel Vesque (d) 10 septembre 2011 à 01:55 (CEST)[répondre]


Comme j’en ai indiqué mon intention en septembre dernier, quelques lignes plus haut, je précise que la Cour européenne des droits de l’homme a été effectivement saisie par ma requête du 26 octobre 2011.Daniel Vesque (d) 5 mai 2012 à 19:50 (CEST)[répondre]


À Messieurs Vesque et Moreno[modifier le code]

Messieurs, bonsoir.

Intervention qu'un contributeur anonyme a souhaité supprimer, que je suppose lue

J'ai supprimé une partie de l'historique de la carte à puce : celle qui concerne les batailles de brevets. Si vous souhaitez de nouveau intervenir sur l'article, pour l'améliorer, vous êtes les bienvenus ; si c'est pour dire "c'est MOI qui l'ai inventée !" de quelque manière que ce soit je révoquerais vos interventions.

Cordialement, Esprit Fugace (d) 11 septembre 2011 à 11:11 (CEST)[répondre]

Photos prototypes carte à puce et badge Navigo[modifier le code]

J'ai inséré dans les pages consacrées à la Carte à Puce et au badge Navigo des photos des prototypes de ces inventions. Ces photos ont été prises dans l'exposition "La Carte à Puce, une histoire à rebonds" présentée au Musée des Arts et Métiers (http://www.arts-et-metiers.net/carteapuce). J'ignore quels sont les droits associés aux objets présentés, même si ces photos me paraissent avoir leur place sur les pages correspondantes. Comment éclaircir cette situation ? Images concernées  :

Un des premiers prototypes de carte à puce, réalisé par son inventeur Roland Moreno vers 1975.
Un des prototypes du badge Navigo, lors de son développement par la société Innovatron.

--84.103.83.193 (discuter) 30 août 2015 à 23:57 (CEST)[répondre]

La licence dépend des auteurs, c'est expliqué dans commons:Commons:À propos des licences. JackPotte ($) 31 août 2015 à 11:55 (CEST)[répondre]

Liens externes modifiés[modifier le code]

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 4 lien(s) externe(s) sur Carte à puce. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 6 août 2018 à 15:13 (CEST)[répondre]